La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique
Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Le plus haut niveau étant le besoin de s’épanouir. Voici l’explication de chacun des niveaux.
Apprendre à apprendre: les méthodes d'apprentissage, piliers de la réussite?
"Si les élèves défavorisés avaient le même niveau de connaissance des stratégies efficaces d'apprentissage que les élèves favorisés, l'écart de performance entre ces deux groupes diminuerait de près de 20%" est-il estimé dans la note de juillet PISA à la loupe de l'OCDE. Cette affirmation se fonde sur une évaluation, reprise de l'enquête PISA 2009, sur les méthodes qu'utilisent les élèves pour rédiger un résumé de texte. Depuis plus d'un siècle -depuis bien plus longtemps que certains le croient, cf mon billet de mai- l'expression "apprendre à apprendre" s'est imposée dans le débat éducatif, mais davantage comme une position de principe (voire une pétition de principe) que comme le résultat dûment validé de variations opérationnelles empiriques. C'est dire l'intérêt des observations de cette dernière note de Pisa à la loupe. Les stratégies d'apprentissage en question 1) "Je vérifie soigneusement si les éléments les plus importants du texte figurent dans mon résumé"
Les 12 lois du cerveau
Phrase-résumée de “Les 12 lois du cerveau” : Un neuroscientifique clair et pragmatique nous fait partir à la conquête des découvertes récentes sur le fonctionnement du cerveau humain pour mieux nous comprendre et vivre une vie meilleure. Ce livre a été édité en version originale en 2008, sous le titre Brain Rules, et fait partie du Personal MBA. En France, il est paru en novembre 2010, traduit de l’anglais (Etats Unis) par Sabine Rolland chez LEDUC.S éditions (300 pages).
Mémorisation : trouver sa stratégie
Dans tous les cas : lire, relire, et réviser plusieurs fois Il faut souvent apprendre plusieurs fois pour mémoriser vraiment Il n'y a pas de secret : pour bien mémoriser, il faut relire et réviser plusieurs fois le même cours et la même leçon. C'est la règle de base indispensable à tous, quelle que soit votre forme d'apprentissage. Vous le savez sans doute déjà : il est conseillé de relire une première fois un cours ou une leçon, le jour ou le soir même. Pourquoi ?
Les phrases à dire à un enfant qui boude
Tous les enfants boudent, c’est ainsi. Je vais vous donner aujourd’hui un « truc » pour éviter que cela ne devienne une habitude (à vie!) et pour contrecarrer les séances de bouderies en éloignant la culpabilité parentale. L’effet des bouderies La bouderie provoque chez les parents une remise en question via l’émergence de la douloureuse culpabilité. Et si le stress est déjà présent, la colère peut rapidement se déclencher en guise de mécanisme de défense.
Donnez du sens à vos études » Comment s’exercer à apprendre ?
Isabelle Le Brun est docteur en neurosciences et maître de conférence à l'Université Joseph Fourier de Grenoble. Elle a conçu et enseigne une UV portant sur les méthodes d'apprentissage, dans le cadre de laquelle elle s'appuie sur les dernières recherches validées dans son champ de recherche (mise en pratique de la diffusion et du développement des savoirs). Avec son collègue Pascal Lafourcade, ils ont eu l'idée d'écrire un livre pour partager ce qu'ils expérimentent avec leurs étudiants.
Apprendre à apprendre (1/4) : deux modes d’apprentissage
Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ?
Comment gérer ses tâches et son temps
Comment gérer son temps ? Comment arriver à tout faire, y compris ne rien faire ? Ah, ceci est un vaste programme. Il ne sera pas résolu en deux lignes, ni en deux pages. Ni en deux vidéos. Mais quelques pistes peuvent d’ores et déjà être envisagées.
Les douces violences pratiquées à la maison et en crèche.
Les douces violences du quotidien, ce ne sont pas les fessées, les coups, la maltraitance ou tout châtiment corporel. Ce sont des actes brefs et fréquents, que l’adulte pense anodin, et qui mettent l’enfant dans une insécurité affective. Cela peut-être des paroles blessantes, des gestes maladroits, des jugements, des a priori. En aucun cas, le parent ou l’adulte ne souhaite nuire à l’enfant, et pourtant celui-ci se prend ces remarques de plein fouet, ce qui le déconnecte de l’adulte aimant et l’isole affectivement. C’est presque inconsciemment que l’adulte pratique ces douces violences.