Combattre l'addiction aux jeux vidéo. Juin 2016 Dans l'immense majorité des cas, la consommation des jeux vidéo par les ados et pré-ados est avant tout... le problème des parents !
Sur le plan clinique, les véritables addictions pathologiques aux jeux vidéo sont rarissimes, même si elles sont bien réelles. Comment canaliser la fascination exercée par ces jeux sur les enfants ? Quels comportements les parents doivent-ils adopter ? Conseils à suivre. Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller. Problèmes scolaires, abandon du sport et de la vie familiale sont autant de symptômes caractéristiques d'un joueur pathologique.
Enfermé dans sa chambre, votre enfant est accroché à son ordinateur, les yeux rivés sur son écran, hermétique à toutes remarques ou demandes tant son attention est retenue par son jeu vidéo et par les autres jeunes qui «en ligne» évoluent dans le même monde virtuel que lui… Est-ce grave docteur? Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. France 2 - L'addiction aux jeux vidéo - vidéo dailymotion. L'addiction aux jeux vidéo : mythe ou réalité ? Peut-on vraiment être dépendant aux jeux vidéo ?
C'est la question que nous avons posée au Docteur Bruno Rocher, psychiatre spécialisé dans ce domaine. Pour ce médecin du centre de référence en la matière, la réponse est clairement oui. Et il affirme que renforcer la pédagogie pour les parents est primordial. Peut-on, médicalement parlant, devenir dépendant aux jeux vidéo ? La possibilité qu’existe un phénomène d’addiction aux jeux divise depuis longtemps les joueurs, les médias, les politiques et même les médecins. Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo. L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies a étudié le comportement de 2 000 élèves de 12 à 16 ans.
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo. C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*. Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette.