Qu'est-ce qu'une dystopie ? 10 exemples de classiques à lire ! Big Brother, personnage conceptuel du roman de Georges Orwell, 1984 Avant toutes choses, qu’est-ce qu’une dystopie ?
Une dystopie est une utopie fond ée sur de mauvais principes : c’est un récit de fiction qui décrit une société détestable où le bonheur est impossible. Le contre-modèle de société que décrit une dystopie est souvent régi par un pouvoir dictatorial, totalitaire, ou par une idéologie néfaste qui empêche les citoyens d’y être libres. Une dystopie peut aussi se dérouler dans un monde post-apocalyptique, après qu’une catastrophe écologique a dégradé l’environnement ou l’humanité même. On pourra parler de contre-utopie, en revanche, pour désigner une utopie, fondée sur de bons principes, mais dont la réalité est finalement indésirable car effrayante. Lorsqu’un auteur écrit une dystopie, il a bien sûr pour objectif de faire réfléchir le lecteur sur certaines menaces qui pèsent sur la société à l’époque où il vit.
L’étymologie de dystopie 1. L’acheter 2. L’acheter 3. L’acheter. Black Mirror (série télévisée) Cet article ou cette section contient des informations sur une série télévisée en cours de production, programmée ou prévue.
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Black Mirror ([blak ˈmɪɹə][1] litt. « Miroir noir » en français) est une anthologie télévisée britannique, créée par Charlie Brooker. D'abord diffusée sur Channel 4 de 2011 à 2014, elle a connu un succès international et est depuis 2016 (troisième saison) produite par Netflix. Les épisodes sont liés par le thème commun de la mise en œuvre d'une technologie dystopique. La série a reçu un très bon accueil critique. L'Hymne national (The National Anthem)15 millions de mérites (15 Million Merits)Retour sur image (The Entire History of You)
(5) Notation des salariés : l’autre guerre des étoiles. Notation des salariés : l’autre guerre des étoiles «Ns rmrqns q vs drnèrs nts snt très n dsss ds stndrds d qlt q’ttndnt ls tlstrs.»
Trs ms près vr prs l vlnt d s brln nr, Fbn (1) rçt c txt cmm n cp dns l vntr. Ls vltns lsss pr ls clnts d c chffr br près chq crs trnnt tr d 4 tls sr 5 n mynn. nsffsnt x yx d l pltfrm q xg n nt mnml q flct ntr 4,4 t 4,6 sln l’hmr ds rspnsbls d l’ntrprs mrcn. «J m ss rtrv sns rvns d jr lndmn. J’ dû m rndr sèg, ù ls m’nt cnvq pr ffctr n stg», xplq Fbn. Notation des salariés : dans les télécoms, omerta sur un système. Des quotas de bons et mauvais éléments dans certaines entreprises : 5% des employés "doivent gicler", témoigne un DRH.
Licenciements abusifs, chasse aux syndicalistes, classement des employés selon des quotas de bons et mauvais éléments… dans "Envoyé spécial", un directeur des ressources humaines révèle les méthodes de certaines entreprises pour vider les bureaux, à moindres frais et sans plan social.
Extrait. Selon Didier Bille, DRH pendant plus de vingt ans dans plusieurs multinationales, la direction de certaines entreprises imposerait par exemple à ses managers de classer leurs salariés par groupes. En clair, de réaliser des quotas de bons et mauvais élèves, comme le montre le document que s'est procuré "Envoyé spécial" – or, si la notation des salariés n’est pas interdite en France, contraindre des cadres à sous-noter des salariés est illégal.
Le manager d'une équipe est ainsi prié d'y trouver 8% de "top talents", 77% de "niveau moyen", et 5% de "maillons faibles" à licencier au plus vite. Concrètement, comment faire appliquer ces quotas à des managers satisfaits de leur équipe ? Humains augmentés: ils se font poser des puces dans la main. Une entreprise américaine propose d'implanter une puce électronique dans la main de ses salariés. Nouveau monde. Une puce sous la peau pour remplacer un badge d’accès ? Ce court-métrage choc dénonce le voyeurisme de la société. La pauvreté à la télé : sociologie ou voyeurisme ? - Télévision. La télévision est friande d’épisodes trash tournés dans les quartiers défavorisés des pays riches.
Mais leur mise en scène fait souvent polémique, comme en Australie avec une émission de la chaîne publique SBS One. Tout a commencé par un pet. Le tollé suscité par la série « documentaire » australienne Struggle Street (qu’on pourrait traduire par « Rue de la galère ») a éclaté dès la diffusion d’une bande-annonce une semaine avant le premier épisode. On y voyait les habitants d’une banlieue défavorisée de Sydney se droguer, se battre, jurer, une femme traiter sa chatte de « traînée » et un homme envoyer un pet bruyant, donc. Le maire qualifia le programme de « pornographie de la pauvreté financée par la redevance » et, le jour du lancement de l’émission, ses camions poubelles bloquèrent les locaux de la chaîne publique SBS One pour exprimer ce que lui inspirait ce programme.