Viol - Les chiffres. Que faire pour accompagner une personne qui a vécu un viol ou des violences? Soutenir un-e survivant-e d'agression sexuelle. Si vous êtes une personne qui vit et évolue sur cette planète, vous connaissez quelqu’un qui a survécu à une agression sexuelle.
Le nombre de femmes, hommes et personnes trans (c’est-à-dire des personnes qui ne rentrent pas dans un système de genre binaire mâle/femelle) qui subissent des agressions sexuelles est inconnu, ceci à cause des phénomènes de silence culturel, mise en doute de la parole de la personne, et de la peur d’encore plus de violence autour du viol. La liste de principes qui va suivre a été faite dans le but de vous aider à soutenir quelqu’un dans son processus « d’aller mieux », au cas où vous vous trouveriez dans une situation où vous pourriez le faire. Neuf principes pour le soutien aux survivant-e-s : 1/ La santé et la sécurité d’abord 2/ Restaurer le choix 3/ Croire 4/ Se taire et se laisser guider 5/ Pas de violence supplémentaire 6/ Connaître ses limites 7/ Rester impliqué-e et rester flexible 8/ Il ne s’agit pas de vous. Il ne s’agit pas de vous. Polyvalence-mp. Voici les adresses et les numéros utiles que vous pouvez contacter : Le numéro d’écoute 08 842 846 37(numéro non-surtaxé) qui vous informera sur vos droits et vous orientra vers les associations d’aide aux victimes.
C’est le numéro de telephone de la federation INAVEM qui est en contact direct avec 150 associations.Le 3919, le numéro national d’écoute pour les cas de violences conjugales.Le numéro 0 800 05 95 95(numéro non-surtaxé) du Collectif féministe contre le viol pour vous écouter et vous aider dans vos démarches.Les assistants de service socialprésents dans les collèges, lycées et universités, dans les hôpitaux ou auprès de l’infirmerie de votre établissement scolaire. Brochure « Je ne veux plus être un violeur » A télécharger ici.
L’auteur J’ai été identifié comme un garçon à la naissance, et élevé comme tel. J’ai donc grandi du bon côté du système d’oppression sexiste. Où sont les violeurs? Le traitement médiatique du viol a ceci d'étonnant qu'il décrit toujours l'agresseur et la victime avec un champ lexical similaire.
Pour la victime, nous avons jeune, pauvre au sens de "à plaindre", seule parfois, et souvent un détail physique accablant du type "elle avait les cheveux longs (la salope)" (blonde, au 36 quai des Orfèvres ; jolie, dans le métro de Lille). Le violeur a toujours une bonne excuse, lui. Il avait bu, monsieur le juge. (36) Il venait de se disputer avec son amie et il n'avait pas de travail, monsieur le juge (Lille). Les fausses allégations de viol sont rares. Dans l'enquête de victimation Enquête "Cadre de vie et sécurité" 2011 réalisée conjointement par l'INSEE et l’ONDRP (Observatoire National de Délinquance et des Réponses Pénales), on mesure qu'en 2009-2010, 1% des femmes de 18 à 75 ans ont déclaré avoir été victimes de violences sexuelles soit un peu moins de 220 000 femmes.
Ce taux est de 0,3% pour les hommes de 18 à 75 ans : un peu plus de 60 000 hommes seraient victimes de violences sexuelles chaque année . En 2011, d'après les statistiques centralisées par la Direction centrale de la Police Judiciaire, 4983 personnes majeures ont porté plainte pour viol en commissariat de police et de gendarmerie. Les mythes, les idées reçues et les préjugés autour du viol. La rengaine sereine de la victimisation. On dirait que ça revient comme les saisons, les trois petits mots conjugués différemment suivant ton interlocuteur, mais qui reviennent toujours au même. « Tu te victimises. » « Elle se victimise. » « Vous vous victimisez. » « Ils se victimisent » Ce qui est bien avec cette affirmation c’est qu’on peut l’utiliser à peu près à chaque fois que l’on n’a pas trop envie de réfléchir pour essayer de comprendre ce que l’autre nous dit.
Sans doute, parce que c’est plus confortable, probablement parce que c’est plus facile comme ça et que si on devait vraiment faire attention à ce que nous expliquent ces autres, on finirait peut être par avoir la conscience trop lourde à force de refuser de changer nos comportements. Donc c’est plus simple, l’autre s’applique à lui même l’étiquette de victime, c’est lui qui se fait du mal, c’est à lui de changer, pas à moi. A la personne qui a subi une agression sexuelle et qui le mentionne. J'aime : J'aime chargement… Comment être une bonne victime de viol. Nous le savons tous et toutes, la société française est extrêmement attentive au problème du viol, et tant au niveau éducatif que répressif, mène une lutte sans relâche contre ce crime.
Néanmoins il convient de parfois faire preuve de bon sens - et disons le tout net les femmes en manquent souvent - prodiguons leur quelques conseils afin de devenir une parfaite victime de viol. Cela vous semblera, de prime abord, pas totalement évident, mais en y mettant un peu du vôtre, vous devriez y arriver. Je ne supporte plus vos abjections au sujet du viol. *Les passages en italique correspondent aux commentaires cités Donc il y a ce passage (1/9 du texte) de mon dernier article qui relate qu'après avoir passé la soirée avec un groupe de mecs que je ne connaissais pas très bien, j'ai préféré partir malgré le froid et le fait que je n'avais nulle part où aller (Le texte se déroule à une époque où j'étais SDF, vous pouvez le lire ici pour mieux comprendre de quoi il s'agit), et puis y'a ce commentaire d'un courageux anonyme qui tombe.
Des questions autour du viol. Cela me parait très curieux de faire des FAQ sur le viol, très violent.
"Bonjour aujourd'hui vos questions récurrentes sur le viol". Pourtant je ne vois pas comment aborder autrement mon sujet du jour. Quelques mises au point sur les hommes victimes de viol. Quelques notes en guise de préambule, et tout d’abord, un avertissement sur le contenu, ou trigger warning pour les initié·e·s : je ne m’épargnerai pas, dans ce modeste texte, des descriptions (brèves et peu graphiques) de viol, des références à des propos remettant en cause ou minimisant les sentiments des victimes, des allusions à des plaintes déposées aux forces de l’ordre, et des évocations de violences racistes, validistes, homophobes et transphobes.
Je me risque aussi à ne pas inclure ici les victimes de pédophiles, n’en ayant jamais été victime moi-même, et ne sachant s’il est pertinent de traiter différemment victimes masculines et féminines. Enfin, je ne parlerai qu’au masculin, non par dévotion aux règles d’accord académiques, mais parce que ma légitimé à m’adresser à des femmes ou à des personnes non binaires me paraît douteuse. Mais on n’oublie jamais rien, on vit avec, pas vrai ? Je n’ai pas la solution suprême. Adrien. WordPress: «Celles qui refusent les relations sexuelles peuvent rester seules» Une Belge sur cinq est ou a été violée par son partenaire.
Rapists Who Don’t Think They’re Rapists. You know the guy who "accidentally" rapes women? The acquaintance who "misreads" the situation and "goes too far"? The longtime friend who genuinely thought you had consented, and is shocked when you tell him that, no, it was rape? Well, we're not going to take that guy's bullshit anymore. Thomas MacAulay Millar over at the Yes Means Yes! Blog has crunched the numbers on "undetected" acquaintance rapists to figure out who this "accidental rapist" actually is. Thomas looks at a study of 1882 college students who were asked four questions to determine if they had ever raped (or attempted to rape) anyone: How Being A Feminist Monopolized My Rape. Since I was a little girl I would consider myself a feminist. It didn’t take me reading Betty Friedan to know something was up.
Pas mort d’homme. (TW : violences sexuelles) Il suffit que la parole se libère, qu’une seule ose dire, pour que les autres, timidement, racontent, moi aussi, elles aussi. Elle aussi se souvient de cette nuit de chantage où il questionnait, demandait, boudait, grognait, tonnait, parce qu’elle avait ses règles et qu’elle ne souhaitait pas avoir de rapports sexuels. Elle se souvient de l’érection du garçon malgré ses refus, des yeux tristes de l’homme, pourquoi tu ne veux pas me faire plaisir, on se voit pas souvent, on est bien, juste une pipe, c’est rien. Et puis elle y a été, comme on part à l’usine, les gestes mécaniques, pour que ca cesse, pour qu’elle puisse dormir, elle a posé sa bouche sur le sexe et elle s’est laissée pénétrer, la gueule bien ouverte, la tête bien vide, ne pas y penser, cela va bientôt s’arrêter.
C’est aussi quand il la retourne. Je connais un violeur. Je connais un violeur. C’est un ami, c’est un ami de ma meilleure amie. On avait déjà passé une nuit ensemble, je ne voulais pas coucher avec lui, il l’a bien pris et a été adorable. Mais pas ce soir-là. La Parade des violeurs est le Silence des violées.
Je n'ai pas porté plainte et je vous emmerde. Les vitamines du bonheur. « Aller de l'avant » - Une dernière pour la route. Angst and other colours — The Problem with Lena Dunham Defenders...from a survivor. College rape survivor will carry her mattress around campus until her rapist is expelled. On the first day of her sophomore year of college, Emma Sulkowicz was raped in her dorm room bed. The Columbia University senior says the perpetrator was a fellow student. He still is — and has been since he allegedly assaulted Sulkowicz and two other female students. As Sulkowicz reported in Time earlier this year, all three cases against her offender were dismissed. So, she’s not taking it anymore. After joining a federal complaint in April over Columbia’s mishandling of rape cases and speaking out about the school’s failure to address her assault, Sulkowicz is now embarking on yet another effort — an artistic one — to make change on campus.
“A mattress is the perfect size for me to just be able to carry it — enough that I can continue with my day, but also heavy enough that I have to continually struggle with it,” Sulkowicz said in a video for the Columbia Spectator. Project Unbreakable. You may have noticed that Project Unbreakable has been pretty quiet lately. Andrea Dworkin Je veux une trêv. Our Need for Privacy: The Blueprint of Abuse - « Pourquoi le viol, c'est vraiment hilarant », la vidéo qui brise le coeur.