Les 11 présupposés de la PNL. Les 10 présupposés de la PNL (Programmation NeuroLinguistique) sont les hypothèses de base de cette discipline créée par Grinder et Bandler.
Cet article fait suite à celui d’introduction dans le cours en ligne sur la PNL. Je vais parler des hypothèses de base de la PNL, que l’on appelle encore présupposés. Ce sont en fait des sortes de postulats qui fondent cette discipline. Alors attaquons directement… 1 La carte n’est pas le territoire Cette notion, due à Korzybski, correspond au fait que nous percevons le monde (le territoire) à travers nos sens (vue, toucher, ouïe, odorat, goût). En fait, il existe autant de cartes que d’êtres humains. La carte n’est pas le territoire 2 Tout comportement est issu d’une intention positive Les praticiens en PNL pensent que tout comportement est généré par une intention positive.
Autre exemple, extrême, celui d’un serial killer qui tuerait des femmes de petite vertu. Les présupposés de la PNL, par Robert Dilts. Par Robert Dilts Les présuppositions se rapportent aux croyances inconscientes ou aux postulats imbriquées dans la structure d'un propos, d'une action ou d'une autre croyance ; et la présence de ces présuppositions est requise pour que ces propos, actions ou croyances puissent être compris.
Selon le dictionnaire Merriam-Webster, présupposer signifie « supposer au préalable » ou « ce qui est exigé comme antérieur à la logique ou au fait. » Le terme « suppose » vient du latin, et signifie de façon littérale « mettre sous » à partir de sub (" sous") et de ponere ("mettre"). Il y a deux catégories de présuppositions significatives pour la PNL : les présuppositions linguistiques et les présuppositions épistémologiques Les présuppositions linguistiques Les présuppositions linguistiques se produisent quand certaines informations ou relations doivent être acceptées comme vraies pour qu’une déclaration particulière soit compréhensible.
Mettre en pratique les présupposés de la PNL. Par Robert DILTS Le champ de la PNL repose sur un ensemble fondamental de présuppositions à propos de nous-mêmes, nos comportements et notre monde.
Dans tous les cas, les présuppositions de la PNL ne sont pas que de simples axiomes théoriques. Ils ont pour but d'être des principes de vie. L'exercice suivant a été créée par Robert Dilts, Todd Epstein, et Judith DeLozier afin d'aider les gens à transformer en actes ces présupposés et afin que ces clés fonctionnent dans leurs relations aux autres. Identifiez une situation mettant en jeu une autre personne et dans laquelle vous n'avez pas été aussi performant que vous savez pouvoir l'être. 1. Trouver au moins deux autres cartes ou deux autres façons de percevoir la situation. 2.
Prenez en considération l'intention positive qui est derrière le comportement associé au problème ou la situation. " 3. Considérez le problème ou la situation à partir d'au moins trois points de vue (le vôtre, celui de l'autre, celui d'un observateur). " Comment voit-on le monde quand on souffre d’anxiété ? Un état d’anxiété est associé à une plus grande difficulté à distinguer ce qui est source ou pas de danger Nos états internes jouent un rôle de thermostat, en fournissant un indicateur de notre capacité à nous adapter à notre environnement, ou du degré d’adéquation entre notre carte mentale et le territoire dans lequel nous évoluons physiquement ou virtuellement.
Et inversement nos états internes conditionnent le fonctionnement de nos cartes mentales, en enrichissant ou appauvrissant le nombre d’options de réactions et d’actions dans un contexte donné. La carte du monde d’une personne calme et détendue, n’est pas la même que celle d’une personne anxieuse. Si ces propos sont familiers aux personnes qui ont suivi une formation PNL, c’est encore mieux quand ils sont illustrés par la recherche.
Les résultats de l'étude de Laufer et coll. montrent qu’un état d’anxiété est associé à une plus grande difficulté à distinguer ce qui est source ou pas de danger. Orientation du temps sur le futur. Intention positive. Confondre la carte avec le territoire. L'intention positive : l'indispensable clé du changement. Comment se sentir bien en faisant des erreurs. Il n’y a pas d’erreurs mais que des apprentissages, pour la PNL et aussi la science Vous connaissez le présupposé de la PNL selon lequel l’erreur n’existe pas et qu’il n’y a que des apprentissages ?
Difficile à digérer lorsque vous vous sentez horriblement mal d’avoir fait une grosse gaffe dont les conséquences vous semblent catastrophiques. La science semble pourtant confirmer le présupposé PNL car elle nous dit maintenant qui si vous réfléchissez aux circonstances dans lesquelles vous avez réalisé votre erreur (c’est-à-dire que vous avez pris une décision non adaptée aux circonstances), vous avez l’occasion de vous sentir bien mieux. Nous avons donc parfois besoin de faire des erreurs pour apprendre et grandir. Et dans ces cas, les aires de la récompense du cerveau s’activent, révèle l'étude de S. Ce qui signifie qu’après avoir réfléchi sur leur erreur de façon positive, les individus peuvent ne pas être si réticent à tenter quelque chose de nouveau. La carte n'est pas le territoire.