My Thoughts On Feminism. Comment être un allié (masculin) du féminisme. Par Elizabeth Pickett , publié le 10 septembre 2013 sur le blog de Feminist Currrent Lisez autant que vous pouvez des textes sur les questions féministes et la critique féministe… et continuez.
Pas seulement dans les magazines. Je ne serai jamais qu'un allié (et c'est fantastique) - Carnet d'un rêveur. Par Jonas Lubec, mardi 29 avril 2014. Lien permanent Pré-scriptum: J'ai hésité avant de poster ce billet. Pourquoi, en tant qu'homme, je la ferme lors des réunions féministes. Un samedi, vers 18 heures.
Dans le sous-sol d’un bar parisien réservé pour l’occasion, une petite dizaine de personnes se réunit. Des femmes, en grande majorité: ici tout le monde ou presque s’est rencontré sur Twitter, en évoluant dans les mêmes cercles féministes. On va parler d’oppression, du patriarcat, des hommes. De la violence des hommes, surtout. Ce soir, nous ne sommes que deux représentants de la gent masculine et j’ai, pour ma part, décidé de me taire. Moi, ça va. Les yeux noirs - Salut camarade sexiste ! Être un allié pour les... The 8 Biggest Lies Men's Rights Activists Spread About Women. Le privilège invisible des antiféministes.
Traitement complet (Norman Rockwell, 1940) «Les féminazies ont infiltré les institutions et il y a eu un transfert de droits des hommes aux femmes.»
(Roy Den Hollander) Roy Den Hollander est un battant. Cet avocat américain et antiféministe notoire est célèbre pour avoir poursuivi la ville de New York parce qu’elle autorise les «ladie’s nights», pratique qu’il juge discriminatoire envers les hommes. Évidemment, l’objectif de ces soirées n’est pas de pulvériser le patriarcat, mais bien d’attirer une clientèle féminine qui, à son tour, amènera des hommes cherchant à être entourés de femmes en état d’ivresse. Une comparaison entre misandrie et misogynie. On pourrait croire à première vue que les deux se valent.
Que toutes les formes de violence sont équivalentes, injustifiées et injustifiables. Et que la misandrie est tout aussi dommageable que la misogynie. (J’ai bien dit « dommageable » et pas « condamnable. ») Or, comme l’explique simplement ce post trouvé sur tumblr, il n’en est rien : Le mythe des hommes battus. Dans le Guide d’autodéfense intellectuel contre le masculinisme le mythe des « hommes battus » est largement démonté et critiqué, et la violence des femmes est replacée dans un cadre d’analyse féministe.
Face à l’audience médiatique des campagnes [6] masculinistes et la popularité de leurs arguments, il nous semble nécessaire de renforcer nos stratégies d’argumentation face aux défenseurs des privilèges masculins. L’argument selon lequel il existerait des hommes battus, mais dans des proportions statistiques bien inférieures au nombre de femmes victimes de violences, nous paraît insuffisant, et laisserait entendre que l’on peut parler de violences conjugales exercées par des femmes sur des hommes. Nous voulons avancer l’idée que les hommes ne sont pas, en tant que groupe social, victimes de violences dans le couple hétérosexuel, de la part des femmes, en tant que groupe social. Bingo féministe et "mansplaining" Hier, Sophie Gourion, une féministe que j’apprécie et que je suis sur Twitter, a eu un long débat à propos du marketing genré.
Elle a écrit, il y a quelques mois, un article pour Slate sur cette stratégie « qui consiste à segmenter l’offre produit en fonction du sexe », »une façon indirecte de démultiplier les intentions d’achat, deux produits sexués devant ainsi se substituer à un seul produit mixte au sein d’un ménage ». Une des personnes avec qui elle discutait n’y voyait pas de sexisme et, surtout, pas un sujet de préoccupation pour les féministes; d’où ce tweet (écrit par un homme): @Sophie_Gourion le vrai combat du féminisme est dans l’égalité des droits, pas dans l’uniformité des produits ni de la comm.— [Anonyme] Juillet 13, 2012 Précisons que cette personne, avec qui j’ai discuté ensuite, se considère comme féministe et que mon objectif n’est pas de lui contester cette appellation. Tu crois que je suis en train de faire du mansplaining?