Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. Nous ne gardons en mémoire les informations de cette dernière que durant quelques millisecondes.
La deuxième mémoire est la mémoire à court terme. Nous abordons maintenant la mémoire « durable ». Mémoriser sur le long terme demande aussi de la répétition. Evaluer les acquis : adapter l'évaluation aux niveaux de formation. Evaluer les acquis de formation, oui mais comment ?
Comment assurer l’adéquation entre les objectifs visés par la formation et l’évaluation censée mesurer leur atteinte ? Voici une proposition. Ma proposition est construite au croisement de deux taxonomies : « SOLO », pour « Structure of Observed Learning Outcomes » (Structure des résultats observés des apprentissages) de Biggs et Collis (1982) et Bloom (1956). « SOLO » a justement le mérite d’attirer notre attention sur les livrables résultant des apprentissages. Ainsi, écrit Carmel McNaught (2011), « l’évaluation doit être liée au résultat souhaité des apprentissages » (..). J’ai déjà abordé la taxonomie de Bloom dans le billet « De l’intérêt des objectifs pédagogiques » . « Maîtriser » regroupe le deux niveaux supérieurs (« Evaluer » et « Créer » pour le domaine cognitif). Evaluer les fondamentaux Evaluer au niveau « Maîtrise » Enfin, le troisième niveau requiert à son tour des « résultats observables des apprentissages » plus complexes.
Les 7 clés de la mémoire. Comment retenir ?
Comment mémoriser son cours en vue des examens ? Comment retenir des listes de chiffres ou de noms ? Au-delà des techniques mnémotechniques – que j’aborderai dans d’autres billets – il y a quelques principes à pratiquer d’urgence pour favoriser une bonne mémoire. J’en ai illustré 7 sur cette carte heuristique. 10_principes_de_la_memorisation. La mémorisation. Créer de bonnes habitudes de mémorisation. ©stockxpert_orla Vous savez quoi ?
Le principal problème avec les techniques de mémorisation, c’est de s’en rappeler ! Sérieusement, il existe quantité de méthodes et d’exercices pour stimuler la mémoire, mais si vous ne prenez pas l’habitude de les utiliser, vous allez les oublier… Quelle que soit la mnémotechnique, vous devez faire un effort conscient pour l’appliquer jusqu’à ce qu’elle devienne automatique. C’est comme cela qu’on développe sa mémoire. Nous sommes tous conscients du fait qu’il est possible de développer nos mémoires avec des exercices quotidiens prévus pour une augmentation graduelle de la difficulté; Comme la pratique régulière d’un sport augmente nos capacités physiques. Nous pouvons donc stimuler notre mémoire grâce à de simples activités quotidiennes du cerveau. Donnez-vous l’ordre d’enregistrer. Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation.
Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ?
Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ? Ce sont quelques questions que je me pose depuis quelques années. Et sur lesquelles je voudrais échanger avec vous au cours d’une nouvelle série d’articles. Les arts de la mémoire ont connu une longue éclipse avant d’être remis à l’honneur par les livres de Dame Frances Yates. Mais quels sont les principes qui ont été utilisés par les « mnémonistes » au cours des 3 derniers millénaires pour mémoriser tant des discours que des poèmes ou des formules de mathématiques ?
Trois principes fondamentaux En fait, ces principes sont au nombre de 3. 10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre. Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ? Comment éviter de bachoter ? Comment mémoriser durablement ? Quelles sont les méthodes efficaces pour réviser ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien.
Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. 3. Jupiter rit à gorge déployée. 4.
Le sketchnote.