Peut-on être heureux au travail ? du 09 août 2016 - France Inter. Le travail c'est la santé, chantait Henri Salvador, mais ne rien faire c'est la conserver... Difficile d'évoquer le travail sans penser pénibilité. Dieu aurait condamné tous les hommes au labeur, mais si on en croit le baromètre Ipsos publié récemment, tous les hommes ne le vivent pas de la même façon. Les Français font partie de ceux qui se sentent le moins bien au boulot. Manque de considération de la hiérarchie, absence de perspective d'avenir, pas facile dans ces conditions de s'y épanouir.
Pourtant les études se multiplient pour dire qu'un salarié heureux c'est aussi un salarié performant. Technique de management ou altruisme ? Peut-on être heureux au travail ?
" Le Bonheur au Travail ", le film. Boris Cyrulnik : « Le travail peut être beau et rendre heureux » Acteurs de l'économie : Vous avez modélisé le principe de la résilience, cette capacité de se reconstruire et de se redresser après un traumatisme. Quelle réalité et quel avenir la société capitaliste moderne et l'entreprise réservent-elles à cette résilience ? Boris Cyrulnik : Qu'elle soit naturelle, individuelle, sociale ou d'entreprise, toute catastrophe engendre chez certaines victimes la volonté, la réaction de repartir. Sur un sol incendié ou une terre noyée, les gens résilients vont exploiter ce qui n'est pas mort et repartir avec d'autres fleurs, une autre faune. Cette part de personnes résilientes dans la population, déterminées à se remettre à vivre après un traumatisme qu'elles conserveront dans leur mémoire ou dans leur corps, l'OMS l'évalue à 50 %.
Cette hypothèse peut être retenue pour les entreprises capitalistes - celles d'Etat ne répondent pas aux mêmes phénomènes . Après un fracas, certaines redémarrent, d'autres abdiquent. Absolument. Absolument. Vos idées changent tout ! - I. Getz, A. Robinson - 2e édition. Blog de Pierre-Yves Gomez : échanges, publications, vidéos, actualités. Le rôle critique du 'Business Analyst' - Strategic Pilot sur Viadeo.com. Je vous propose de revisiter le profil et rôle du BA. Mise en évidence dans les années 80 par Barry Boehm (le dessin date de cette époque!) Et corroborée très régulièrement par Gartner, Standish, IAG, PMI …. la médiocrité des spécifications, les fameuses ‘Business Analysis’ (BA) est régulièrement citée comme la principale cause d’enlisement des projets IT. Globalement, cette fonction porte sur le développement ou l’amélioration de solutions informatiques ou organisationnelles… Un rôle critique demandant de réunir un certain nombre de compétences : • Connaissance approfondie ou générique du domaine à traiter. • Talent de détective.
Un homme curieux, méfiant. Le Business Analyst doit être à même d’interagir avec la plupart des intervenants : le Chef de Projet, le sponsor, les utilisateurs, le Management, le fournisseur de la solution … Il peut également se positionner comme un architecte apte à fournir une description conceptuelle de la solution. Votre avis ? Oser le conflit au travail. Que ce soit avec son patron, un client ou un collègue, ouvrir les hostilités peut être une démarche constructive qui pousse à repartir d'un bon pied. Pourtant, la plupart des gens écartent le conflit, par peur de recevoir une claque ou de s'emporter à l'excès. Ils redoutent aussi de briser le consensus ambiant, survalorisé aujourd'hui. Se fâcher est mal vu. Le risque de passer pour un belliqueux ou un emmerdeur pousse au déni de toute mésentente larvée.
Pourtant sortir ce qu'on a sur le coeur à bon escient est une catharsis qui ouvre sur la négociation et l'innovation. Méthode en cinq actes. 1. Aller au combat ou pas ? Dans un 2ème temps, jugez où vous mettez les pieds. 2. Le philosophe René Girard, "anthropologue de la violence", a catégorisé les types de conflits selon leur gravité et leurs effets néfastes. 1/Ceux portant sur les faits : le différend, quel que soit le sujet, peut s'objectiver. 3.
Vous êtes décidé à passer à l'action ? 4. Soyez direct sur le fond et soignez la forme.
L’idéologie du travail | blossomsocial. L’article de Diana Filippova, Connector OuiShare et paru dans Socialter est à lire absolument pour tout personne s’intéressant au Bien être au travail dans l’entreprise. En voici le lien dans LaTribune. Une fois de plus il démontre la pertinence de notre approche au sein de TheYellowBridge incarnée par notre matrice d’analyse du Bien être. Nous avons constaté que les analyses effectuées sur le sujet par les cabinets de consulting restent centrées sur un seul axe, celui de” l’expérience travail ” et ne prennent pas en compte la “valeur travail”. Le bonheur au travail est pourtant le croisement entre la valeur que nous octroyons au travail et l’expérimentation que nous faisons de celui ci.
A la lecture de l’article de Diana Filippova, certes un peu “engagé”, et sans forcément souscrire à tout ce qu’elle dit, on comprend aisément qu’il est toutefois indispensable de revoir fondamentalement toutes les études menées sur le sujet. Voici, in extenso, ce qu’elle dit… Travailler à tout prix.
Sandra ENLART.