Ow.ly image uploaded. Ghost Driver City (Tribune) | Plug|Think. Bruno caressa une dernière fois du regard la courbe presque animale du véhicule. De son bureau aménagé à l’étage, il embrassait la Porsche verte dans son entier. Elle avait presque son âge. Lorsqu’il l’avait rachetée il y a 20 ans à un collectionneur allemand, il s’était juré de la maintenir dans l’état exceptionnel où il l’avait trouvée. Le moteur avait encore besoin d’un peu de travail, mais ce n’était vraiment pas le moment. Le robot d’Amazon passerait prendre ses plans dans quelques minutes et il devait encore se rendre au sas aménagé sur la rue pour y déposer le précieux paquet.
Depuis que la Ville avait supprimé les dernières places de parking, les plans de ses SmartParklets s’arrachaient comme des petits pains. Il en profita pour consulter son compte : la vente des 3 derniers modèles de Parklets devrait lui permettre d’offrir un WonderTrip d’au moins deux heures à sa petite-fille préférée.
Il n’avait pourtant rien contre les robot-cars, bien au contraire. Amazon lance son portail dédié aux objets artisanaux dans toute l'Europe. Amazon veut frapper un grand coup. L’e-marchand déploie ce 22 septembre, en simultanée dans toute l’Europe, une nouvelle boutique dédiée aux produits faits main. Baptisée "Handmade", du même nom que la version américaine, elle regroupe plus de 30000 produits de fabrication artisanale en provenance de plus de 1 000 artisans de France et du reste de l’Europe. Depuis les bijoux, en passant par des bougies parfumées, des objets de décoration pour enfants jusqu’à des objets en bois ou des lampes en origami, la palette de produits faits main se veut large.
Par cette initiative, l’objectif d’Amazon est clair, "nous voulons soutenir les artisans locaux grâce à un service qui leur apporte de la visibilité", explique Patrick Labarre, directeur de la Marketplace pour Amazon France. En effet, sur le papier, les artisans qui choisissent de commercialiser leurs produits sur cette plateforme ont accès à plus de 300 millions de clients dans le monde. Lire la suite de cet article sur le site de LSA. La Suède veut inciter fiscalement ses habitants à réparer. Gamla Stan, Stockholm, Suède (59°20’N – 18°03’E). © Yann Arthus-Bertrand Pour inciter la population à réparer plutôt qu’à jeter et remplacer, le gouvernement suédois propose de réduire les taxes sur les activités de réparation.
Le parti Social-démocrate et les Verts, qui composent la majorité, souhaitent intégrer des dispositifs fiscaux en faveur de la réparation dans la loi de finance 2017. L’objectif est de rendre la réparation moins chère et donc d’inciter les Suédois à utiliser les services de professionnels. Les autorités espèrent dynamiser le secteur de la réparation, créer des emplois et réduire leur empreinte carbone de la Suède. Une des mesures prévoit de réduire la TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée). Elle passerait ainsi de 25 % à 12 % sur la réparation des chaussures, des vélos, des vêtements et d’autres biens de consommation. Grâce à des bactéries, cette start-up va éclairer nos villes sans électricité. Image de synthèse de Glowee (Crédit : Glowee) Algues, méduses, calamars, poissons, crevettes… Tous ces animaux marins ont en commun de posséder un gène code leur permettant d’être bioluminescents : en présence d’une enzyme, la luciférase, ils génèrent naturellement une lumière colorée (en général bleue ou rouge).
Cette production naturelle est pour la start-up parisienne Glowee l'une des ressources de demain. Ses dix employés utilisent cette propriété, possédée par 90 % des organismes marins, pour générer une nouvelle source de lumière. Une idée pour laquelle CEO, Sandra Rey, 26 ans, titulaire d'un master en design industriel, a été retenue par la revue du Massachussetts Institute of Technology (MIT) parmi les "Innovateurs de moins de 35 ans France" 2016, dont la cérémonie de remise des prix a eu lieu à Paris, mercredi 13 avril.
À LIRE AUSSI : Adieu pollution au plastique ? Une bactérie qui le dévore vient d'être découverte au Japon (Crédit : Glowee) UpWave. Gestion de tâches et productivité en équipe. UpWave est un outil en ligne de gestion des tâches qui se propose d’améliorer votre productivité et celle de votre équipe. Un outil développé du côté d’Oslo mais en Français qui se distingue par une interface graphique particulièrement réussie et une prise en main immédiate grâce à une ergonomie impeccable. UpWave offre une vision de vos tâches et projets sous la forme de tableaux à colonnes particulièrement clairs et lisibles. Projets, fichiers, commentaires de votre équipe sont rassemblés au même endroit et disponibles sur votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone. UpWave fonctionne sous forme de tableaux classiques avec trois colonnes par défaut mais vous pouvez en ajouter ou les adapter à vos habitudes.
À faire, En Cours, Fait. Chaque membre de l’équipe peut interagir en temps réel sur un tableau. On peut créer autant de tableaux que l’on veut. Lien : UpWave. Daniel Wellington, le succès par les réseaux sociaux - L'Express Styles. Monica, fashionista anversoise, en a une. Andreas, photographe basé à Londres, aussi. Margaret, jeune russe installée dans l'Oklahoma, la préfère avec un bracelet NATO rose et bleu, tandis que Jabba, sympathique chien canadien, porte la version cuir. Tous possèdent une montre Daniel Wellington, ovni de la sphère mode qui déferle sur les réseaux sociaux depuis sa création en 2011. Comment une marque de montres inconnue il y a cinq ans a-t-elle pu séduire un si grand nombre de personnes et atteindre un tel niveau de notoriété sans passer par les médias traditionnels? Et quelle est la stratégie de son fondateur, Filip Tysander, jeune homme d'affaires originaire de Stockholm, aussi riche que discret? Un concept de marque clair Fondée en 2011, Daniel Wellington est une entreprise d'origine suédoise, dont le siège est désormais aux Etats-Unis.
Une stratégie digitale en béton Malgré son succès social et commercial, la marque reste toutefois quasiment absente des médias traditionnels. On a testé « Allo », l’application de messagerie de Google dopée à l’intelligence artificielle. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual WhatsApp, Hangouts, Facebook Messenger, Snapchat, Twitter… Alors que nous croulons sous les applications de messageries – sans compter les textos –, Google vient, mercredi 21 septembre, d’en sortir une nouvelle, baptisée « Allo ».
Pour se démarquer de ses nombreuses concurrentes (parmi lesquelles un de ses propres produits, à savoir Hangouts) Google mise sur l’intelligence artificielle. Cette dernière, appelée « Assistant », s’invite dans les conversations de l’utilisateur, pour lui faciliter la tâche en lui proposant des réponses toutes faites - uniquement en anglais pour l’instant, mais d’autres langues devraient suivre. « Je ne sais pas combien d’aéroports il y a à Berlin », dit par exemple votre interlocuteur.
L’application vous propose alors trois réponses simples : « Moi non plus », « Ah ah » et « Vraiment ? ». Elle propose aussi d’effectuer pour vous une recherche sur Google (« Combien y a-t-il d’aéroports à Berlin ?