Conférence - « Le flâneur est indestructible » par Thierry Davila, historien de l'art. Amphi Cinéma, École Spéciale d’Architecture © Francis Alÿs, Magnetic Shoes, 1992 Dans le cadre de son cycle de conférences sur la Marche et de son exposition Detached Activists - Engaged Observers, L’École Spéciale d’Architecture reçoit Thierry DAVILA, historien de l’Art - Genève.
Introduction par Michaël Batalla, poète et enseignant à l’École Spéciale. En savoir plus : Principales publications : L’Art médecine (en collaboration avec Maurice Fréchuret) (Antibes/Paris, Musée Picasso/RMN, 1999) ; Marcher, créer. Infos Pratiques : Entrée libre dans la limite des places disponiblesAccès à l’École Spéciale. Colloque International Pluridisciplinaire - Sciencesconf.org. Tournant spatial et art contemporain Les approches géographiques de l’art contemporain se développent autour de pratiques artistiques qui, depuis les années 1960, ont connu plusieurs transformations de leurs régimes de création, de concrétisation et de mise en visibilité pour devenir « contextuelles » et « relationnelles » – pour reprendre les termes respectifs de P.
Ardenne et de N. Bourriaud –, jusqu’à faire – c’est notre postulat – de leur rapport au lieu de mise en œuvre et de mise en vue, de leur « manière de faire » avec l’espace, une question fondamentale, quasi principielle. Poétique et rhétorique de la carte dans l'art contemporain. Parmi les façons de comprendre les cartes, celle qui consiste à les considérer comme des textes à la manière d’autres systèmes de signes non verbaux – comme la peinture, le théâtre, le cinéma etc. –, n’est pas la moins pertinente [1] Cf.
Harley, 2002, p. 36. Le chapitre « Text and contexts... [1] . L'Internationale Situationniste ( 1957 - 1972 ) L'un des mouvements anti-art le plus méconnu et pourtant le plus influent de l’après-guerre fut sans doute: l’Internationale Situationniste (IS).
" Ne travaillez jamais " Guy Debord. " ... Debord(er) la carte - "Une carte du monde ne faisant pas mention du royaume d’Utopie ne mérite même pas un coup d’œil, car elle laisse à l’écart le seul pays où l’humanité finit toujours par aborder.
" Introduction à une critique de la géographie urbaine. Le mot psychogéographie, proposé par un Kabyle illettré pour désigner l’ensemble des phénomènes dont nous étions quelques-uns à nous préoccuper vers l’été de 1953, ne se justifie pas trop mal.
Ceci ne sort pas de la perspective matérialiste du conditionnement de la vie et de la pensée par la nature objective. La géographie, par exemple, rend compte de l’action déterminante de forces naturelles générales, comme la composition des sols ou les régimes climatiques, sur les formations économiques d’une société et, par là, sur la conception qu’elle peut se faire du monde. La psychogéographie se proposerait l’étude des lois exactes, et des effets précis du milieu géographique, consciemment aménagé ou non, agissant directement sur le comportement affectif des individus. Le désert est monothéiste, a-t-on pu dire il y a longtemps. La marche à pied comme pratique artistique : Les lignes de désir.
Le flâneur dans l’espace urbain. 1La notion de flâneur, codifiée par W.
Benjamin et son œuvre sur les « passages » de Paris, est employée dès la fin du XIXe siècle pour désigner les poètes et les intellectuels qui, en se promenant, observent de façon critique les comportements des individus. Elle demeure aujourd’hui d’un grand intérêt en sciences sociales, mais aussi en philosophie, en littérature et au cinéma, puisqu’elle constitue un outil privilégié pour identifier les modes de déplacement et d’exploration des lieux par les individus et les rapports sociaux qui en découlent. 2De récents travaux sociologiques ont accordé un regain d’intérêt au flâneur. Pour Z. Bauman (1999), celui-ci est une figure typique de la postmodernité, au même titre que le vagabond, le touriste et le joueur. 3L’activité du flâneur consiste principalement à se balader et à traîner, à scruter les environs, mais également à analyser la modernité dans une perspective critique. 4Selon A.
La solitude comme style de vie. Pratiquer la ville. Pour une technologie de la dérive. (Owni) [ Avant-propos de Philippe G. : Double événement pour URBAN AFTER ALL, puisque nous fêtons la 20e chronique et – surtout – la première plume invitée dans ces colonnes.
Matthieu, que vous connaissez sûrement pour Urbain, trop urbain, décrypte ici l’évolution de la dérive urbaine, concept cher aux situationnistes et que l’on retrouve aujourd’hui dans nombre d’applications mobiles. Un bien beau sujet reliant l’hier et le demain, donc… Le lien original est à lire ici, et vous pouvez aussi nous suivre sur facebook. Encore merci à Matthieu !] La ville événementielle gagne du terrain.
Publicitaires et “designers d’ambiance” apposent leur signature sur de nombreux domaines de l’urbanité. Une technique du déplacement sans but. Que sont ces technologies de la « dérive augmentée » ? Accueil. - Hamish Fulton : Walking Artist. RICHARD LONG OFFICIAL WEBSITE. Francis Alÿs.