Formules d'e-mails : ce qu'elles révèlent de vous. Certaines expressions ou formulations anodines contenues dans les courriels donnent une bien mauvaise image de leur expéditeur. 100 milliards.
C'est le nombre d' e-mails professionnels envoyés quotidiennement dans le monde, révèle une étude menée par Alinto. Que ce soit pour une recherche d'emploi, un envoi de devis ou un simple échange d'informations avec un supérieur hiérarchique, un subordonné ou un simple collègue, les e-mails sont partout. Et les risques de froisser son interlocuteur sont nombreux. Ils passent par des mauvaises informations, des fautes d'orthographe mais aussi par des formulations maladroites. Pour vous aider à identifier les formulations malencontreuses (que vous pensez surement pertinentes), le JDN a fait appel à une spécialiste: Sylvie Azoulay-Bismuth : formatrice en communication et auteur de l'ouvrage "Etre un pro de l'e-mail : 7 étapes pour rédiger des e-mails efficaces".
Et aussi 100 milliards. Et les risques de froisser son interlocuteur sont nombreux.
De l'importance d'une bonne ponctuation quand on veut être (bien) lu. La ponctuation dans un texte est trop souvent : rare ou absente ;mal placée ;inadaptée ;omniprésente.
Écrire c’est aussi une histoire de ponctuation. Une ponctuation inadaptée ralentit le lecteur et l’empêche de comprendre facilement le texte. Oublier les règles de ponctuation dans une phrase, c’est prendre le risque d’être mal lu ou de ne pas être lu du tout par notre destinataire. En plus, la ponctuation est essentielle pour structurer ses phrases et les rendre lisibles. J’ai écrit dans un précédent billet que la longueur idéale de la phrase était de 20 mots en moyenne. La phrase […] est un ensemble matériellement délimité par deux signes de ponctuation forts. […] Les signes de ponctuation forts étant le point, les points d’exclamation et d’interrogation.
En effet, cette précision introduit un élément essentiel du bien-écrire dans le cadre de relations professionnelles : la ponctuation. L’exemple ci-après illustre bien comment la ponctuation peut changer tout le sens d’une phrase. Ceux qui se fichent de faire des fautes d'orthographe se trompent lourdement. Tout comme moi, il ne vous a pas échappé que dans notre société, l’orthographe est à ce point sacralisée que toute faute cloue au pilori celui l’a faite.
Même si « l’orthographe ne fait pas le génie » (citation de Stendhal). Le fait est que dans le milieu professionnel, certaines fautes d’orthographe sont susceptibles de fortement mettre en cause la crédibilité de leur auteur. Pour des raisons d’abord historiques et culturelles puis économiques dans un marché de l’emploi difficile d’accès, l’orthographe est un véritable marqueur de compétences… ou d’absence de compétences. Ce propos pourra vous sembler excessif. Il existe un point commun entre la pyramide inversée et un email... Que doit-on écrire dans un mail ?
Question récurrente à chaque fois que l’on se prépare à envoyer un mail.Quelles informations y faire figurer pour ne pas dépasser la quinzaine de lignes recommandée ? Comment faire court et efficace ? Quel plan d'écriture pour un mail efficace ? Trois mini-plans faciles à utiliser. Quelle signature pour un mail professionnel ? Eh oui, un mail professionnel doit l’être jusqu’au bout, autrement dit jusqu’à la signature de son auteur.
Une signature de mail, c’est la version électronique de la carte de visite. Dans les deux cas, l’objectif est le même : permettre à votre interlocuteur de vous contacter rapidement et sans erreur. Elle donne à voir de votre personnalité. Autant le préciser immédiatement, une signature professionnelle est une signature : Sobre. Avant d’entrer dans le vif du sujet, je tiens à préciser que si la signature de vos mails professionnels est normalisée, car soumise à la charte graphique de votre organisation, ce billet ne vous sera pas forcément très utile. Du bon usage du Cci dans un mail % Savez-vous dans quel cas, il faut utiliser la rubrique CCi d’un mail professionnel ?
Avant de démarrer, petit détour par les rubriques d’un mail. Schématiquement, on trouve toujours les rubriques suivantes : Quel que soit le fournisseur d’accès (orange, free, microsoft, google, etc), les entêtes de mail des destinataires sont toutes les mêmes (seules changent leur présentation et leur configuration): de = expéditeurA = destinataire pour action (pour plus de précisions, voir ce billet)Cc (pour Copie Carbone) = destinataire pour information (idem)CCi (pour Copie Carbone invisible) = destinataire pour information « masqué » Copie carbone invisible, c’est quoi cette appellation ? J’imagine que « copie carbone » est un concept que peu de moins de 40 ans connaissent… C’était l’époque où le photocopieur n’avait pas encore été inventé et où la copie carbone était alors le seul moyen de conserver des doubles des lettres et documents importants. À quoi sert le Cci ?