Veille et curation en vidéos. Scoop-it: votre veille en 3 minutes. Untitled. Untitled. Untitled. Les principaux sites de social bookmarking, marques-pages sociaux et partage de favoris. Les sites de gestion de marques-pages sociaux (social bookmarking) me semblent moins populaires chez les blogueurs que les réseaux sociaux (Facebook,…) ou les digg-like (Scoopeo, Wikio,…).
Pourtant, ils me semblent être de bons outils pour aider au référencement et à la popularité d’un blog. Le principe général de ces sites est de gérer les favoris (bookmarks); à la différence des gestions proposées par les navigateurs (FireFox, IE,…), les favoris sont stockés sur un site ad hoc, ce qui permet en théorie en cas de plantage de les récupérer sans problème (ce qui suppose que le site de gestion des favoris ne ferme pas sans prévenir…), les favoris sont gérés par mots-clés (tags) et, surtout, ils sont partageables avec d’autres utilisateurs. Cette possibilité de partage permet donc de rendre visible (au hasard…) les billets d’un blog, et ainsi au blogueur d’espérer avoir des visiteurs et quelques backlinks.
Quelles différences avec les digg-like ? Absence de votes, donc meilleure visibilité (?) La liste ultime des digg likes et sites de social bookmarking : plus de 300 sites répertoriés ! Voici les meilleurs digg likes francophones en termes de trafic généré : www.scoopeo.fr : le N°1 des digg likes www.wikio.fr : le N° 2 en France www.tapemoi.com : l’ancêtre des digg likes !
Www.fuzz.fr : N° 3 en France. Le « social bookmarking » : une pratique incontournable. Par Anne Delannoy A l’heure où la profession se questionne sur la place et la mise à disposition des ressources numériques en ligne, il nous a semblé nécessaire de faire le point sur le “social bookmarking” traduit en français par partage de signets, de favoris ou de marques-pages.
Cette pratique permet de sélectionner, d’archiver et de partager des ressources. Diigo, Delicious, Pearltrees mais aussi Zotero sont des exemples de plateformes internet qui permettent ces usages, certaines comme Diigo offrent de nombreuses fonctionnalités qui les rendent très complets. Les signets sont des pages ou des sites internet que nous souhaitons enregistrer pour pouvoir y accéder ultérieurement. Contrairement aux signets classiques enregistrés dans son navigateur ou dans l’ENT, le partage de signets en ligne offre plusieurs avantages dont le nomadisme (il est possible de consulter ses signets depuis n’importe quel poste ou appareil mobile) et le partage avec un réseau professionnel.
Social bookmarking. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Partage. Dans un système ou réseau de bookmarking social, les utilisateurs enregistrent des listes de ressources Web qu’ils trouvent utiles. Ces listes sont accessibles aux utilisateurs d'un réseau ou site web. D’autres utilisateurs ayant les mêmes centres d’intérêt peuvent consulter les liens par sujet, catégorie, étiquette ou même de façon aléatoire. En dehors des favoris Web, on peut trouver d’autres services spécialisés sur un sujet particulier (alimentation et vins, livres, vidéos, commerce en ligne, cartographie...). Historique[modifier | modifier le code] Le concept de listes de signets partagées en ligne date d’avril 1996 avec l’apparition du site itList.com[1]. En 2005 et 2006, les sites de bookmarking social, tels que Delicious, StumbleUpon ou encore Mister Wong sont devenus populaires. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Notification automatique[modifier | modifier le code] La curation de contenu, de quoi s'agit-il.
Terme assez récent apparu probablement en 2009 aux Etats-Unis, la curation désigne dans le domaine du web une activité de sélection de contenus suivie d'une diffusion à des lecteurs potentiels.
Pourquoi une curation de contenu ? Des milliers de contenus sont produits tous les jours, dans des espaces comme les blogs, les réseaux sociaux, les sites de partage ; les uns plus intéressants que les autres. Le web ainsi que ses utilisateurs se trouvent confrontés à deux défis : 1) se retrouver dans la foule d'informations accessibles ce que qu'on qualifie d'infobésité et pour laquelle des solutions à usage personnel existent, et 2) identifier les ressources de qualité. Pour les producteurs de contenus numériques, il existe un besoin de mettre en valeur leurs productions au risque de les voir se perdre dans la masse.
La curation de contenu peut permettre de relever ces défis. Comment se fait la curation de contenu ? L'activité du curateur se déroule en cinq étapes. Ce que n'est pas la curation. L'honnêteté intellectuelle, principe phare de la curation ? Veille et curation en vidéos.