Luca - Franck Thilliez. Depuis quelques années, à chaque nouveau roman de Franck Thilliez, on se dit que ce n'est pas possible, qu'il ne va pas pouvoir continuer ainsi à faire toujours plus fou.
Qu'il finira à un moment par se répéter, surtout aux travers des aventures de ses personnages fétiches que sont Sharko et Hennebelle (et le reste de leur équipe).Peut-être aurez-vous du mal à me croire, mais avec Luca il va encore plus loin et frappe encore plus fort. A en devenir béat d'admiration.Son nouveau thriller est une course contre la montre, un 24 heures chrono façon Thilliez. Interfeel, tome 1 - Antonin Atger. J'ai lu ce livre dans le cadre de la masse critique Babelio.
Je l'avais coché un peu par hasard, happée au passage par le résumé qui m'intriguait beaucoup. Et bien m'en a pris parce que j'ai frôlé le coup de coeur. Pourquoi seulement frôlé ? Tout simplement parce que, à aucun moment, ni au début du livre, ni à la fin, il n'est fait mention d'une éventuelle suite. Or, vu comment se fini ce livre, clairement, la bonne opinion que j'en ai est subordonné à l'existence d'une suite. C'est pas ma faute - Samantha Bailly. C'est pas ma faute est un thriller adolescent de Samantha Bailly et Anne-Fleur Multon, publié il y a une semaine aux éditions Pocket Jeunesse.Une fois n'est pas coutume, j'élargis mon registre en vous proposant cette chronique sur un sujet très actuel.
Je ne pouvais qu'être sensible à ce texte, comme je l'avais été il y a quelques mois sur celui de Stéphanie Dupays.Il est en effet important que chacun, et en premier lieu nous parents d'ado, ait conscience des dangers et autres mirages des réseaux sociaux.Le pitch ? Lolita est une adolescente à succès, une influenceuse réputée. Parmi ses nombreuses « suiveuses », sa plus grande fan se nomme Prudence. Quand Lolita disparaît brutalement des réseaux, Prudence panique et se lance à sa recherche.Deux autricesSamantha Bailly et Anne-Fleur Multon, deux jeunes autrices au succès personnel avéré, abordent des sujets forts et très contemporains dans C'est pas ma faute aux éditions Pocket Jeunesse.Samantha Bailly est née en 1988. Trouver les mots - Gilles Abier. Vais-je trouver les mots pour expliquer mon ressenti suite à la lecture de ce roman très fort de Gilles Abier.Je l'espère...
Allez je me lance.Tout commence avec Gabriel Santorelli, surnommé Gaby, on le retrouve en plein interrogatoire, avec ses parents et un policier, c'est un instant terrible pour cet adolescent qui peine à s'exprimer. Sachant, que ce dernier doit s'expliquer sur l'appel téléphonique de son cousin, Julien, reçu la veille, un appel de douze minutes et vingt-trois secondes...Mais comment trouver les mots pour expliquer cet appel quand lui-même à l'impression de l'avoir abandonné ?
« Trouver les mots. Les mots justes. Ceux qui rassurent, ceux qui confortent, ceux qui sauvent. #Nouveau contact - Bruno Duhamel. La couverture hautement énigmatique ne nous dit pas si l'on a affaire à un délire sur le Loch Ness ou sur Internet mais donne bien envie d'ouvrir l'album, avec ses tons bleus que semble apprécier l'auteur.
Ce dernier a inséré en début et fin d'ouvrage différents textes humoristiques présentant les avertissements "légaux" avant de lire l'album ou un florilège de pages web absurdes illustrant son propos sur Twi(s)tter. de petits bonus qui ne vont pas jusqu'au cahier graphique ou dossier mais sont bien agréables et prolongent l'immersion. Esprit critique.
Les Websters - Toutes les petites histoires d'Internet. Extraits de Groom - Réseaux Sociaux. Trailer du film Nerve - Nerve Bande-annonce VO. The Circle - film 2017. Derrière nos écrans de fumée - film 2020. You - saison 1 Bande-annonce VO - Trailer You - Saison 1. Black Mirror - Série TV 2011. LE ROI DES RATS. INFLUENCEUSE - Court Métrage. Médias : la grande réinvention ? Mes Datas et Moi. Reprenez en main votre identité numérique ! 22 illustrations créatives qui dénoncent l'addiction aux réseaux sociaux.
L’artiste Kevin Lau réalise des illustrations à la fois minimalistes et percutantes qui ont pour but de dénoncer notre addiction aux réseaux sociaux. Facebook est-il plus addictif que la cigarette ? Pouvons-nous passer une semaine entière sans consulter nos réseaux sociaux ? Jusqu’où serions-nous capables d’aller pour avoir des likes ? Ces questions peuvent effrayer, mais elles sont pourtant le reflet d’un constat général : aujourd’hui les réseaux sociaux sont omniprésents dans notre quotidien et pour beaucoup, il s’agit d’une véritable addiction. Ce sujet qui revient souvent (et pour cause, il est plus que jamais d’actualité) a été revisité par l’artiste Kevin Lau.
La pêche aux likes, un fusil en forme de logo Facebook, des médicaments en forme de boutons de réactions… Ces illustrations vraiment bien trouvées parlent d’elles mêmes et si vous passez beaucoup de temps sur les réseaux sociaux, elles vont forcément vous parler. Imaginé par : Kevin Lau Source : lacriaturacreativa.com. Internet Sans Crainte. EDUCNUM. Exercer son esprit critique : On n’a jamais marché sur la lune ! – Prof & Doc.
Dans le cadre de l’Accompagnement Personnalisé, nous avons souhaité proposer à des élèves de Terminales Bac Pro d’aiguiser leur esprit critique : il circule diverses informations sur la Lune.
Notre approche est résolument placée sous l’angle du jeu : d’abord, dans la présentation du projet, avec des jeux de rôles de la part des enseignantes, mais aussi dans la production des élèves, avec la réalisation de quiz. Nous avons voulu instaurer une ambiance de travail studieuse, sur le ton de l’humour et de la curiosité. Cette séquence s’inscrit dans la thématique des Travaux Académiques Mutualisés EMI consacrés à la pédagogie par le jeu. Enseignantes : Valérie Liger, professeure-documentaliste et Nathalie Maillarbaux, professeure de maths-sciences physiques. « Regarde, j’ai vu ça sur Facebook ! » : quand nos bavardages nourrissent les fake news.
« T’as vu c’est dingue !
» ; « Regarde il paraît que… » ; « Mdr j’en crois pas mes yeux ! » Que ce soit sur Facebook ou dans un groupe WhatsApp, au téléphone ou au comptoir d’un café, les réactions des individus face aux informations qu’ils reçoivent peuvent être multiples et variées. Or, il est possible qu’au sein de ces niches conversationnelles, la circulation de certaines « fake news » soit favorisée par les bavardages désinhibés et familiers que chacun d’entre nous peut avoir, avec ses proches, dans sa vie quotidienne. En effet, lors de ces contextes de communication informelle, nous pouvons nous permettre de discuter d’une façon plus relâchée. 5 JT : des choix éditoriaux spécifiques.