Faut-il avoir peur du syndrome métabolique ? - Doctissimo. Les dyslipidémies : un facteur de risque cardiovasculaire. Les dyslipidémies sont un facteur de risque cardiovasculaire.
Leur prise en charge par des mesures hygiéno-diététiques complétées si besoin par un traitement médicamenteux est donc très importante pour prévenir les infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux. Dyslipidémies, qu’est-ce que c’est ? Définition Les dyslidémies résultent d’anomalies dans la répartition des lipides (anomalies du taux des lipides) dans le sang. Les lipides sont un ensemble de molécules diverses comme les acides gras libres, le cholestérol, les triglycérides, les phospholipidides.
Les dyslipidémies peuvent être classées en plusieurs groupes : hypercholestérolémie pure (taux de LDL-cholestérol (« mauvais » cholestérol) élevé, hypertriglycéridémie pure : taux de triglycérides élevé hypertriglycéridémie mixte : taux de LDL-cholestérol et de triglycérides élevés, taux de HDL-cholestérol (bon cholestérol) bas. Les anomalies liées au cholestérol sont les plus fréquentes. Causes Diagnostic Références. Hypercholestérolémie - Doctissimo. Hypertriglycéridémie : causes et traitement d’un excès de triglycérides - Doctissimo. Les apolipoprotéines & transports des lipides - Cours Pharmacie.
I) Caractéristiques et composition des différentes lipoprotéines1) Généralités2) Les chylomicrons, les LDL et les HDL3) Rôle et risques des lipoprotéinesII) Métabolisme des lipoprotéines1) Les chylomicrons2) Les LDL3) Les HDLIII) Différentes voies de transport des lipidiques plasmatiques I) Caractéristiques et composition des différentes lipoprotéines 1) Généralités Les lipides sont des molécules hydrophobes (lipophiles).
Pour être transportés au niveau plasmatique (milieu aqueux) ils doivent donc se complexer à des protéines plasmatiques. Ces protéines sont des apolipoprotéines associées aux lipides par des liaisons faibles (Van der Waals, liaisons hydrogènes et liaisons hydrophobes). Le complexe lipides-protéines forme une sphère qui permet d’obtenir un maximum de volume pour un minimum de surface. 2) Les chylomicrons, les LDL et les HDL Ces complexes lipides-protéines sont de différents types, différenciés par leurs densités, leurs diamètres et leurs poids moléculaire. Qu'est-ce que le diabète ? Le diabète se caractérise par une hyperglycémie chronique, c’est-à-dire un excès de sucre dans le sang et donc un taux de glucose (glycémie) trop élevé.
Découvrez dans cet article et dans la vidéo ci-dessous tout ce qu’il y a à savoir sur le diabète de type 2 et le diabète de type 1 (insulinodépendant) : causes, symptômes, traitements, facteurs de risques, dépistage... Retrouvez cette vidéo dans notre playlist dédiée aux fondamentaux du diabète sur notre chaîne officielle Youtube. Définition : qu'est-ce que le diabète ? Le diabète est un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation. Cela se traduit par un taux de glucose dans le sang (encore appelé glycémie) élevé : on parle d’hyperglycémie. Les aliments sont composés de lipides (graisses), protéines (protéines animales ou végétales) et glucides (sucres, féculents).
Examen et diagnostic : comment savoir si on a du diabète ? Diabète gestationnel. Le diabète de type MODY. Le diabète de type MODY est une forme particulière de diabète, différent du diabète auto-immun de type 1.
Il est en rapport avec une anomalie de la régulation de la sécrétion d’insuline. C’est une forme rare de diabète (moins de 2% des diabètes sucrés). Il se manifeste dès l’enfance ou l’adolescence, d’où le nom : Maturity-Onset Diabetes of the Young, ou diabète de type adulte chez le jeune. C’est un diabète familial, avec une hérédité « autosomique dominante ». Il concerne la moitié des personnes de chaque génération d’une même famille, dans les deux sexes. Origines génétiques Le diabète de type MODY a une origine génétique connue.
Ordre chronologique de découverte Dans 15 à 20 % des familles, les mutations ne sont pas encore identifiées. Autres anomalies Outre le diabète sucré, certaines mutations sont associées à d’autres anomalies : Mécanismes de l’hyperglycémie. Diabète de type 2. En France, la prévalence globale du diabète était estimée à 5% de la population en 2016, le diabète de type 2 (DT2) correspondant à 90% des cas.
Ce chiffre est cependant largement sous-estimé puisqu’il ne tient pas compte des personnes non traitées ou non diagnostiquées. Or, compte tenu du caractère silencieux de la maladie, on estime que de 20 à 30% des adultes diabétiques ne sont pas diagnostiqués. Cette part diminue avec l’âge, tombant à 13 % chez les 55-74 ans. L’incidence du DT2 augmente avec l’âge. La maladie se manifeste généralement après 40 ans et elle est diagnostiquée à un âge moyen proche de 65 ans. La prévalenceprévalenceNombre de cas enregistrés à un temps T. de la maladie a beaucoup augmenté ces dernières années. Une évolution lente et silencieuse. Diabète de type 1. Le diabète de type 1, maladie auto-immune Le diabète de type 1 (DT1) est causé par le dysfonctionnement de lymphocytes T (des cellules du système immunitaire) qui se mettent à identifier les cellules ß du pancréas comme des cellules étrangères à l'organisme du patient, et à les éliminer.
Il s’agit donc d’une maladie auto-immune, détectable par la présence d’autoanticorps. Les symptômes apparaissent plusieurs mois, voire plusieurs années après le début de ces événements, lorsque la plupart de ces cellules productrice d'insuline ont été détruites. Longtemps considéré comme un "diabète de l’enfant", le DT1 peut survenir à tout âge. Absence d’insuline : les conséquences. Les complications du diabète de type 1.