ISO 50001 — Management de l'énergie. ISO 9001: norme et certification. Coût moyen d'une certification ISO. Les coûts d'obtention d'une certification sont très variables d’une entreprise à l’autre en fonction des critères suivants : - L'entreprise est déjà engagée dans une démarche qualité depuis plusieurs années et possède une structure interne : un SMQ (Il faut dans ce cas prévoir un « diagnostic » général soit par un auditeur externe (un consultant) soit par l'organisme certificateur sélectionné, viendront ensuite, l'audit de certification puis les audits de suivi 1 et 2).
Tous ces audits sont réalisés sur une période de 3 ans. Pour ces différentes prestations il faut prévoir une enveloppe allant 3000 à 5000 euros pour une société de 40 à 50 personnes et ajouter à cela, le coût interne du temps d’implication du responsable qualité. Il est cependant très rare qu’il n’y ait pas de fonction qualité dédiée en interne pour s’occuper du projet en dehors des interventions d’un consultant externe. (Il faut donc prévoir le cumul des coûts de la fonction qualité + de l’intervenant externe).
ISO 9000 — Management de la qualité. Démarche qualité, qualité, amélioration continue. Les freins rencontrés dans une démarche qualité La résistance au changement : Changer ses habitudes n’est pas facile, et chacun doit trouver dans la démarche qualité un intérêt au niveau collectif (nouveaux clients…) et individuel (amélioration de son quotidien, gain de temps…).
Le client : Faire entrer la voix du client dans l'entreprise et l'écouter ne répond pas toujours à la logique de la production souvent dominante. Cela nécessite parfois un changement culturel important. Le manque de temps : Comment mettre en place une démarche qualité quand les rythmes de travail sont déjà élevés ? Le temps consacré la démarche qualité est un investissement qui va se traduire par des gains une fois aboutie. Les outils de la démarche qualité : En réalité les outils de la qualité sont faciles d'approche, très performants et utiles au quotidien. Article 1 - Arrêté du 11 mars 2008 portant publication des références des normes réputées permettre de satisfaire aux règles techniques définies par les articles R. 233-84 et R. 233-151 du code du travail et les annexes qu'ils prévoient. Le présent arrêté établit la liste des références des normes dont le respect est réputé satisfaire aux règles techniques définies pour les machines, les composants de sécurité et les équipements de protection individuelle, respectivement par les annexes I et II au livre II du code du travail introduit par les articles R. 233-84 et R. 233-151 de ce code.
Les équipements de travail visés aux 1°,3°,4° et 5° de l'article R. 233-83 et les équipements de protection individuelle conçus et construits conformément aux normes listées sont réputés satisfaire aux règles techniques qui leur sont applicables dans la limite où ces normes couvrent effectivement ces règles techniques.
5 bonnes raisons de construire sa veille e-réputation d’entreprise. Avec l’explosion du Web 2.0, aucune entreprise n’est à l’abri d’avis, d’articles ou de commentaires négatifs.
Pour éviter toutes mauvaises surprises, l’entreprise est dans l’obligation de construire sa veille e-réputation. Il en va de son image ! Voici 5 bonnes raisons. Ce n’est que depuis 2007 que les entreprises ont découvert l’intérêt de mettre en place une veille de leur e-réputation, pour la plupart à la suite de « bad buzz ». Aujourd’hui, selon le dernier baromètre Digimind(1): seules 12% des entreprises font une veille e-réputation depuis plus de 5 ansprès de 25% des cellules de veille ont moins d’un an d’existencetrois secteurs d’activité sont les plus enclins à construire leur veille e-réputation : les Télécoms,les Services, et la Communication/Publicité. Deux veilles complémentaires La veille e-réputation est donc un système jeune qui tarde à se généraliser malgré l’importance des enjeux : seules 20% des entreprises ont le projet de mettre en place une veille e-réputation.
La veille technologique et son rôle dans le développement des entreprises. Surveiller l’environnement technologique de son entreprise est une méthode qui permet de d’innover et de favoriser le développement de son activité.
La veille permet en même temps de prendre de l’avance sur ses concurrents. Toutefois, une veille technologique efficace nécessite de suivre un processus très précis, qui se déroule en plusieurs étapes. La veille technologique et son rôle dans le développement des entreprises Depuis près de 30 ans, les dirigeants et les décideurs ont été sensibilisé sur l’importance de surveiller leur environnement R&D. Il s’agit de mettre en place une véritable veille technologique, qui commence par une collecte d’informations sur le contexte scientifique et technologique de son entreprise. L’intérêt de la veille technologique Surveiller, c’est rester à l’écoute de toutes les innovations et les nouveautés de son secteur d’activité. En conclusion, la veille est la solution pour rester compétitif dans son domaine d’activité.
Pourquoi faire une veille commerciale ? 5 exemples concrets.