La parole plus forte que la violence.
Quartiers populaires et mobilisation des habitants. La Smart City n'aime pas les pauvres. École de l'innovation citoyenne - Accueil. Des lieux collectifs pour se ressourcer - Développement Durable. Chez nous - Banlieues Créatives. Photos fournies par l’association : © Yves Monteil CONTEXTE : Au Breil, quartier sensible de Nantes où se côtoient des populations aux origines multiples, Marï-Am Sao est une figure.
Fondatrice de l’association de solidarité locale et internationale Tak-Après (devenue Tak-Chez nous) qui œuvre dans le quartier depuis 1999, cette trentenaire à la triple culture (française, peulh, arabique) a une conviction chevillée au corps : l’inter-culturalité est un vecteur de cohésion sociale. La question est : comment faire fonctionner ensemble ces populations en actant le flux migratoire comme une réalité de ce pays devenu métissé et en aidant les migrants à être acteurs de leur territoire ?
SideWays #7 - Aujourd'hui Restaurons Demain (Adda) Au début des années 2000, Xavier prend conscience des problèmes de ressources puis se renseigne sur tout ce qui y est lié : pic de pétrole, contrainte carbone, changement climatique, etc.
Il en parle autour de lui, à sa famille, ses amis. Avec Claire, sa compagne, ils ressentent le besoin d'agir concrètement pour aider à la prise de conscience environnementale et aux changements de pratiques. Ils réunissent leurs amis et créent l'ADDA : Association pour le Développement Durable par l'Alimentation*. * Estimant que le terme "développement durable" était galvaudé, le conseil d'administration de l'association l'a supprimé. Le nom ADDA est resté avec son slogan initial : AujourD'hui restaurons DemAin. Interview. . « Ce n’était pas l'idée de faire du prosélytisme, c'était de mutualiser nos énergies, nos savoir-faire, nos connaissances pour aller dans une autre direction avec ceux qui le souhaitent » Claire. La Nizanerie. D’un appel à projet citoyen à la création d’un espace public, le projet de La Nizanerie à l’initiative du collectif Fil a accueillit de multiples débats, ateliers, événements festifs, proposés par le collectif ou initiés par des habitants.
Née de la volonté de révéler un lieu et d’accompagner la création d’une rue au cœur d’un ancien quartier ouvrier, la Nizanerie se veut être un témoin actif de la vie de ce quartier tout autant qu’un acteur de son évolution. Urbanisme, Implication citoyenneJanvier 2013 – Juin 2014Quartier République les Ponts, NantesLa Nizanerie est le premier projet du collectif Fil, initié par l’appel à projet citoyen Green Capitale il a été soutenu financièrement par la Fondation de France.
Une boîte Utile. Une belle expérience d’intervention spontanée sur l’espace public !
En 2 mois seulement, grâce à une dynamique d’équipe remarquable et une complémentarité de compétences, la première boite utile nantaise (ou GiveBox) a vu le jour dans notre chère rue Paul Nizan! Une aventure d’appropriation de l’espace public que nous espérons poursuivre sur d’autres quartier nantais… Construction, SensibilisationOctobre-novembre 2014rue Paul Nizan, Ile de Nantes, NantesParticipation à la création de la première givebox nantaise en partenariat avec les Boites Utiles et monEcocity Nantes .Une givebox ? Quartier de Preux. Urbanisme, Etude préliminaire, Livré / Janvier-Septembre 2015 / Quartier de Preux, Saint Herblain / Atelier Fil associé à Campo (paysage), TRIBU (environnement), PreAU (économie), et au Collectif Fil (R&D) / Commande ville de Saint Herblain La ville de Saint Herblain a missionné les trois équipes lauréates du concours Europan 12 sur le quartier de Preux pour réaliser une étude de faisabilité urbaine, de janvier à septembre 2015.
La maitrise d’ouvrage formule une demande particulière qui est de répondre à une urgence d’intervention, et l’absence de financements spécifiques. Pour cela, l’Atelier Fil a choisi de travailler en partenariat avec le Collectif Fil, pour développer des outils de dialogue avec l’ensemble des acteurs et mettre en place une démarche de recherche sur des dispositifs urbains.
Conciergerie / accorderie / ... Art & Culture. Compostage. Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme. Des trottoirs et des parkings vides longent les vastes avenues.
Une enfilade de magasins aux rideaux baissés quadrille le centre-ville de Détroit, berceau de l’industrie automobile américaine. Les banderoles « à vendre » et « à louer » se succèdent sur les façades des bâtiments. 80 000 logements seraient abandonnés, soit près de un sur cinq. Avec ses maisons saccagées, brûlées ou envahies par la végétation, « Motor City » donne l’impression d’une ville fantôme. Symbole de cette déroute, Détroit vient d’être mis sous la tutelle d’un « coordinateur d’urgence » pour au moins un an. « Pendant les soixante-dix dernières années, les habitants de Détroit ont cru à tort que leurs vies étaient liées à General Motors, Ford et Chrysler, explique Maureen Taylor, militante depuis des années dans la lutte contre la pauvreté. Exode urbain.
Voyage dans l’innovation sociale scandinave (1/3) : Construire la ville durable avec ses habitants. A l’invitation de la 27e Région pour son second voyage d’étude dans l’innovation sociale européenne (après la Grande-Bretagne l’année dernière), nous nous sommes intéressés cette année à l’innovation sociale scandinave, avec un voyage d’études à Copenhague et Malmö.
Malmö, laboratoire scandinave Malmö est la porte d’entrée de la Suède. C’est la ville opposée à Copenhague, qui se trouve de l’autre côté du détroit de l’Øresund qui relie la mer baltique à la mer du Nord, reliée depuis 10 ans par un pont qui a transformé l’économie de la 3e ville de Suède qui compte désormais quelque 300 000 habitants. Passés les charmes de son centre ancien, Malmö est une ville en explosion démographique, économique et urbaine, notamment via l’écoquartier modèle Bo01, un ancien chantier naval conquis sur la mer. Image : Turning Torso, la plus haute tour d’habitation d’Europe, emblème du nouveau quartier de Malmö, Bo01, par Olof S.
Image : Le Medea Lab à Malmö, par la 27e Région. Impliquer les habitants. Participation des habitants. Gage d’efficacité et de durabilité du développement du territoire Considérant dès lors la commune comme un écosystème complexe (naturel, patrimonial, humain et culturel) lui-même intégré dans un écosystème plus vaste, les élus ont clairement choisi de s’orienter vers un modèle de développement qui tire les leçons du passé et n’oublie personne.
Un modèle qui permette à chacun de participer à la vie collective et de trouver sa place dans la ville. Loos-en-Gohelle s’est donc fixé pour ambition de se transformer et de se développer par le développement durable. Alliant équité sociale, développement économique (création de richesses) et préservation de l’environnement, le développement durable pose la question des « besoins » comme préalable à toute action. La démocratie participative (ou participation citoyenne), parce qu’elle permet une meilleure expression des besoins et une qualification de la demande des acteurs, est donc inscrite au cœur même du processus. Les élus se doivent de : POC21 is an innovation camp for open source sustainability in 2015. Le Sentier.
Loos-en-Gohelle, l’exemple français du développement durable construit par les. Ancienne petite ville minière du Pas-de-Calais, Loos-en-Gohelle s’est engagée depuis une vingtaine d’années, avec et pour ses habitants, dans la construction d’un territoire qui tente de répondre aux exigences du développement durable.
La ville démontre que l’implication des citoyens permet l’innovation. Conscients des urgences croissantes auxquelles est confrontée notre société, que ce soit dans les domaines écologique, économique et social, les élus ont souhaité réorienter le modèle de développement actuel. Les Grands Voisins – Fabrique de biens communs.
La maîtrise d’usage du programme immobilier îlink. Inspirée des pratiques de l’urbanisme participatif, la maîtrise d’usage est un processus de conception tourné vers l’expérience et l’expertise de l’utilisateur.
La maîtrise d’usage sert à concevoir des produits et services adaptés aux usages de leurs utilisateurs. Mener une démarche de maîtrise d’usage consiste donc à reconnaître l’usager comme expert de son quotidien, à le positionner au cœur du processus de conception et à le rendre acteur de ce processus : c’est ce que l’on appelle l’expertise habitante. Cela passe par deux missions principales : organiser la concertation et imaginer les usages du futur quartier.