Découvrez la puissance du design thinking ! - SeeMy : Plateforme collaborative pour l'innovation. Dans un précédent article, Comment favoriser l’innovation au sein de votre entreprise, nous abordions les méthodes de développement de la créativité.
Parmi elles, le design thinking qui, plus qu’une méthodologie, représente un état d’esprit, une façon d’appréhender les problématiques, de s’y confronter. Raison pour laquelle les deux expressions “Pensée Design” et “Esprit Design” ont été choisies comme traduction française. Les présentations faites, notre propos porte désormais sur l’intégration de cette pratique dans votre entreprise.
Le rôle du design thinking dans la création de l'innovation de rupture - Jean-Patrick PECHE. Le Design Thinking, une démarche de conception qui entre dans le monde de l'entreprise - DigitalCorner. Longtemps utilisé uniquement par les designers, le Design Thinking est aujourd’hui largement sollicité par le monde du business.
Plus une semaine ne passe sans qu’une conférence ou un workshop sur le sujet ne soit organisé. Désormais, de nombreuses entreprises et startups telles que SAP, Renault ou Blablacar utilisent cette démarche pour concevoir de nouveaux produits ou services innovants. Mais que signifie réellement le terme Design Thinking ? Quels sont les avantages et les limites de cette approche ? MOOC Innovation de Rupture. 1.
Présentation du site. En vertu de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, il est précisé aux utilisateurs du site l'identité des différents intervenants dans le cadre de sa réalisation et de son suivi : Propriétaire : Unow – SAS – 75 rue TurbigoCréateur : Mathieu MachadoResponsable publication : Mathieu Machado – mmachado@unow.fr Le responsable publication est une personne physique ou une personne morale.Webmaster : Mathieu Machado – contact@unow.frHébergeur : OVH – 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix - France. Crédits : les mentions légales ont été générées et offertes par Subdelirium SubDelirium 2. Co-construction. Le terme de co-construction a fait irruption de manière récente dans le langage courant : utilisé dans la presse écrite une fois par an avant 2003, une fois par mois en 2005, il apparaît presque quotidiennement en 2013.
En règle générale, il sert à mettre en valeur l’implication d’une pluralité d’acteurs dans l’élaboration et la mise en œuvre d’un projet ou d’une action. On relève deux contextes principaux d’utilisation : le premier, relativement circonscrit, renvoit à la coopération entre les autorités définies aux différentes échelles, de la commune à la région, dans l’élaboration de politiques territoriales ; le second, beaucoup plus vaste du point de vue des champs d’application, désigne, de manière spécifique et dans le cadre de certains processus, la participation d’acteurs « inhabituels » compte-tenu de la répartition convenue des prérogatives, des compétences et de l’expertise. Dans un monde numérique, rêver est devenu vital. Le dernier essai du philosophe Bernard Stiegler nous met en garde contre la folie de l’automatisation.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Margherita Nasi L’éclair de Zeus se produit à cent millions de mètres par seconde. L’information digitale, elle, peut circuler sur les fibres optiques aux deux tiers de la vitesse de la lumière… elle est plus rapide encore que la foudre divine. C’est donc à une vitesse plus que foudroyante que la réticulation numérique pénètre, envahit et parasite nos relations sociales, avec des effets dévastateurs : elle les « neutralise et les annihile de l’intérieur, en les prenant de vitesse et en les phagocytant », écrit Bernard Stiegler dans son nouvel ouvrage, Dans la Disruption. Le philosophe s’alarme : la société automatique et réticulaire devient « le facteur planétaire d’une colossale désintégration sociale ». L’ouvrage s’ouvre sur des exemples tragiques de ce nihilisme automatique, stérilisant et détruisant la vie sociale.
Nouvelle forme de barbarie. Le concept de "Disruption" expliqué par son créateur - 24 janvier 2016. "Disruption", "disruptif "… Jamais ces mots n’avaient été aussi employés - voire galvaudés - dans les médias du monde entier.
Mais que signifient-ils exactement ? Tous ceux qui s’intéressent à l’innovation ont intérêt à lire "New : 15 approches disruptives de l’innovation" (Ed. Pearson), ouvrage signé par le père de ce concept, le "fils de pub " Jean-Marie Dru, aujourd’hui Président non exécutif du groupe de communication américain TBWA. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Jean-Marie Dru rappelle : DISRUPTION est une marque appartenant à TBWA depuis 1992, enregistrée dans 36 pays dont l’Union Européenne, les Etats-Unis, la Russie, l’Inde et le Japon. " Le co-fondateur de l’agence française BDDP (rachetée en 1998 par Omnicom et fusionnée avec TBWA), raconte la genèse du vocable : Même en anglais, au début des années 90, le mot ‘disruption’ n’était jamais employé dans le business. Mais, souligne Jean-Marie Dru, dans ce cas, la disruption cela ne peut venir que des start-up !
Avis aux PDG.