Document 1. Document 2. Document 3. Document 1. Document 2. Exclusif : découvrez Boza, notre documentaire sur le sauvetage des migrants en Méditerranée. Document 1. Document 2. Document 3. Immigration : au cœur d'un centre de rétention France 3 s'est rendue dans un centre de rétention administrative avec le député socialiste Luc Carvounas.
Le centre de rétention de Vincennes est un endroit généralement interdit aux caméras. Il est l'un des plus importants en France. France 3 a accompagné le député Luc Carvounas (PS) pour comprendre comment les étrangers sont accueillis dans l'attente d'être reconduits dans leur pays d'origine. Les policiers s'inquiètent Voici à quoi ressemble leur quotidien : on trouve une salle de repas où les retenus se partagent une télévision, une chambre au confort sommaire, et une cour entièrement grillagée. Le JT JT de 19/20 du lundi 12 février 2018 L'intégrale Les autres sujets du JT À la UnePartagerTwitter A LIRE AUSSI : Quand le changement climatique attaque la santé mentale : et si votre dépression était de l'éco-anxiété ?
Document 1. Document 2. Document 3. Document 1. La différence entre les unes des journaux britanniques et français ce jeudi matin a saisi de nombreux internautes.
De l’autre côté de la Manche, et dans d’autres pays (El Mundo ou El Correo pour l’Espagne...) la presse avait publié en première page la photo du Syrien Aylan Kurdi, 3 ans, retrouvé mort noyé sur une plage en Turquie. « Entraîner une prise de conscience » En France, hormis La Montagne dans ses pages intérieures ou Le Monde en une de son édition de vendredi, la presse française avait plutôt consacré sa manchette à la colère des agriculteurs. Interrogé par 20 Minutes, Sean O’Grady, rédacteur en chef au quotidien britannique The Independent, qui a mis la photo quasiment en pleine page, s’en est étonné. « Normalement, nous ne publions pas ce genre de photos, car pénibles à voir, poursuit-il. Mais là nous voulions qu’elle entraîne une prise de conscience, auprès du gouvernement comme de l’opinion. » >> Crise des migrants: Suivez la situation en direct par ici D’autres raisons?
Document 2. FOOTBALL - L'AFP a assigné mardi en justice la ville de Béziers et son maire Robert Ménard, après la publication par le journal municipal d'un photomontage réalisé à partir d'un cliché d'un photographe de l'agence pour faire croire que des réfugiés vont envahir la commune.
"L'AFP et le photographe Robert Atanasovski assignent la Ville de Béziers, comme éditeur, et Robert Ménard, comme directeur de la publication du Journal de Béziers, pour contrefaçon devant le Tribunal de Grande Instance de Paris", a annoncé la direction de l'Agence France-Presse. L'assignation, qui vise la municipalité et son maire proche du FN, a été délivrée mardi. L'AFP et le photographe demandent chacun 30.000 euros de dommages et intérêts. Le cliché original, pris en juin en Macédoine par le photographe de l'AFP, montre des hommes, femmes et enfants s'apprêtant à monter dans un train. Document 3. Document 1. Document 2. En quelques mois, Cédric Herrou est devenu le symbole de l’aide citoyenne aux réfugiés.
Installé dans les Alpes-Maritimes, dans la vallée de la Roya, cet agriculteur et militant de 37 ans a porté de l’aide et hébergé plusieurs centaines de migrants à son domicile… et dans un entrepôt désaffecté de la SNCF. Comme de nombreux citoyens, Cédric Herrou dénonce une situation humanitaire dramatique pour les migrants qui tentent de passer la frontière. Dans un récent rapport, Amnesty International pointait d’ailleurs du doigt les violations des droits humains - notamment le droit d’asile et les droits des mineurs - du côté français de la frontière. Pourtant, depuis l’été dernier, l’engagement de Cédric Herrou lui a valu un procès, trois gardes à vue, et il a été condamné à 3000 euros d'amende avec sursis en février 2017.
Document 3. Voir pour comprendre #2 : Les réfugiés (ft Usul) Datagueule : des chiffres contre les idées reçues sur les migrants. Une étude démontre que les migrants ne sont pas un fardeau pour les économies européennes. Le travail réalisé par des économistes français démontre qu'une augmentation du flux de migrants permanents à une date donnée produit des effets positifs jusqu'à quatre ans après.
Une étude réalisée par des économistes français et publiée dans le magazine Sciences advences, mercredi 20 juin, démontre que les migrants ne sont pas un fardeau pour les économies européennes. Les trois chercheurs du CNRS, de l'université de Clermont-Auvergne et de Paris-Nanterre se sont appuyés sur les données statistiques de quinze pays de l'Europe de l'Ouest, dont la France. Les chercheurs ont distingué les migrants permanents des demandeurs d'asile, en situation légale le temps de l'instruction de leur demande et considérés comme résidents une fois leur demande acceptée. "Il n'y a pas d'impacts négatifs. Les demandeurs d'asile ne font pas augmenter le chômage, ne réduisent pas le PIB par tête et ils ne dégradent pas le solde des finances publiques.