Science : quand l’esprit influe sur la matière… Les Mots ont un Sens, 9 novembre 2009 Une équipe de scientifiques de la prestigieuse Université de Princeton mène depuis une dizaine d’années un programme de recherche pour le moins étonnant : le Global Consciousness Project. Les résultats sont implacables : l’esprit humain et/ou la noosphère produisent des effets sur la matière. L’histoire commence à la fin des années 70, sous la houlette du professeur Émérite Robert Jahn de l’Université de Princeton (New Jersey, Etats-Unis), où Einstein passa une bonne partie de sa carrière. Un beau jour, le chercheur tenta de savoir si l’esprit pouvait influer sur un générateur de nombres aléatoires (GNA). Soubresauts quantiques Quinze ans plus tard, Roger Nelson, entouré d’une fine équipe, passa la vitesse supérieure. L’esprit en avance sur son temps ? Ce jour est définitivement devenu historique… mais pour une toute autre raison, en fait : un milliard de personnes de par le monde ont ce jour là suivi l’enterrement de la Princesse Diana, en direct.
Une approche quantique du problème corps-esprit (1. Dr. Pierre UZAN – Chercheur associé au laboratoire SPHERE Histoire et Philosophie des Sciences Université Paris-Diderot 1. Introduction. Les modèles de la conscience proposés dans le cadre de la neurobiologie actuelle s’inscrivent dans un cadre matérialiste, voire physicaliste, qui présuppose que tout phénomène pourrait être complètement expliqué à partir de la matière et de ses lois. Cependant, comme l’ont noté de nombreux philosophes et certains neurophysiologistes, cette approche est sujette à la difficile question de savoir comment des processus neuronaux décrits dans le langage de la neurobiologie, à la troisième personne, pourraient donner lieu à une expérience subjective qui, elle, est vécue de façon privée, à la première personne.
Source Wikipédia - Commons 2. Nous proposons d’utiliser la théorie quantique et ses concepts clés pour modéliser la relation psychophysique. [X, Px] = i ħ I, leur degré de non-commutativité étant mesuré par ħ, la constante de Planck divisée par 2 p. Esprit et matière : Du quantique plein la tête. En physique quantique, les équations décrivent un univers de possibilités latentes qui ne se sont pas encore manifestées dans le monde sensible. Selon l’interprétation la plus consensuelle, les caractéristiques de l’objet réel ne « naissent » qu’une fois réalisées les mesures permettant de les mettre en évidence. Autrement dit, l’objet réel reste suspendu dans un flou de potentialités tant que personne n’a décidé de le voir, le toucher, le mesurer.
L’expérience sensible – d’un expérimentateur qui regarde un cadran d’appareil dans un laboratoire, ou de quiconque interagit avec son environnement grâce à ses sens – « force » l’univers, par nature riche de potentialités mais hésitant, à se décider. De nombreux objets quantiques, en électronique par exemple, manifestent ces superpositions d’états dans lesquels l’objet reste tant qu’une mesure n’est pas effectuée.
Cet indéterminisme intrinsèque ouvre de passionnantes perspectives. Des systèmes sensibles à l’influence psychique ? Partagez-le... Et si la physique quantique expliquait les expériences de mort imminente ? Les expériences de mort imminente passionnent les scientifiques comme le reste de la population. Il y a encore trois semaines, l'histoire d'Eben Alexander, ce grand neurochirurgien qui racontait son expérience de vie après la mort dans le livre Proof of Heaven ("Preuve du paradis") faisait la Une de nombreux journaux. Mais une question demeure : comment et quand est-ce qu'arrive ces expériences de mort imminente ?
Selon deux scientifiques éminents, le Dr Stuart Hameroff et le physicien Roger Penrose, une expérience de mort imminente arrive lorsque les substances quantiques qui forment l'âme quittent le système nerveux pour se rendre dans l'univers. Cette théorie se rapproche donc de l'hypothèse de l'esprit quantique, qui suggère notamment que des phénomènes quantiques, comme l'intrication et la superposition d'états, sont impliquées dans le fonctionnement du cerveau, et surtout dans l'émergence de la conscience. Lu sur The Daily Mail. 1 : Serions-nous dotés d’un esprit quantique ? Les expériences de mort imminente passionnent les scientifiques comme le reste de la population. Il y a encore trois semaines, l'histoire d'Eben Alexander, ce grand neurochirurgien qui racontait son expérience de vie après la mort dans le livre Proof of Heaven (Preuve du paradis) faisait la Une de nombreux journaux. Mais une question demeure : comment et quand est-ce qu'arrive ces expériences de mort imminente ?
Selon deux scientifiques éminents, le Dr Stuart Hameroff et le physicien Roger Penrose, une expérience de mort imminente arrive lorsque les substances quantiques qui forment l'âme quittent le système nerveux pour se rendre dans l'univers. Cette théorie se rapproche donc de l'hypothèse de l'esprit quantique, qui suggère notamment que des phénomènes quantiques, comme l'intrication et la superposition d'états, sont impliquées dans le fonctionnement du cerveau, et surtout dans l'émergence de la conscience. Lire l'article sur Atlantico.fr.
2 ; Une approche quantique du problème corps-esprit (2. 3. Une théorie quantique généralisée pour modéliser ces phénomènes. Il faut ensuite proposer une modélisation de type quantique des corrélations psychophysiques. Ces dernières, qui se décrivent en termes de relations de complémentarité et d’intrication, peuvent être modélisés de façon précise et féconde dans le cadre d’une théorie quantique généralisée. Dans cette théorie, la notion de « système » désigne n’importe quelle partie de la réalité susceptible d’investigation et celle d’ « observable » n’importe quelle propriété susceptible d’être mesurée ou observée de façon reproductible.
Les notions de complémentarité et d’intrication y sont généralisées pour pouvoir s’appliquer rigoureusement à ces phénomènes. Miriam Ascagni, DIBIT San Raffaele Scientific Institute, Italy La modélisation que nous proposons s’appuie, en outre, sur un lien essentiel entre les notions de complémentarité et d’intrication qui a été établi par Landeau (1987). R = S(a a’) + S(a b’) + S(b a’) – S(b b’), 4. 5. 6. Mode quantique - Influence de… - Esprit quantique - Réalités et… - Monde quantique et… Choix retardé : quand la mécanique quantique "agit" sur le passé. Une expérience dont le principe a été proposé en 1978 par le grand physicien John Wheeler a été réalisée une nouvelle fois mais, cette fois-ci, en utilisant des satellites réfléchissant des faisceaux laser. Cette expérience rend perplexe les physiciens car, selon certaines interprétations, elle pourrait indiquer que, d'une certaine façon, le futur peut parfois influencer le passé...
Il y a dix ans, Futura-Sciences avait consacré un article à une brillante expérience d'optique quantique réalisée par le physicienphysicien Jean-François Roch et ses collègues de l'ENS Cachan, parmi lesquels on trouvait Philippe Grangier et Alain Aspect. Le chercheur avait fait quelques commentaires sur cette expérience dans notre forum. Il s'agissait d'examiner de plus près une expérience de pensée proposée en 1978 par un des plus grands physiciens du XXe siècle : John Wheeler. Nous avions décrit l'expérience (voir article ci-dessous). L'expérience de choix retardé de Wheeler De quoi s'agit-il ?
Esprit-Matière-Energie. Outils conceptuels pour une approche quantique du problème corps-esprit. Dr. Pierre UZAN – Chercheur associé au laboratoire SPHERE Histoire et Philosophie des Sciences Université Paris-Diderot Comme l’ont montré plusieurs auteurs, tels que Atmanspacher, Filk et Römer (2009), Wallach et von Sillfried (2010) ou Aerts et al. (2011 a et b), certains phénomènes qui ne relèvent pas de la physique quantique nécessitent cependant d’être modélisés dans le cadre d’une théorie quantique généralisée implémentant les concepts de complémentarité et d’intrication mais où toute référence a priori au monde matériel a été éliminée. Les concepts de complémentarité et d’intrication -qui sont, en fait, étroitement liés- peuvent ainsi être utilisés pour modéliser divers phénomènes qui ne peuvent l’être dans un cadre « classique » qui utilise le calcul des probabilités classique (de Kolmogorov) et dans lequel l’existence de corrélations entre deux évènements ne peut être expliqué que par un échange direct d’information ou par l’existence d’une cause commune.
Source : Stock.Xchng. Entretien avec Emmanuel Ransford : Autour de la nouvelle physique de l'esprit. Mysticisme quantique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mysticisme quantique est une expression contemporaine désignant un ensemble de croyances métaphysiques et de pratiques connexes qui cherchent à établir un rapport entre la conscience, l’intelligence, certaines philosophies orientales et les théories de la mécanique quantique et ses interprétations[1],[2],[3],[4],[5],[6] venant soutenir une vision panthéiste de l'univers. Du point de vue de la majorité de la communauté scientifique, le mysticisme quantique repose sur des interprétations erronées ou insuffisamment fondées de la mécanique quantique. Définition[modifier | modifier le code] Le point de vue volontiers panthéiste d'Albert Einstein sur le monde a contribué à des débats philosophiques parmi ses pairs, bien qu'il se soit lui-même opposé à certaines formulations mystiques dans le domaine de la physique quantique[7] Versions récentes[modifier | modifier le code] Un film de 2004, What the Bleep Do We Know !?