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Proust

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Équipe Proust. Axe MANUSCRITS : GENÈSE ET ÉDITIONComposante « historique » du Centre d’Analyse des Manuscrits, futur Institut des Textes et Manuscrits modernes du CNRS, l’équipe « Proust » s’est donné depuis sa création pour objet scientifique premier l’exploitation du fonds Proust de la Bibliothèque nationale de France.

Équipe Proust

Réuni en 1962 et complété en 1985 ce fonds rassemble une masse exceptionnelle de documents témoignant de la genèse d’À la recherche du temps perdu, exemplaire par son ampleur et sa complexité : quatre carnets de notes, une centaine de cahiers d’écolier (soixante-quinze cahiers de brouillon et une vingtaine de cahiers de mise au net), divers volumes de dactylographies, de placards et d’épreuves corrigés, sans oublier les feuilles volantes, les divers « reliquats » et écrits de jeunesse (« Jean Santeuil » et traductions, notamment) – en tout, cent quatre-vingts cotes. « 1913 : la transgression des genres », 14-16 novembre 2013. . « Traduire Swann de Marcel Proust », 14-16 novembre 2013. Les cent cahiers de Marcel Proust : Comment  a-t-il rédigé son roman ? L'ensemble des documents conservés à la Bibliothèque nationale de France, à Paris, rue de Richelieu, comprend essentiellement 75 Cahiers de brouillon et 20 Cahiers d'un manuscrit pour la partie du roman qui va de Sodome et Gomorrhe au Temps retrouvé.Mais la classification officielle est largement erronée, car elle confond brouillons et manuscrits.

Les cent cahiers de Marcel Proust : Comment  a-t-il rédigé son roman ?

Ont été classés parmi les brouillons : les Cahiers 9 et 10 (en même temps que des feuilles volantes) qui forment avec le Cahier 63 un manuscrit pour « Combray » ;les Cahiers 15 à 19 (et 22) qui forment un manuscrit pour « Un amour de Swann »(avec des feuilles volantes arrachées à ces cahiers) ; 24, 20 et 21, qui forment un manuscrit pour tout ce qui concerne Mme Swann et sa fille ; 35, qui est un manuscrit pour le séjour au bord de la mer qui terminait la première partie du roman dans un état premier, en 1911. On peut en dire autant des nombreux jeux d'épreuves conservées, même si elles sont lacunaires. Le Côté de Guermantes (Chez Mme Swann. MARCEL PROUST CRITIQUE LITTÉRAIRE. Proust : l'invention de la critique. Pierre Campion Colloque « L'invention de la critique d'art ».Université de Rennes 2, 24 et 25 juin 1999, sous la direction de Pierre-Henry Frangne et de Jean-Marc Poinsot. © : Pierre Campion.

Proust : l'invention de la critique

Les actes de ce colloque ont été publiés aux Presses Universitaires de Rennes sous le titre L'Invention de la critique d'art, 2002. L’invention de la critique dans Proust[1] Les termes du problème. Le Temps retrouvé de Marcel Proust ou la reálité transfigurée. Le Temps retrouvé de Marcel Proust ou la reálité transfigurée. Critique : Proust, encore et toujours - Lire. Il faut un brin d'inconscience pour ajouter un volume à la pile déjà himalayenne des biographies de Proust.

Critique : Proust, encore et toujours - Lire

A moins justement de vouloir faire le tri dans cette masse de certitudes, de semi-vérités et de légendes. Roger Duchêne, spécialiste de Mme de Sévigné (si chère au cour du Narrateur), a atteint son objectif. Dans un très gros livre divisé en chapitres très brefs, il reprend tout méthodiquement, depuis le mariage du Dr Adrien Proust et de Jeanne Weil jusqu'au dernier soupir, au 44, rue Hamelin. Il cite, compare, analyse et rectifie les erreurs de ses prédécesseurs avec une sécheresse de maître d'école. Mais le résultat est là: si L'impossible Marcel Proust ne possède ni le charme du livre de Painter (1966) ni la vivacité de celui de Ghislain de Diesbach (1991), il suscite à force de vigueur une puissante impression d'authenticité. Diesbach insistait déjà sur le risque de tomber dans le panneau qui consiste à confondre le roman et la vie.

Marcel Proust. Permanence et modernité de Marcel Proust. Il y a, dans le projet de François Bon de faire de Proust une fiction, peu ou prou de l’entreprise du Pierre Ménard de J.

Permanence et modernité de Marcel Proust

L. Borges, cité quelque part dans ce livre, de réécrire à l’identique le Don Quichotte de Cervantès : non pas « abréger » le texte (300 pages au lieu de 3 000), ce qui en ferait un produit de « supermarché », ni en faire une simple analyse critique, si riche qu’elle puisse être, mais le répéter en le reconstruisant et en le déconstruisant. Le livre a d’ailleurs pour incipit la phrase qui inaugure À la Recherche du temps perdu (« Longtemps, je me suis couché de bonne heure ») ; son chapitre final est un entretien de Proust, accordé en 1913, qui énonce clairement ce que l’ouvrage s’est évertué à démontrer. Cette répétition, Bon ne l’obtient pas, ou pas seulement, par la connaissance passionnée et incomparable de l’ouvrage originaire, de son auteur, des lieux décrits, du temps écoulé.

Proust est une fiction ? Les Matins de France Culture Proust de « A » à « Z »