Fin du cours sur la déviance. Qu'est ce que la délinquance et comment la mesurer. Dossier documentaire élève déviance et contrôle social. Plan dossier 2 contrôle social et déviance 2020. Diapo de cours Déviance et contrôle social 2020. Vidéo 1 La déviance. Vidéo 2 Les formes du contrôle social. Vidéo 3 Quels sont les processus qui conduisent à la déviance ? Vidéo 4 La mesure de la délinquance. Synthèse dossier 2 la déviance 2020 de Karim Laraabi. Synthèse en schémas du dossier sur la déviance. Dossier documentaire élève déviance et contrôle social. Devoirs déviance 2020. Corrigé RD : processus à l'origine de la déviance. Corrigé RD relativité de la déviance. Parentalité : l'évolution des familles françaises 23 10 2017. 1960 : La mode chez les lycéens.
Téléphones portables : faut-il les interdire dans les lycées ? Des mises en scène tournées en pleine classe et destinées à faire le buzz.
Des pratiques que Jean-Michel Blanquer juge de plus en plus provocantes. Alors le portable est-il vecteur de violence ? Pour le ministre de l'Education, sans aucun doute. L'expérience de Milgram (documentaire complet FR 1h10) Expérience hallucinante en caméra cachée sur le conformisme . Expérience de Asch , le conformisme. L’œil inquisiteur du régime chinois. L’image pourrait être tirée d’une adaptation high-tech de 1984, la dystopie d’Orwell : de simples badauds, traversant un passage piéton, identifiés automatiquement par les caméras de surveillance d’un Etat autoritaire, capables d’afficher aussitôt sur un écran le nom et le numéro de carte d’identité d’un individu.
Et de faire remonter son casier judiciaire ou le dossier concernant sa loyauté politique au régime. Les plaques d’immatriculation et le type de véhicule – modèle, couleur – sont relevés, eux aussi, pour un suivi au plus près. En Chine, cette vision est en train de devenir réalité, du fait des progrès de l’intelligence artificielle mis au service d’un régime qui, sous la main du président Xi Jinping, n’en finit pas de se refermer. Prohibition (1/5) - Une nation d'ivrognes - Regarder le documentaire complet.
Jusqu'à quelle distance de la plage... - Vidéo Dailymotion. Un Prophète Bande annonce Un film de Jacques Audiard. Eduscol déviance. Tenues au lycée : quand le « crop top » s’invite à la table des discussions familiales. Tenues au lycée : « Voilé ou dévoilé, le corps féminin est toujours coupable » Spécialiste de l’histoire des femmes, Christine Bard a notamment écrit Ce que soulève la jupe.
Identités, transgressions, résistances (Autrement, 2010) et Une histoire politique du pantalon (Le Seuil, 2010). Après la polémique suscitée par les propos du ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, sur la « tenue républicaine » demandée aux lycéennes, elle revient sur la récurrence historique des controverses à propos du vêtement féminin. Quel regard portez-vous sur le débat autour des propos de Jean-Michel Blanquer sur la nécessité pour les élèves de porter une « tenue républicaine » ?
La République, c’est d’abord la liberté et l’égalité. Or la formule du ministre de l’éducation nationale équivaut à limiter la liberté vestimentaire des jeunes filles dans un geste inégalitaire, puisque ces polémiques ne visent que les jeunes filles. Lire aussi La peur rancie de l'indifférenciation sexuelle On pense forcément au débat sur le voile à l’école. Crop-top : imaginerait-on un sondage sur ce qu'est une «tenue correcte» pour les garçons ? Il y a eu Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education, et son hallucinante exhortation à «venir à l’école habillé de manière républicaine».
Puis le président de la République, Emmanuel Macron, et son invitation à se fier au «bon sens», qui vaudrait «mieux qu’un long règlement en la matière». Vinrent ensuite le ban et l’arrière-ban de la classe politique française, semble-t-il ravis de disserter sur la mobilisation des lycéennes françaises contre des normes vestimentaires jugées sexistes dans leurs établissements. Et voici maintenant le soi-disant «point de vue de l’ensemble des Français», sur ce que devrait être une «tenue correcte pour une fille au lycée», à travers un sondage de l’institut Ifop, publié par l’hebdomadaire Marianne. De même, plus de la moitié de notre jury populaire (55%) serait favorable à interdire les crop-tops au lycée, à peu près la même proportion (56%) serait aussi favorables à interdire les shorts courts aux jeunes femmes.
Délinquance, justice et autres questions de société. Un « ensauvagement de la société » ? Les études montrent, elles, une relative stabilité de la délinquance depuis quinze ans. Le 5 juillet, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), un chauffeur de 59 ans a été frappé mortellement après avoir demandé à quatre hommes de quitter son bus.
A Lyon, le 21 juillet, une aide-soignante de 23 ans succombe à ses blessures après avoir été traînée au sol sur 800 mètres par une voiture, à la suite d’une banale altercation. Le 4 août, à Soisy-sous-Montmorency (Val-d’Oise), un père de famille est passé à tabac dans une laverie alors qu’il demandait à d’autres clients de porter un masque. A Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis), une infirmière est frappée, le 11 août, pour avoir, elle aussi, réclamé le port du masque à deux jeunes gens présents dans son bus. Le vrai, le faux et l’invérifiable du débat sur l’insécurité. « Il faut stopper l’ensauvagement d’une certaine partie de la société. » Ces propos du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, dans un entretien au Figaro le 24 juillet ont préfiguré l’un des thèmes récurrents des discours politiques de la rentrée.
Du Parti communiste à l’extrême droite, en passant par le gouvernement, la quasi-totalité des personnalités politiques qui se sont exprimées ces derniers jours ont donné leur avis sur le climat d’« insécurité » dans lequel se trouverait la France. Derrière les petites phrases, de quoi est-il question ? De quels types de violences, de quels constats parle-t-on ? Difficile de s’y retrouver tant les intervenants au débat semblent eux-mêmes diverger. Nous avons confronté leurs discours aux faits. En France, la violence est-elle en hausse ? À en croire une majorité de Français, la violence a tendance à augmenter dans le pays.
Interpellations, affrontements avec la police, rassemblements qui dégénèrent, faits divers sordides... Le ministre de l'Intérieur a même utilisé le terme d'"ensauvagement". Mais la société française est-elle de plus en plus violente ? Pour répondre à cette question, deux types de chiffres existent et se contredisent.Il y a d'abord les statistiques administratives, les plaintes et flagrants délits enregistrés par les forces de l'ordre. Elles montrent par exemple une augmentation significative des coups et blessures volontaires sur des personnes de 15 ans et plus depuis 2008 ainsi qu'une hausse de 12% des violences sexuelles l'an dernier.
Mais d'autres chercheurs privilégient les réponses des victimes à celles des forces de l'ordre via les enquêtes de victimation. « L’entretien avec l’agent de la CAF a été une humiliation » : les bénéficiaires du RSA dans l’enfer des contrôles. Sur fond de consensus politique, et forte du soutien de l’opinion publique, la chasse aux fraudes à la prestation sociale est ouverte.
Les Caisses d’allocations familiales (CAF), qui toutes prestations confondues (allocations familiales, aides au logement, allocation aux adultes handicapés…) distribuent quelque 95 milliards d’euros à 13,5 millions d’allocataires sont en première ligne. Ma vie rêvée de footballeur. Le ballon rond se souviendra de quelques impostures, comme celle de Carlos Kaiser, le footballeur brésilien qui ne voulait pas jouer au foot.
Il en oubliera aussi d'autres, qui ont fini par choisir une autre vie, à défaut de la carrière de footballeur dont ils ont rêvé. Bruce Dombolo a grandi dans une famille de 5 enfants à Vitrolles. Enfant, il rêvait d’être footballeur ou braqueur-dealer. Deux rêves qu’il a plus ou moins réalisés. Jouer au football représentait pour lui une manière de gagner de l’argent et sortir de sa cité. Rixes entre bandes : les mécaniques de la violence. Avec Marwan Mohammed et Muriel Eglin. « Dans les campagnes, le contrôle social s’exerce davantage sur les jeunes filles » Entretien.
Des Deux-Sèvres, en passant par les Ardennes désindustrialisées et les touristiques presqu’île de Crozon (Finistère) et massif de la Chartreuse, Yaëlle Amsellem-Mainguy, sociologue à l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire, a étudié les trajectoires des « filles du coin », dans l’ouvrage du même nom à paraître le 18 mars (Presses de Sciences Po, 264 p., 23 €). Celles qui, souvent de catégorie populaire, voient leur destin scolaire et professionnel largement déterminé par la géographie, et qui jouent la carte de la débrouille, loin des grandes villes. Celles, encore, qui doivent composer avec la polarisation genrée des rôles sociaux et des emplois disponibles dans leur territoire.
En quoi la trajectoire des jeunes filles des milieux ruraux est-elle spécifique ? Article réservé à nos abonnés Lire aussi Pour les jeunes ruraux, la crise décourage encore plus l’envie d’aller « voir ailleurs » Comment se détermine l’orientation des jeunes femmes ?