Les industriels de la charcuterie opposés au logo de score nutritionnel. Agroalimentaire | La Clcv dénonce des pressions européennes. Paris, 9 oct 2014 (AFP) - L'association de défense des consommateurs Clcv dénonce jeudi des « pressions » de la Commission européenne pour contrer l'étiquetage nutritionnel et appelle le gouvernement français qui envisage de l'imposer à « résister ». Cette étiquette sur les produits alimentaires vise à informer le consommateur de leur teneur en sucres, en gras et en sel afin de lutter contre l'obésité notamment. La France l'envisage au travers du projet de loi sur la santé qui prévoit un système de feux tricolores du vert au rouge, simple et lisible, comme le pratique déjà le Royaume-Uni depuis plusieurs années, rappelle la Clcv.
Etiquetage : Jean-Philippe Girard fermement opposé aux pastilles couleur. L'Ania opposée à une note nutritionnelle sur les packagings / Ingrédients. Le code couleur pour connaître les bons et les mauvais aliments fait bondir les industriels. SANTE - Bientôt du nouveau dans les rayons des supermarchés. En présentant sa loi sur la santé publique jeudi 19 juin, Marisol Touraine a confirmé qu'une petite révolution allait toucher les emballages alimentaires. Pour simplifier l'information sur les qualités nutritionnelles des produits, souvent illisibles car écrites trop petites et avec un vocabulaire scientifique, une nouvelle étiquette nettement plus claire va faire son apparition. Elle devrait rappeler celle qui existe déjà pour l'énergie des logements ou des appareils électroménagers.
Selon les recommandations faites au début de l'année par le professeur Serge Hercberg (Inserm), le nouveau code pourrait comporter cinq couleurs, selon que l'aliment est plus ou moins vertueux. Vert pour celui qui est bon pour la santé jusqu'au rouge pour celui qui ne l'est pas. Une note sur 40 pour chaque aliment? Nutrition : vers de nouvelles normes sur les... par lemondefr Mais la ministre n'a pas osé aller si loin dans les détails. Nouvel étiquetage des aliments : un code couleur qui ne serait pas sans incidences. Modèle d'un étiquetage alimentaire en 5 couleurs, présenté par le Serge Hercberg (capture) Depuis plusieurs jours, une pétition est lancée pour demander au ministère de la Santé la mise en place d’un étiquetage sur les aliments plus compréhensible. Participant au Programme national de nutrition santé (PNNS) depuis son démarrage (dans les comités de rédaction des premiers guides et dans le comité des chartes de progrès nutritionnel), il me vient quelques réflexions pour contribuer au débat actuel.
Quand une nouvelle loi sur la santé est en préparation, il est légitime que les professionnels de santé concernés fassent part de leur expertise aux décideurs politiques. C’est ainsi que Serge Hercberg et Arnaud Basdevant ont remis un rapport à la ministre de la Santé en janvier dernier. S’appuyant sur des expériences étrangères, Serge Hercberg préconise la mise en place d’un nouvel étiquetage nutritionnel sur les aliments plus compréhensible par les consommateurs. Le droit à la transparence. Montpellier : les chocolatiers voient rouge - France 3 Languedoc-Roussillon.
Consommation L e chocolat, c'est bon pour la santé ! Jusqu à l'arrivée des codes couleurs lancés par la loi d'orientation sur la santé de Marisol Touraine. A la grande surprise des chocolatiers, le chocolat va être étiqueté rouge. Une petite étiquette qui a immédiatement fait réagir les professionnels. Par Armelle Goyon Publié le 23/09/2014 | 11:18, mis à jour le 23/09/2014 | 11:28 Les chocolatiers broient du noir.Selon nos confrères du Figaro, lors de la présentation, le 19 juin dernier, de son projet de loi de Santé Publique, Marisol Touraine s'est montrée favorable à la création d'un outil permettant de rendre compréhensible une information sur la qualité nutritionnelle des produits alimentaires, matérialisée par un code couleur.
Voir la vidéo Les chocolatiers voient rouge Reportage L.Baumel/ F.Detranchant Le rapport préconise d'attribuer à chaque aliment un score nutritionnel, représenté par une couleur. Alimentation : une bonne conduite ne dépend pas des étiquettes (conférence) Safagr'idées organisait une rencontre le 23 septembre 2014 à Paris. Avec une question de fond : peut-on amener les consommateurs à avoir une conduite vertueuse en matière d'alimentation grâce au nouvel étiquetage ? La réponse serait plutôt négative. A partir de décembre 2014, le règlement européen rend l'étiquetage nutritionnel obligatoire pour les denrées alimentaires pré-emballées. Six nutriments en particulier devront être détaillés : lipides, acides gras saturés, glucides, sucres, protéines et sels. La ministre française de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé également le 19 juin 2014 en présentant sa prochaine loi sur la santé, qu'elle envisageait l'instauration d'un code de couleur obligatoire : un produit trop gras aurait la couleur rouge tandis qu'un produit allégé se verrait attribuer la couleur verte.
. « Pas de mauvais aliment. Outre le risque de violer la loi européenne dite « Inco », cette lutte permettra-t-elle de diminuer les maladies nutritionnelles ? Feux tricolores. Le Parlement européen fait marche arrière sur l'étiquetage nutritionnel - Politique Economique - Trends-Tendances.be. Un feu vert pour aider les consommateurs à repérer les produits "diététiquement" corrects.
Un feu orange ou rouge pour les mettre en garde contre les aliments qui contiennent trop de graisses, de sucre ou de sel. Ce système de feu tricolore avait le mérite de la simplicité. Il a pourtant été enterré mardi par le Parlement européen, sous la pression des industriels du secteur. La confédération des industries agroalimentaires de l'UE (CIAA), à laquelle adhèrent Kellogg's, Mars, Kraft Foods, Coca-Cola ou encore Pepsico, militait depuis plusieurs mois contre la généralisation sur les packaging de ces feux tricolores.
Selon elle, ils auraient pénalisé les produits labellisés "rouge" au profit des produits labellisés en "vert", créant ainsi une distorsion de concurrence. Trends.be, L'Expansion.com. Comment l’ANIA manipule le sondage de la CLCV sur l’étiquetage nutritionnel. La CLCV a pris position récemment en faveur de l’échelle nutritionnelle, un système d’étiquetage des aliments simple et pratique prôné par le Professeur Hercberg dans un récent rapport remis à la ministre de la santé sur la politique nutritionnelle. Afin que les consommateurs puissent s’exprimer sur cette proposition d’étiquetage, nous avons lancé le 27 février un sondage sur notre site internet www.lepointsurlatable.fr. Cette initiative n’est manifestement pas du goût de l’ANIA, le syndicat des industriels de l’agroalimentaire, qui s’oppose farouchement à cet étiquetage.
Dans un courriel du 5 mars auquel nous avons pu avoir accès, l’ANIA a en effet incité ses troupes à voter « massivement » sur notre site afin de faire pencher la balance en défaveur de ce nouvel étiquetage. Attaqué sur notre terrain et au coeur de nos missions, nous demandons aux pouvoirs publics d’intervenir pour mettre un terme à cette pratique scandaleuse. Source : CLCV - Février 2014. Lascom - Le blog CPG dédié au monde de l'agroalimentaire, de la RHF et aux biens de grande consommation - Actualités du secteur - L'étiquetage nutritionnel basé sur un code couleur fait débat!
Comme je vous en parlais il y a quelques semaines (vous retrouvez l'article en cliquant-ici), l'instauration d'un code couleur pour l'étiquetage nutritionnel pourrait bien voir le jour en France. Tandis que Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, pourrait bien appuyer cette mesure dans son prochain projet de loi, le débat ne fait que commencer en cette rentrée. Comme nous le révèle un article de process alimentaire, Jean-Philippe Girard, président de l'Ania, s'oppose fermement à cette mesure. Ce qui n'empêche pas l'Ania d'être « pour » l'amélioration de l'information des produits alimentaires vis-à-vis des consommateurs.
Je cite: "Nos produits alimentaires sont le fruit d'un héritage : charcuteries, fromages, pains, bières, vins, spécialités régionales... Il poursuit: "On peut encore faire des progrès en travaillant sur l'éducation alimentaire, sur des discours plus simples autour des portions et des fréquences de consommation". Affaire à suivre! Etiquetage nutritionnel : les chocolatiers confiseurs contre les codes couleur / Flash. Comment (faire) adopter un comportement alimentaire plus sain ? La piste de la théorie de l'engagement ! Le magazine 60 millions de consommateurs a récemment testé le nouveau système simplifié d'information nutritionnelle qui pourrait voir le jour en établissant un étiquetage en cinq couleurs pour une centaine de produits.
Le vert pour les produits dont la qualité nutritionnelle est la meilleure et le rouge pour ceux de moins bonne vertu. Les autres couleurs sont le jaune, l'orange et le rose. Plusieurs systèmes sont en compétition. Par exemple, une note synthétique ou des étoiles. Cette classification donne l'impression de découvrir que certains produits, comme les mueslis, qu'ils considéraient peut-être comme de possibles porteurs de la pastille verte sont en fait d'une qualité nutritionnelle plus faible. Que faut-il penser d'un tel système ?
Pour décrypter une étiquette et bien utiliser les informations qu'elle procure, le consommateur a besoin d'un minimum d'éducation à la nutrition. Il m'arrive d'interroger des jeunes gens vis-à-vis des recommandations alimentaires du PNSS.