Artémis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le nom d'Artémis[modifier | modifier le code] Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[6] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes », déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Elle erre aussi dans les agroi, les terres en friches, incultes et peu fréquentées. Comme le souligne Jean-Pierre Vernant, elle « a sa place en bordure de mer, dans les zones côtières où entre terre et eau les limites sont indécises[7] ». Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement[10]. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Didrachme d'Ionie représentant la déesse Artémis. Nymphe grecque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Nymphe. Elles sont bienfaisantes et fertilisent la nature. Elles protègent les fiancés qui viennent plonger dans leur source, inspirent de même les humains, peuvent les guérir de leurs maux. Amoureuses des dieux, mais généralement simples mortelles vivant des milliers d’années, les nymphes insouciantes chantent dans les lieux qu’elles occupent. De leur union avec les mortels sont nés les héros, les demi-dieux. Typologie[modifier | modifier le code] Il y a différentes sortes de nymphes, selon le milieu naturel où elles vivent.
Épigées. Oréades. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sources[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail de la mythologie grecque. Corycides. Napées. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Auloniades. Limoniades. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans la mythologie grecque, les limoniades ou limniades sont les nymphes des fleurs et des plantes. Alséides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dryades (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Dryade. Les dryades sont, dans la mythologie grecque, trois nymphes, des déesses mineures liées aux chênes en particulier, et aux arbres en général[1]. Le nom de dryades fut plus tard utilisé pour désigner les figures divines présidant au culte des arbres et de la forêt[2]. Elles sont généralement considérées comme des créatures très timides qui se montrent rarement, sauf à la déesse Artémis qui est réputée être l'amie de la plupart des nymphes. Le mot « dryades » est issu du grec ancien Δρυάδες / druádes, de δρῦς / drũs, qui signifie « chêne »[3]. Peinture représentant la dryade Caïssa Les hamadryades, contrairement aux dryades, étaient attachées spécifiquement à un arbre et mouraient avec lui s'il était abattu. Représentation classique d'une dryade Jack Vance (Le Prince des étoiles) en fit des êtres mi-humains mi-arbres.
Hespérides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sources[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Hamadryades. Méliades. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans la mythologie grecque, les Méliades, Mélies ou encore nymphes méliennes (en grec ancien Μελίαι / Melíai ou Μελιάδες / Meliádes, de μελία / melía, « frêne ») sont les nymphes des frênes. Selon Hésiode, elles furent engendrées par Gaïa (la Terre), fécondée par les gouttes de sang des organes génitaux tranchés d’Ouranos (le Ciel) et elles engendrèrent une race éhontée d’hommes. Épimélides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans la mythologie grecque, les épimélides, mélides, ou encore épiméliades, sont les nymphes protectrices des pommiers. Cependant, le mot μηλον qui désigne la pomme, signifie aussi dans les textes grecs antiques, « mouton ». Cette traduction donne donc aussi aux épimélides la fonction de protectrice des moutons et des chèvres. Leurs cheveux sont blancs comme des fleurs de pommier ou parallèlement comme la laine de mouton. Hyléores. Ouranies. Alcyonides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Désespérées de la mort de leur père (tué par Héraclès lors de la Gigantomachie), elles se jetèrent dans la mer et y furent changées en « alcyons » (martins-pêcheurs). Souda [(en)(grc) lire en ligne]. Portail de la mythologie grecque. Néphélées. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Néphélé. Elles s'élèvent des flots de leur père, le grand fleuve Océan qui entoure le monde, emportant avec elles vers le Ciel, ses eaux fraîches dans des cruches faites de nuages. De ces eaux, elles nourrissent la Terre et alimentent les eaux de leurs frères, les dieux fleuves. Certains auteurs comptent la nuée Néphélé comme l'une d'elles.
Hyades (mythologie) Héliades. Pléiades (mythologie) Thyades. Muses. Lampades. Hydriades. Océanides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, les Océanides, ou Océanines (du grec ancien Ὠκεανίδες / Ôkeanídes, pluriel de Ὠκεανίς / Ôkeanís), sont des nymphes aquatiques mais non marines (à l'inverse des Néréides), principalement rattachées au cours de leur père Océan. Dans les traditions les plus reculées, notamment chez Hésiode, chez Eschyle ou dans les Hymnes homériques, les Océanides ont rang de déesses à part entière (et ce, au même titre que les Titanides de la seconde génération) et constituent un groupe clairement distinct des naïades, généralement regardées comme les filles des dieux fleuves ou bien de Zeus « pluvieux », et qui bénéficient d'une existence anormalement longue, mais non éternelle.
Naïades. Limnades. Potamides. Crénées. Héléades. Éphydriades. Pégées. Haliades. Psamides. Néréides. Dioscures.