EntretienPEDAGOGIEK. Sketchnote apprendre. Mémoriser affiche. Apprendreàapprendre. Affiche apprendre. Le journal d'apprentissage numérique : s’interroger sur ses pratiques d’apprentissage et remobiliser ce qui a été vu en classe. Les élèves répondent tous les soirs à un questionnaire déposé sur le cahier de texte numérique.
Ce questionnaire est composé de trois questions. Les deux premières sont des questions sur les réussites des élèves. Elles portent sur ce qui a été vu en classe : connaissances, savoir-faire ou quelque chose pour lequel l’élève s’est fait plaisir. La troisième propose à l’élève de réfléchir sur un domaine de connaissance ou de capacité pour lequel il voudrait progresser ou un type d’activité qu’il souhaiterait faire. Cela permet de rendre l’élève acteur de ses apprentissages en pratiquant, dans une certaine mesure, une réflexion sur ses processus d’apprentissage, de se fixer des objectifs et de faire de la pédagogie bienveillante (qu’est-ce que j’ai réussi ?).
Comment aider le cerveau à surmonter les obstacles cognitifs à l'école ? Stanislas Dehaene "Apprendre : les talents du cerveau, le défi des machines" Comment apprendre à apprendre ? Apport des sciences cognitives et des outils numériques au domaine 2 du socle commun Cette conférence a eu lieu le jeudi 15 mars 2018 dans le cadre des jeudis de la recherche et du séminaire académique "Apprendre à l’ère du numérique" sur le salon EDUSPOT.
Présentation de l’intervenant : Franck Ramus est directeur de recherche au CNRS et professeur attaché à l’Ecole Normale Supérieure. Il travaille au laboratoire de sciences cognitives et psycholinguisitique, Institut d’étude de la cognition, école normale supérieure de Paris au sein duquel il dirige l’équipe “développement cognitif et pathologie”. Il est également co-directeur du Master en sciences cognitives (ENS, EHESS, Université Paris-Descartes). Présentation de la conférence : Depuis 2016, le socle commun inclut le domaine 2 intitulé « les méthodes et outils pour apprendre ». Des stratégies pour favoriser la métacognition et la conscience de soi chez les élèves. La recherche montre que les habiletés métacognitives se développent considérablement entre 12 et 15 ans.
Comment favoriser le développement de ces habiletés chez les élèves? Cet article de la psychologue, chercheuse et auteure Marilyn Price-Mitchell porte sur la conscience de soi et la façon dont cette conscience est liée aux habiletés métacognitives. La conscience de soi, associée au système paralimbique du cerveau, permet à l’individu d’ajuster ses conceptions du monde ; sa conception de soi et des personnes qui l’entourent.
La conscience de soi […] aide les élèves à apprendre plus efficacement en focalisant sur ce qu’ils ont besoin d’apprendre. Selon l’auteure, il est important de cultiver l’habileté des élèves à réfléchir à leurs stratégies d’apprentissage ainsi qu’à l’efficacité de ces stratégies. 1. Reformuler à l'oral la consigne d'un exercice pour rendre autonome les élèves ayant des difficultés à s'approprier un énoncé grâce a la réalité augmentée de #MirageMake #pedagogie #education #numerique #Ress_Num #edtech… Pourquoidifficulteseleves. Pourquoi juste relire pour apprendre et réviser est inefficace (et que faire à la place)
Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable.
En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture. Le seul contexte dans-lequel des relectures peuvent être efficace est dans le cas de relectures espacées dans le temps et régulièrement réactivées.) Toutes ces stratégies ont en commun de : Comment accompagner l’apprentissage des élèves?
Le premier Edubref sur les programmes scolaires est paru en mars 2018, ouvrant ainsi la voie de cette nouvelle série réalisée par le service Veille & Analyses de l’IFE-ENS de Lyon.
L’objectif : proposer en 4 pages une lecture très condensée des apports des recherches sur des questions éducatives, alors que nos Dossiers de veille dépassent souvent la trentaine de pages. C’est sur la question des dispositifs d’accompagnement des élèves que se penche ce deuxième Edubref : soutien, remédiation, aide personnalisée, accompagnement d’élèves en difficulté, devoirs faits… Il s’intéresse en particulier aux différents types de dispositifs qui existent depuis les années 1970 pour mieux faire réussir les élèves et leurs liens avec l’apprentissage qui se déroule en classe. Affiche apprendre. Françoise Janier-Dubry - Faire ses devoirs en Histoire- Géographie- EMC. Mémoriser affiche.
Mémoriser en histoire-géographie. Les empêchements à apprendre - Quel est votre profil d'apprentissage ? Théories de l'apprentissage - Idées ASH. Apprendre, c'est comprendre.
C'est construire un savoir que l'on va pouvoir réinvestir. Pour que l'élève apprenne, il est essentiel: Qu'il soit conscient de ce que l'on essaie de lui faire comprendre et pourquoi.Qu'il soit conscient de " comment " il apprend.Qu'il ait envie d'apprendre. Enseigner, c'est aider l'enfant à apprendre, à construire un savoir.
Ce qui est essentiel avant / pendant / après l'enseignement : Connaître la façon dont l'enfant apprend.Vérifier qu'il ne construise pas une " fausse compréhension ". LE TRIANGLE PEDAGOGIQUE de HOUSSAYE : Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye, aujourd'hui professeur de Sciences de l'Education à l'université de Rouen, définit tout acte pédagogique comme l'espace entre trois sommets d'un triangle : l'enseignant, l'apprenant et le savoir. Selon Houssaye, toute pédagogie est articulée sur la relation privilégiée entre deux des trois éléments (les sujets actifs) et l'exclusion du troisième (qui fait le fou, ou le mort) Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre.
Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. 5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation.
Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ?
Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences.
D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.