Les GAFA et ses algorithmes : faut-il s’en méfier ? Est-ce que le manque d’éducation autour des données crée de la méfiance ?
Probablement, les data sont représentées comme complexes et inaccessibles aux non-professionnels. C’est dans ce contexte précis que la formation et l’éducation autour des données sont des outils qui permettent de démystifier ce sujet. Ces outils peuvent être utilisés pour développer des connaissances dans le domaine des données, des algorithmes et ainsi réduire la méfiance existante autour de ces enjeux. L’inconnu et l’ignorance aboutissent à la méfiance, c’est ici que l’éducation et le savoir ont une place centrale. C’est en donnant de la visibilité aux enjeux présents autour des données qu’il sera possible de faire disparaître la méfiance. Les GAFA ont un avantage considérable dans le domaine des data, et donc peu d’intérêt à modifier leur fonctionnement actuel.
Pour sortir de ce schéma, la solution pourrait être la supranationalisation de l’index de Google. Accueil - 21e siècle. Affordance.info. La "viscosité" c'est, nous dit Wikipédia, "l'ensemble des phénomènes de résistance à l'écoulement se produisant dans la masse d'une matière, pour un écoulement uniforme et sans turbulence.
Plus la viscosité augmente, et plus la capacité du fluide à s'écouler facilement diminue, plus l'énergie dissipée par l'écoulement sera importante. " Bref c'est l'inverse de la fluidité. L'algorithme visqueux. Dans une interview récente au magazine Usbek & Rica, sur le sujet de la lutte contre les discours de haine ou contre les logiques de radicalisation à l'échelle des plateformes sociales et de leurs algorithmes, Gérald Bronner parle de "viscosité sociale". "On pourrait créer par les algorithmes de la viscosité sociale sur les informations douteuses, sans les retirer pour autant.
En bref, que les algorithmes participent au ralentissement et à la réflexion plutôt qu'à l'accélération, à la viralité et à la dimension pulsionnelle de la rediffusion. Culture numérique session 2009 - A Video PlayList on Dailymotion. Apprentissage et construction des savoirs. Serge Tisseron. Cela évoque bien sûr quatre étapes essentielles de la vie des enfants : 3 ans, c’est l’admission en maternelle, 6 ans, l’entrée en CP, 9 ans, l’accès à la maîtrise de la lecture et de l’écriture, et 12 ans l’âge où il trouve ses repères en collège.
Mais ce sont aussi d’excellents repères pour savoir à quel âge et comment introduire les différents écrans dans la vie de nos enfants. En effet, de la même façon qu’il existe des règles pour l’introduction des laitages, des légumes et des viandes dans l’alimentation d’un enfant, il est possible de concevoir une diététique des écrans, afin d’apprendre à utiliser correctement les écrans comme on apprend à bien se nourrir. Télécharger les affiches Les affiches de la campagne sont téléchargeables en cliquant ici (ou à défaut, contact : serge.tisseron@gmail.com). Commander les affiches Les affiches peuvent être demandées en version papier aux éditions éres : a.bardou@editions-eres.com, ou bien 05 61 75 40 82.
Les 7 compétences clés du travail de demain. Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain. Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Quelles doivent être les priorités en termes de développement des compétences ? Essayons de creuser. Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue).
Plus de 50h de vidéo sur les usages du numérique dans l’éducation. Outils du web 2.0. “Le web 2.0 repose sur un ensemble de modèles de conception : des systèmes architecturaux plus intelligents qui permettent aux gens de les utiliser, des modèles d’affaires légers qui rendent possible la syndication et la coopération des données et des services… Le web 2.0 c’est le moment où les gens réalisent que ce n’est pas le logiciel qui fait le web, mais les services ” Source : Tim O'Reilly, "What is web 2.0", 30 septembre 2005 Web 2.0 : internautes actifs publication figée, contrôle individuel web 2.0 : Participation, coopération, collaboration Encyclopédies (Encarta, etc) Web 2.0 : syndication, interconnexion des outils, intégration d'éléments description des contenus partagés Aide à la recherche, à la navigation, à la présentation des infos (nuage) Des posts ou articles de blogs des médias : Flickr, Youtube, etc rss modèle horizontal, communautaire qui facilite une co-construction des contenus / Plutôt qu'une verticalité hiérarchique...
Un environnement cliquable (réalité augmentée) ? Nettoyer ses comptes sur les réseaux sociaux en quelques clics. Cours. L'annuaire des MOOC Francophone. Portail Adress'RLR: Accueil. Critique numérique BDevauchelle. Culture numérique et internet responsable.