Vidéo : Le marketing sensoriel [Les jeudi d’Emilie] Diaporama : Les technologies qui vont réenchanter le commerce de demain. Vidéo : Cegid Innovation store : la boutique de demain. Comment les entreprises chouchoutent leurs clients. L'"expérience-client", ce n'est pas seulement l'attente interminable aux hotlines, les services après-vente inefficaces, ou les processus d'achats complexes et peu sécurisés.
C'est aussi le sens du service, le goût de faire plaisir, et jusqu'au désir "d'enchanter" le client, comme le proclame depuis des années l'ex-apôtre de la "religion" Apple, Guy Kawasaki. Mais en France, les entreprises ont du pain sur la planche pour améliorer leur relation avec leur clientèle: selon Eric Lestanguet, président de l'INRC (Institut national de la relation-client), une enquête internationale d'Ipsos indique qu'en France, seules 7% des personnes interrogées se déclarent satisfaites de la relation vécue avec les marques ou les entreprises.
Marketing sonore: trois conseils pour mieux vendre en musique. Son rêve: "enchanter" les clients, les consommateurs et les utilisateurs. Vous en avez assez des hot-lines injoignables, des services après-vente incompétents, des livraisons-fantôme ?
Le forum de "l'expérience-client" a pour but de recenser les meilleurs initiatives permettant de résoudre ces points noirs et, au-delà, de faire du processus de vente un acte "enchanteur" -pour reprendre l'adjectif favori de Guy Kawasaki, ex-apôtre de l'expérience-client chez Apple. Radio : Quand la musique nous manipule. Une question étonnante à la quelle s'intéresse Daniel Fiévet dans info sciences aujourd'hui : la musique peut-elle nous manipuler et influencer notre comportement de consommateur ?
La musique peut-elle nous manipuler et influencer notre comportement de consommateur ? Une question abordée dans "Le cerveau mélomane" paru chez Belin. Plusieurs scientifiques font le point sur les différentes façons dont la musique peut agir sur notre cerveau. Parmi eux Nicolas Gueguen, enseignant-chercheur en psychologie sociale, explique pourquoi nous devrions davantage nous méfier de la musique qui est diffusée lorsque nous entrons dans un magasin ou dans un restaurant. Vidéo : Expériences de consommation Renault Zoé.
45% des clients abandonnent leur panier si l'expérience on line est mauvaise. Je m'abonne Selon une étude commanditée par l'éditeur des plateformes d'interactions en temps réel LivePerson, 69% des consommateurs disent rester fidèles à une marque si celle-ci lui fournit une assistance humaine en cas de problème au moment de sa commande en ligne.
Les marques se retrouvent donc face à un enjeu important dans la mesure où un consommateur sur cinq passe 50% de son temps en ligne à faire du shopping. En parallèle, 82% précisent que leur perception de la marque s'améliore lorsqu'ils peuvent bénéficier du tchat en temps réel. Exigeants sur la réactivité, ces derniers veulent obtenir une aide en moins de 76 secondes.
Au-delà, ils se disent prêts à quitter le site. Lors de la visite en ligne, certains instants sont plus déterminants que d'autres. . - Lorsque le consommateur a une question spécifique sur un produit ou un service qu'il désire acheter (42%) L’expérience client. XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau !
Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer “Def : L’ensemble des émotions qui accompagne l’acte d’achat. Le marketing expérientiel. La valeur de l'expérience Ni la marque, ni le produit ne génère de la valeur pour consommateur : c’est l’expérience de l’individu qui apporte de la valeur.
Comprendre ce qui résulte de l’interaction entre l’individu et l’objet au cours de l’expérience devient un enjeu majeur. Holbrook (1999) propose, dans cette perspective, une typologie des valeurs de consommation à partir de trois dimensions. La première dimension est l’orientation. Elle oppose l’orientation vers soi et l’orientation vers autrui.
Expériences de consommation et marketing expérientiel. Depuis les années 1960-1970, la consommation s’est progressivement désengagée d’une conception essentiellement utilitariste, basée sur la valeur d’usage.
Selon J. Baudrillard (1970), la consommation est devenue une activité de production de significations et un champ d’échanges symboliques : les consommateurs ne consomment pas les produits, mais, au contraire, consomment le sens de ces produits. Ainsi, que l’objet remplisse certaines fonctions est tenu pour acquis par le consommateur; c’est son image qui fait la différence. Comme le note Maffesoli (1990, p. 234) : « s’il peut paraître étonnant de parler de signification et de symbole là où le marketing et la finalité commerciale tendent à dominer, c’est malgré ou au-delà d’une telle finalité que l’objet s’impose comme vecteur d’esthétique ».
La rupture paradigmatique est importante. L’expérience de la consommation a des caractéristiques spécifiques qui la distinguent clairement comme paradigme alternatif. . « Un rituel sans compromis. RPF.