Pourquoi il faut arrêter de parler de « fake news » « La France fait la chasse aux fake news avant l’élection présidentielle » ; « Les médias et Facebook montent au front contre les fake news » ; « Présidentielle et fake news : les autorités veulent rencontrer Facebook, Google »… Il n’est pas besoin de chercher très loin pour voir le terme de « fake news » mis à toutes les sauces.
Mais paradoxalement, tout le monde n’en a pas la même définition, ce qui pose un problème important pour une tendance supposée majeure de ces derniers mois. Un anglicisme trompeur La notion de « fake news » pose d’abord un problème de traduction : à strictement parler, le terme anglais ne désigne pas un article faux, au sens d’inexact, mais plutôt un faux article, une publication qui se fait passer pour un article de presse sans en être un. La langue anglaise distingue ce qui est false (faux au sens d’erroné) de ce qui est fake (faux au sens d’une imitation). Un mot fourre-tout Le pastiche humoristique. L'infopollution.
Fake news. Rumeur. Manipulation des images. Mésinformation. Infographic: Beyond Fake News - 10 Types of Misleading News - nine Languages. The work needed to effectively filter information in our media-saturated environment takes time and skill.
A study showed that the more content we consume, the more our ability to make decisions about its veracity becomes impaired. With 80% of Europeans now regularly going online, it is vital for the sustainable and effective functioning of democracy for citizens to be able to curate their media diets with a healthy critical eye. Our Beyond Fake News infographic identifies the 10 types of potentially misleading news. It was created to be used in class with real-world examples to spark classroom debate and reflection on the ways that media is constructed. We hesitated to put the term ‘fake news’ in the title of the infographic as, ironically, the term itself is a misleading simplification. Below this article, you will find a pdf version of the infographic as well as a dropdown list containing some resources for teaching the 10 Types of Misleading News. Petit recueil de 25 moisissures argumentatives pour concours de mauvaise foi.
Petit recueil de non plus 18, ni 20 mais 24 moisissures argumentatives à utiliser sans modération lors des concours de mauvaise foi. Nous avons découpé ces moisissures argumentatives en trois grandes catégories : les erreurs logiques, les attaques, et les travestissements. Télécharger en pdf la mise en page magnifique du graphiste Francois-b. Télécharger le document élaboré avec le collectif INDICE en pdf (25 pages avec pages blanches pour noter ou 16 pages, plus dense avec seulement les descriptions) ou en html pour copier plus facilement le texte. 1. La généralisation abusive Méthode : prendre un échantillon trop petit et en tirer une conclusion générale. Exemples : Mon voisin est un imbécile moustachu, donc tous les moustachus sont des imbéciles.Les Chinois sont vachement sympas. Exemples aggravés (menant au racisme ordinaire) : Le Chinois est vachement sympa. 2.
S'informer est un sport de combat à l'heure des fake news.
Table ronde lors du festival Médias en Seine avec Cynthia Fleury, Professeure au Conservatoire National des Arts et Métiers et titulaire de la Chaire Humanités et Santé; Gérald Bronner, Sociologue et Serge Brabet, Directeur général du CLEMI. – dadoc
Outils. Scénarios pédagogiques. Séances. Sur Spicee, “La Nouvelle Fabrique de l’opinion” montre comment Facebook cerne nos idées - Médias / Net. Dans les quatre épisodes mis en ligne, l’enquête s’attache à prouver comment le réseau social américain décrypte nos penchants politiques, et nous affiche des contenus qui ne les bousculeront pas.
Le photomontage, saisissant de stupidité, montre une femme en burqa jaune fluo aux bandes réfléchissantes. Ce cocktail nauséabond qui mêle Gilets jaunes et laïcité, deux sujets qui n’ont strictement rien à voir, vous ne l’avez peut-être pas aperçu dans votre fil d’actualité Facebook. Et pour cause, il vise un public bien précis : celui des électeurs de La République en Marche (LRM). A l’occasion de la campagne des élections européennes de mai 2019, six étudiants de l’école de journalisme de Sciences-Po Paris, guidés par le réalisateur Thomas Huchon, ont tenté une expérience numérique plutôt audacieuse concernant Facebook.
Objectif : décrypter comment le réseau social aux 40 millions d’inscrits en France construit l’opinion de ses utilisateurs et les enferme dans une bulle bien lisse.