Gustave Eiffel. Signature Gustave Eiffel, né Bonickhausen dit Eiffel le 15 décembre 1832 à Dijon et mort le 27 décembre 1923 à Paris, est un ingénieur centralien et un industriel français, qui a notamment participé à la construction de la tour Eiffel à Paris, du viaduc de Garabit et de la statue de la Liberté à New York[1].
Biographie Premiers pas Sa famille a porté longtemps le nom double « Bönickhausen dit Eiffel » (ou « Bonickhausen dit Eiffel », sans tréma, pour Gustave à sa naissance[2]). Son deuxième nom a été ajouté par un ancêtre allemand qui s’est installé à Paris au début du XVIIIe siècle, et qui était originaire de l'Eifel, à Marmagen dans l'actuelle Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Son père, Alexandre Bönickhausen Eiffel, officier, engagé dans les armées napoléoniennes en 1811, devint secrétaire de l'intendance militaire de Dijon, ville où il épousa en 1824 Catherine Mélanie Moneuse, fille d'un négociant de bois. Débuts Premiers succès Hangars, gares et galeries Ponts et viaducs Autres ouvrages Annexes. James Blaylock. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Œuvres principales. Tim Powers. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Powers. Tim Powers en 2012 au SFeraCon de Zagreb. Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Son premier vrai roman fut Les chevaliers de la brune (1979), mais le roman qui l'a révélé fut le suivant, Les Voies d'Anubis (1983), qui remporta le prix Philip K. Dans nombre de ses romans, Tim Powers fait intervenir des personnages ou des faits historiques, mais en les impliquant dans des évènements surnaturels ou fantastiques. Tim Powers, avec James Blaylock et K.
Profitant de la sortie du film Pirates des Caraïbes : La Fontaine de jouvence le 18 mai 2011, les éditions Bragelonne rééditent le 20 mai 2011, Sur des mers plus ignorées, le roman de Tim Powers qui inspira Ted Elliott et Terry Rossio, les scénaristes du film[1],[2]. En avril 2013, Bragelonne réédite Les Voies d’Anubis, un des ouvrages fondateurs du mouvement steampunk, et le plus grand succès en librairie de Tim Powers[3]. K. W. Jeter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
K. W. Jeter en 2011 Œuvres principales K. Biographie[modifier | modifier le code] Jeter est allé étudier à l'université d'État de Californie à Fullerton. Jeter a écrit ce qui est considéré comme l'un des premiers vrais romans cyberpunk[2], Dr Adder, qui était recommandé de manière enthousiaste par Philip K. H. G. Wells. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Wells. Herbert George Wells, plus connu sous la signature H. G. Wells, né le 21 septembre 1866 à Bromley dans le Kent, Royaume-Uni et mort le 13 août 1946 à Londres, est un écrivain britannique surtout connu aujourd'hui pour ses romans de science-fiction. Il fut cependant également l'auteur de nombreux romans de satire sociale, d'œuvres de prospective, de réflexions politiques et sociales ainsi que d'ouvrages de vulgarisation touchant aussi bien à la biologie, à l'histoire qu'aux questions sociales. Biographie[modifier | modifier le code] Il fut un auteur très prolifique qui écrivit aussi bien des romans réalistes que de la science-fiction, comme des essais sur l'histoire de l'humanité ou l'évolution future de la société. Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code] Un incident survenu alors qu'il n'avait que sept ans fut déterminant pour la suite de sa vie.
Années d'études[modifier | modifier le code] Jules Verne. Jules Verne photographié par Nadar, vers 1878. signature Jules Verne, né le 8 février 1828 à Nantes et mort le 24 mars 1905 à Amiens, est un écrivain français dont l'œuvre est, pour la plus grande partie, constituée de romans d'aventures évoquant les progrès scientifiques du XIXe siècle. Les romans de Jules Verne, toujours très documentés, se déroulent généralement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Ils prennent en compte les technologies de l'époque — Les Enfants du capitaine Grant (1868), Le Tour du monde en quatre-vingts jours (1873), Michel Strogoff (1876), L'Étoile du sud (1884), etc. — mais aussi d'autres non encore maîtrisées ou plus fantaisistes — De la Terre à la Lune (1865), Vingt Mille Lieues sous les mers (1870), Robur le Conquérant (1886), etc.
Outre ses romans, on lui doit de nombreuses pièces de théâtre, des nouvelles, des récits autobiographiques, des poésies, des chansons et des études scientifiques, artistiques et littéraires. Biographie Jeunesse Étudiant à Paris.