Le climatoscepticisme, qu’est-ce que c’est ? Ce courant de pensée désigne une forme de déni radical de l’existence d’un problème – en l’occurrence le dérèglement climatique – en même temps que la mise en cause personnelle de ceux (scientifiques, ONG, politiques, membres de l’administration ou élus) qui invitent la société à agir pour prémunir l’humanité des manifestations les plus graves de ce dérèglement.
L’attaque sur la scientificité des travaux sur le climat ne constitue pas ici la motivation, mais seulement l’instrument. Le point commun à toutes les démarches climatosceptiques consiste à vouloir bloquer l’action collective face au risque climatique, action que certains considèrent comme une menace pour leurs intérêts, leurs modes de vie ou leur conception des libertés. En finir avec les idées reçues sur les changements climatiques. Les impacts des changements climatiques seront développés par le 5ème rapport du GIEC en mars 2014.
Cependant, la liste des secteurs touchés par ces changements est déjà très longue, touchant des dizaines de secteurs d’activité humaine, dans tous les pays : Agriculture Toute l’agriculture dépend de la fiabilité des réserves d’eau, et les changements climatiques sont susceptibles de perturber ces ressources par des inondations, des sécheresses ou une plus grande variabilité. Désintox : cinq arguments des climato-sceptiques passés au crible. De l’autre côté de l’Atlantique, Donald Trump s’est encore une fois fait remarquer par une nouvelle sortie de route sur le climat.
Alors que le midwest américain traverse en ce moment une vague de froid si intense que les températures de Chicago rivalisent avec celles du Pôle Nord, le président des États-Unis en a appelé à “ce bon vieux réchauffement climatique”. "Soyez prudents et essayez de rester chez vous. De grandes parties du pays font face à d'énormes quantités de neige et un froid presque record. Changement climatique : les arguments des sceptiques. Pause du réchauffement, absence de conséquences catastrophiques, doute sur les causes anthropiques et critique des politiques publiques : une synthèse de l’argumentaire climatosceptique.Par le Minarchiste, depuis Montréal, Québec.
En marge du récent sommet de l’ONU (ici et ici), une marche de 300.000 personnes fut tenue dans les rues de New-York pour inciter les gouvernements à agir davantage en ce qui concerne les changements climatiques. Ce genre de démonstration populaire est plutôt saugrenu dans le contexte de la « pause » du réchauffement. Encore plus risible, des victimes de Sandy et Katrina étaient présentes dans la manifestation, comme si le réchauffement climatique avait quoi que ce soit à y voir.
On protestait aussi contre la production de gaz de schiste, qui s’avère pourtant une manière efficace de réduire les émissions de GES à court terme. Climatosceptiques : quels arguments leur opposer. Les milliers de climatologues du monde entier se réunissent régulièrement au sein du Groupe intergouvernemental d'experts du climat (le giec) pour faire le point sur le réchauffement de la Planète.
Leur cinquième rapport, publié en 2013 et 2014, est encore plus alarmant que les précédents. Si l'on ne prend pas immédiatement des mesures vigoureuses pour réduire nos émissions de co2 et d'autres gaz à effet de serre, ce réchauffement va accélérer, tous nos glaciers vont fondre, les mers devenir acides et leur niveau monter de plus en plus vite, ce qui inondera de nombreux pays. Réponses aux climatosceptiques. « Le climat a déjà changé, ce n’est pas grave !
» Réponse : Le climat a toujours changé, quel que soit le moteur de ses changements. Or aujourd’hui, la force motrice dominante provient des activités humaines. Plusieurs forces différentes peuvent influencer le climat. Quand l’activité solaire augmente, la planète reçoit plus d’énergie et se réchauffe. Aujourd’hui, la force motrice dominante provient des activités humaines et des émissions de gaz à effet de serre additionnelles provoquées par ces activités. Confession d'un ex-climatosceptique. Qui se souvient de l’Onuzi, avec un z comme dans nazi ?
C’était le nom du futur gouvernement de la terre dans les pamphlets d’anticipation de Dantec. Les droits de l’homme transformés en empire — l’empire du bien, totalitaire, humanitaire, impitoyable : lire Dantec c’était tout le nietzschéisme dans nous étions capables en l’an 2000. Et il m’en est resté, j’avoue, des réflexes déplacés : assis à cette table vendredi dernier à côté d’une climatologue, membre éminente du GIEC, je me suis retrouvé à la respecter pour les plus mauvaises raisons qui soient, non plus par déférence scientifique mais en me disant que j’étais assis à côté d’une des futures membres du gouvernement mondial, cette entité pour auteurs de SF paranoïaques dont le GIEC était la préfiguration la plus probable.
Pour Poutine, "Personne ne sait à quoi est dû" le changement climatique. "Personne ne connaît les causes du changement du climat mondial.
Vincent Courtillot. Vincent Courtillot, né le 6 mars 1948 à Neuilly-sur-Seine, est un géophysicien français.
Il fait partie des climato-sceptiques dans les controverses sur le réchauffement climatique et a été au cœur d'une polémique importante qui a eu un large écho médiatique dans la presse française[2],[3]. Ses bourdes lui ont valu le surnom de « chevalier de la Terre noire et plate » par des climatologues américains[4]. Analyse du discours d'un climato-sceptique: V. Courtillot. François Gervais.