Comment l'Allemagne profite de la crise grecque. Angela Merkel et son gouvernement regroupant la droite et le PS allemand (SPD) sont les plus agressifs contre le peuple grec.
Ils ont imposé un nouveau mémorandum d’austérité en juillet. Ils défendent leur vision idéologique, l’ordolibéralisme, qui vise à exclure tout débat politique sur l’économie et la monnaie. Mais en agissant ainsi, ils défendent aussi les intérêts de l’État allemand et du capital allemand. Intérêt financier : la crise a rapporté au moins 100 milliards à l’Allemagne ! Selon une étude de l’Institut allemand de recherche économique Leibnitz (IWH), l’Allemagne aurait économisé 100 milliards d’euros depuis 2010 grâce à la baisse des taux d’intérêts auxquels elle emprunte. Grèce : Alexis Tsipras renonce à son plan anti-austérité. La bonne volonté du gouvernement grec n'aura pas duré une semaine.
Lundi 14 décembre, un projet de « programme parallèle » a été soumis aux députés grecs. Ce programme avait pour but de compenser les mesures d'austérité réclamées par les créanciers et que le gouvernement avait fait adopter depuis juillet dernier. Ce jeudi 17 décembre, le texte a été retiré. Selon des médias grecs, la cellule technique de l'Eurogroupe, l'Euro working group (EWG) aurait rejeté ce programme. L’Allemagne refuse de dédommager les Grecs victimes de la Wehrmacht mais verse des pensions aux fascistes espagnols de cette même Wehrmacht !!! La nouvelle est tombée en Espagne comme une bombe dans la deuxième semaine d’octobre : L’Allemagne paye -encore aujourd’hui ( !)
- des pensions aux fascistes espagnols qui ont combattu aux côtés de la Wehrmacht à Stalingrad! A la suite de cette révélation, l’un après l’autre presque tous les journaux espagnols ont déterré des semaines durant le passé douloureux et consacré nombre d’articles à l’infâme División Azul (Division Bleue) et ses 37.000 volontaires qui, avec la bénédiction du dictateur Franco, se sont trouvés il y a 73-74 ans en Union soviétique pour prêter main forte à l’Allemagne nazie et à sa tentative d’écraser le…bolchevisme ! Les leçons politiques de la trahison de Syriza en Grèce. Home » Nouvelles internationales » Documents du CIQI Déclaration du Comité International de la Quatrième Internationale 5 décembre 2015 1.
Une immense expérience stratégique de la classe ouvrière L’élection de septembre 2015 en Grèce qui a reconduit au pouvoir Syriza (la « Coalition de la gauche radicale) menée par le premier ministre Alexis Tsipras achève un stade déterminé de ce qui s’est avéré être une immense expérience stratégique de la classe ouvrière. La volte-face de Syriza à propos d’Israël est désormais complète. Par Asa Wintstanley, mardi 1er décembre 2015 Il fut un temps, Syriza était un parti politique populaire et de gauche, porté au pouvoir lors des élections grecques grâce à sa promesse de mettre fin à des années d’austérité imposée par le FMI et l’Union Européenne.
Mais aujourd’hui, la direction du parti a vendu tous ses principes, appliquant la même austérité que celle à laquelle il disait s’opposer, même après un vote « non » massif lors du référendum de cet été sur un nouveau plan de sauvetage assorti de conditions d’austérité encore plus sévères. Après la Grèce : quelles leçons pour la gauche européenne ? Sommaire Une rupture dans l’histoire de la construction européenne ?
Une Europe allemande ? La Grèce avait-elle des marges de manœuvre ? Thessalonique : un programme modéré en quête de compromis Desserrer l’étau financier Contrôle des capitaux et moratoire Moratoire Situation dans laquelle une dette est gelée par le créancier, qui renonce à en exiger le paiement dans les délais convenus. Cependant, durant la période de moratoire, les intérêts continuent de courir. Cet article figurera dans le livre, Europe, l’expérience grecque. Disons-le sans fard, l’acceptation par le gouvernement Tsipras d’un nouveau mémorandum constitue une défaite politique majeure, non seulement pour Syriza, qui a immédiatement explosé, mais surtout pour le peuple grec et pour tous les peuples d’Europe. « Les propositions de l’Eurogroupe sont de la folie.
Chronique d’une défaite grecque et de son lendemain. Dans ce texte, Vangelis Goulas fait le bilan de la séquence ouverte en janvier par la victoire de Syriza en Grèce et qui s'est close avec l'acceptation par Tsipras d'un troisième mémorandum, l'imposition d'un "coup d'État constitutionnel" et la transformation de Syriza en parti austéritaire.
L'auteur est membre d'Unité populaire, qu'il a rejoint après avoir été l'un des animateurs de Syriza-Paris. J’étais en Grèce au moment des élections, pour y exercer mes droits et devoirs de citoyen hellène. J’ai décidé de faire le voyage car je voulais, par mon vote, donner une voix aux 200 000 jeunes qui, au cours des 5 dernières années, ont été contraints de quitter le pays à la recherche d’un emploi à cause de la ravageuse politique d’austérité et des mémorandums. Communist Party of Greece - Le peuple doit organiser sa lutte avec le KKE. Le 7 Octobre les députés du KKE ont voté contre le gouvernement lors de la discussion des déclarations programmatiques du gouvernement.
Éventuellement le gouvernement a reçu les voix de 155 députés (sur les 300 qui siègent au Parlement grec). Plus tôt dans son discours au Parlement, Dimitris Koutsoumpas, les SG du CC du KKE, a souligné que le peuple ne doit pas montrer aucune tolérance à la ligne politique du gouvernement. Il doit se battre pour ses droits de manière organisée. Le gouvernement n'a pas le droit d'interpréter les résultats des élections comme une approbation de ses politiques antipopulaires et des mesures dures qu'il apporte.
D. Il avance vers l'avant et appelle le peuple à organiser sa lutte, préparer sa contre-attaque, dans une ligne de rupture avec l'exploitation et le pouvoir capitaliste. Lorsque le peuple décide de vraiment prendre les choses en ses propres mains, rien ne peut l’arrêter.