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Métacognition

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Metacognition GT5. La réflexivité : exercice pédagogique et outil d’accompagnement aux cycles supérieurs. 1La réflexivité constitue un processus cognitif qui « est devenu autant une exigence scientifique qu’une condition anthropologique » en sciences sociales (Gaucher, 2009, p. 8).

La réflexivité : exercice pédagogique et outil d’accompagnement aux cycles supérieurs

C’est ce que nous avons constaté, en tant qu’étudiantes, lorsque notre professeure nous a demandé de rédiger un texte réflexif, qui a fait l’objet d’une évaluation formative et certificative, découlant d’un projet de recherche qualitative mené dans le cadre d’un cours intitulé « Recherche qualitative II » aux cycles supérieurs, c’est-à-dire aux 2e et 3e cycles universitaires. Cette expérience réflexive, engendrée par une immersion dans le processus de recherche qualitative et portant sur notre cheminement de chercheure depuis le début du cours, a suscité maintes remises en question et prises de conscience, de telle sorte que nous voulions en discuter à la suite du cours. 2Le présent article est organisé comme suit. 2.1. L'écriture réflexive 2.2. 3.1. 3.2. 1 Nous remplaçons « praticien » par « étudiant ». 3.3. L’apprentissage autorégulé : quand la métacognition orchestre motivation, volition et cognition. 1.1.

L’apprentissage autorégulé : quand la métacognition orchestre motivation, volition et cognition

Émergence d’un modèle de l’apprentissage autorégulé pour l’action pédagogique 1 Ces auteurs font partie du groupe AdAPTE (www.adapte.be) qui rassemble des conseillers pédagogiques (...) 1Dans le cadre de nos travaux de recherche sur la volition (se mettre au travail et y rester) en première année de l’enseignement supérieur (Baillet, Dony, Houart, Poncin et Slosse, 2016 ; Poncin, Houart, Baillet, Lanotte, et Slosse, 2017)1, des concepts clés en lien étroit avec la réalisation d’une tâche cognitive en situation d’apprentissage ont été traités : la métacognition (Berger et Büchel, 2012 ; Berger, 2015 ; Efklides, 2009 ; Romainville, 1993, 2000, 2007 ; Noël, 2016), la motivation (Galand et Bourgeois, 2006 ; Schunk, Pintrich et Meece, 2008 ; Viau, 2009), la cognition (Pressley et Levin, 1987 ; Tardif, 1992 ; Wolfs, 2001) et bien sûr la volition (Broonen, 2007 ; Corno, 1989, 1993, 2001 ; Cosnefroy, 2011 ; Heckhausen et Gollwitzer, 1987 ; Heckhausen et Kuhl, 1985).

Métacognition et réussite des élèves. Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ?

Métacognition et réussite des élèves

L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés.Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation.Que faire devant cette réalité ?

Les enseignants tentent de les aider à retrouver le chemin des apprentissages scolaires afin qu’il apprennent les savoirs scolaires que l’Ecole s’engage à leur donner et définissent sur cette base la plupart des activités qu’ils leur proposent. Gagné P. Développer la métacognition chez l'enseignant ? Oui, grâce à la taxonomie ! La métacognition pour les enseignants ?

Développer la métacognition chez l'enseignant ? Oui, grâce à la taxonomie !

Nous savons qu’un enseignant métacognitif sera plus enclin à développer la métacognition chez ses élèves qu’un enseignant qui n’a pas de réflexion métacognitive pour lui-même. En effet, un enseignant qui est dans une démarche métacognitive peut bien saisir les occasions de réflexion qui se présentent dans le feu de l’action. Mais... comment entreprendre une démarche métacognitive quand on est enseignant ? Avec l’aide de Nathalie Frigon de la CSMB, nous avons entrepris une réflexion pour amener les enseignants à comprendre que certaines utilisations des TIC avaient un impact sur l’apprentissage chez les élèves et que d’autres utilisations des TIC en avaient moins. Mais sur quelles bases ? Nous avons trouvé une piste de réflexion dans la révision de la taxonomie de Bloom (développée en 1956 et révisée en 2001). Qu’est-ce que cette taxonomie nous révèle ? Qu’il y a six niveaux dans les processus cognitifs. 1er niveau : Se rappeller ou mémoriser.

La métacognition, un schéma synthèse. Métacognition et transfert. De quoi s'agit-il ?

Métacognition et transfert

"Métacognition" ! Avec "autosocioconstruction des savoirs", ce terme fait partie des deux "gros mots" pédagogiques plutôt jargonnants dont on parle beaucoup aujourd'hui. Concept issu des travaux basés sur une conception cognitiviste de l'apprentissage, c'est un peu la cerise sur le gâteau d'un dispositif constructiviste. Mais abordons-le plutôt par une expérience... que vous venez de faire si vous venez de découvrir ce terme pour la première fois.

En répondant à ces questions, vous avez pris une distance (c'est le "méta") par rapport à la difficulté qui se présentait à vous (acquérir une nouvelle connaissance, ou cognition). Pourquoi ? Comment faire pour que les apprentissages fonctionnent dans d'autres situations, face à des problèmes nouveaux ? Pour certains, s'il ne s'opère pas, c'est par défaut d'entraînement. Joseph Stordeur nous met cependant en garde d'attribuer trop tôt une difficulté de transfert à l'élève.

Pour en savoir plus DELANNOY C., PASSEGAND J.