What-Julie-Bishop-told-China-about-Clive-Palmer. Here's Business Spectator's Fergus Ryan on Clive Palmer's Monday evening TV outburst about China: It was only after Julie Bishop apologised to the Chinese embassy that the Chinese government put out a statement saying Palmer’s attack was “full of ignorance and prejudice”, absurd and irresponsible.
By getting the Chinese embassy involved over comments made by a member of another party, the government has given more oxygen to Palmer’s remarks. It’s the kind of oversensitive micromanaging of the Australia-China relationship that ends up making us look weak......The Chinese government knows that Australia is a democracy. Apologising to them for what happens in the rough and tumble of Australian democratic discourse encourages the Chinese government to think they can exert pressure on Australia to dampen debate. To be fair to Bishop, it seems she did not actually 'apologise' to the Chinese Embassy for Palmer's remarks; rather, she contacted them to distance the Government from Palmer. The Fall of France. More On Not-So-Miserable France. Following up a bit further on my earlier discussion.
The French economy gets extraordinarily bad press in this country, and this attitude spills over into some allegedly serious economic analysis too. I don’t have time to dig up examples now, but not that long ago quite a few investment banks etc. were pegging France as the next crisis country, about to go the way of Italy or even Portugal any day now. And there was actually a spike in French borrowing costs for a while. The French elite: where it went wrong. ©Luis Grañena The French Stalinist Maurice Thorez spent the second world war in Moscow, where he called himself “Ivanov”.
When France was liberated, he came home and entered government. La France, championne d'Europe du pessimisme. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Claire Gatinois La France a peur et la "sinistrose", observée en son temps par François Mitterrand, gagne à nouveau l'Hexagone.
L'enquête Ipsos, réalisée pour le compte du groupe Publicis auprès de 6 198 Européens interrogés par Internet entre le 14 mars et le 7 avril 2013, dresse le portrait d'un pays qui, tout compte fait, n'est pas encore concrètement frappé par la crise mais reste persuadé que le pire est pour demain, comme condamné au sort que traversent déjà Italiens et Espagnols. "Les Français vivent presque comme les Allemands et semblent crier avant d'avoir mal", observe Véronique Langlois, cofondatrice de la cellule FreeThinking, à l'origine d'une étude qualitative menée auprès de 400 Européens de classes moyennes supérieures (foyers dont le revenu mensuel est supérieur à 3 000 euros en France et en Allemagne, à 2 500 euros en Espagne et en Italie, entre 2 500 et 7 000 livres – entre 3 000 et 8 300 euros – au Royaume-Uni). Les Français ne sont pas paresseux mais épuisés. Par Juritravail | 24-05-2013 | 0 commentaire(s) | 396 vues Les Français sont régulièrement critiqués sur leur capacité et leur force de travail.
Les chiffres démontrent pourtant qu'ils font partie des meilleurs travailleurs et que leur souffrance au travail provient de leur profond investissement. L'autodénigrement des salariés Français, favorisé par des critiques concernant leur manque d'autonomie et de responsabilité, diminue leur motivation et leur capacité de travail. Il y a quelques semaines, Le Point titrait en couverture "Les Français sont-ils paresseux"?. L'hebdomadaire, chiffres à l'appui, mettait en lumière le fait que les "français travaillent en moyenne annuelle moins que leurs voisins européens. L'article débute même avec une citation de Victor Hugo de 1848 "la monarchie avait les oisifs, la République aura les fainéants". Autrement dit, les salariés Français sont stigmatisés comme travailleurs fainéants . Cependant, il convient de relativiser ces assertions.
Etre riche, se croire pauvre... Une réforme paramétrique a minima Tout d’abord, et ce n’est guère une surprise, pas de changement paradigmatique : le Gouvernement ne s’attache qu’à une réforme du système par répartition, sans référence à la capitalisation (et le MEDEF n’y trouve évidemment pas son compte…).
Il conserve la structure actuelle d’un régime général en annuités, complété par des régimes complémentaires en points, avec une constellation de régimes spéciaux : exit une lointaine proposition évoquée en 2012 lors de la campagne de Ségolène Royal, et également, de manière plus ambigüe par la CFDT, l’introduction de comptes notionnels. Au bout du compte, la seule composante « structurelle » de la prochaine réforme est la création d’un compte pénibilité. Les autres dispositions sont, au mieux, des modifications de paramètres structurels, au pire des ajustements fiscaux qui ne sont pas propres au système de retraite. Une mesure phare, la création d’un compte pénibilité Des ajustements paramétriques Une lueur d'espoir ?