Liu Bolin, Philippe Ramette et Brice Bourdet. Accueil Arts Photo Liu Bolin, l'homme caméléon, à la Maison européenne de la photographie. Reportage Valérie Gaget Liu Bolin est né en 1973 dans la province du Shandong (est de la Chine) où il a commencé à étudier les arts plastiques, avant de poursuivre ses études à l'Académie centrale des Beaux-Arts de Pékin, dont il sort diplômé en 2001.
Au départ, il est sculpteur. Lui Bolin se met à créer ses œuvres photographiques en 2005, quand il se fait exproprier de son atelier : avant les jeux olympiques, le gouvernement chinois a décidé de raser le quartier d'artistes, le village de Suo-jia, où il était installé. Cet événement inspire sa première mise en scène, qui nous accueille à l'entrée de l'exposition de la MEP et qui inaugure sa fameuse série, "Hiding in the City" (se cacher dans la ville). Pour protester contre son expulsion et exprimer son sentiment d'impuissance, il décide de disparaître pour se faire remarquer, dans un geste de résistance muette. Liu Bolin. Sculpteur, performeur et photographe, Liu Bolin, surnommé "l’homme invisible", présente dans cette exposition à caractère rétrospectif des photographies issues des quatre grands thèmes abordés dans son œuvre depuis plus de dix ans : la politique et la censure, la tradition et la culture chinoise, la société de consommation et la liberté de la presse. « J’ai décidé de me fondre dans l’environnement.
Certains diront que je disparais dans le paysage ; je dirais pour ma part que c’est l’environnement qui s’empare de moi ». En 2005, sa première série « Hiding in the City » (Se cacher dans la ville) présente un autoportrait de l’artiste immobile et recouvert de peinture, se confondant avec les décombres de son atelier, situé dans le quartier d’artistes rasé par le gouvernement chinois. Liu Bolin, célèbre homme invisible. LIU BOLIN - GALERIE PARIS-BEIJING. Né dans la province du Shandong, Chine en 1973.
Diplômé de la Shandong Academy of Fine Arts en 1995. Diplômé de la Central Academy of Fine Arts, master en 2001. Le Regardeur - Philippe Ramette. PHILIPPE RAMETTE. Philippe Ramette (né en 1961) aime défier les lois de la gravité et de la logique.
Cet artiste sculpteur, photographe et dessinateur est l’auteur d’installations surréalistes qui le mettent en scène dans des postures improbables et illogiques. Ses installations captent la sculpture mise en scène dans un mélange de tragédie et de comédie qui fonctionnent comme une énigme à résoudre. L’artiste réalise des performances acrobatiques sans trucage ni retouche numérique dans le but de montrer le côté absurde de l’existence et de réaliser des exploits ordinairement impossibles à l’homme. Ses expérimentations usent d’un savant dispositif de harnais et d’attelles qu’il met, de temps à autre, en lumière.
Ses prothèses-sculptures permettent de s’élever physiquement et corriger la manière de considérer le monde et sa représentation. Contemplation irrationnelle (2003). Philippe Ramette. Philippe Ramette - Artistes - Collection Société Générale. Philippe Ramette, Balcon II. Christian Boltanski. Geste : Faire des grimaces. - Geste : cracher 1961-1973 Photographie noir et blanc et acrylique sur contreplaqué 76 x 76 x 1 cm S.R. - Geste : dormir 1966-1972 Photographie noir et blanc et acrylique sur contreplaqué 76 x 76 x 1 cm S.R. - Geste : faire des grimaces 1962-1971 Photographie noir et blanc et acrylique sur contreplaqué 76 x 76 x 1 cm S.R. - Geste : manger 1964-1971 Photographie noir et blanc et acrylique sur contreplaqué 76 x 76 x 1 cm S.R.
Geste : faire des grimaces (1962-1971), Geste : dormir (1966-1972), Geste : manger (1964-1971) et Geste : cracher (1961-1973) font partie de la série Mes gestes (1958-1972) et mettent en scène, pour faire œuvre d’art, les actes les plus ordinaires. Chaque œuvre de la série est issue d’une performance/action réalisée entre 1958 et 1972 — l’artiste y a noté son processus et sa date, puis fixé deux photographies en forme de témoignage de sa mise en œuvre. . → Ben. Semotics of the Kitchen. 1975, 6:09 min, b&w, sound Semiotics of the Kitchen adopts the form of a parodic cooking demonstration in which, Rosler states, "An anti-Julia Child replaces the domesticated 'meaning' of tools with a lexicon of rage and frustration.
" In this performance-based work, a static camera is focused on a woman in a kitchen. On a counter before her are a variety of utensils, each of which she picks up, names and proceeds to demonstrate, but with gestures that depart from the normal uses of the tool. In an ironic grammatology of sound and gesture, the woman and her implements enter and transgress the familiar system of everyday kitchen meanings — the securely understood signs of domestic industry and food production erupt into anger and violence.
Dance or Walk on the Perimeter of a Square. 1967-68, 8:24 min, b&w, sound, 16 mm film on video For this film, Nauman made a square of masking tape on the studio floor, with each side marked at its halfway point.
To the sound of a metronome and beginning at one corner, he methodically moves around the perimeter of the square, sometimes facing into its interior, sometimes out. Each pace is the equivalent of half the length of a side of the taped square. He uses the hip-swaying walk in Walk with Contrapposto. - EAI This title is available for exhibitions, screenings, and institutional use through Electronic Arts Intermix (EAI), NY.
Points in Space (1986) Choreographer Merce Cunningham Dir Elliot Caplan & Merce Cunningham.mkv. UbuWeb Dance: Trisha Brown - Man Walking Down the Side of a Building (1970)