French Politic. Bernard Stiegler : "La cause de la crise ? Le court-termisme !" Atlantico : La crise financière, de l'euro, de la dette...
Autant de problèmes auxquels les décideurs n'ont pas été capables pour l'instant d'apporter de solutions à long terme. En quoi la crise révèle-t-elle une tendance court-termiste chez nos dirigeants ? Bernard Stiegler : Le problème central de la crise, c’est à dire sa cause, est précisément le court-termisme. Or, au lieu de se projeter sur un autre plan, les dirigeants politiques et économiques aggravent cette « inflation court-termiste ». Ils pensent essentiellement à être réélus ou à préserver leurs parts de marché, mais ils aggravent la situation en persistant ainsi dans le court-termisme. La peur d’être viré par ses actionnaires, la peur de ne pas être réélu, la peur d’être mal évalué par l’ANR (Agence nationale de la recherche), la lâcheté généralisée sont autant de raisons qui peuvent renforcer et aggraver le court-termisme structurel à quoi le consumérisme nous a conduits.
La diatribe de Richard Bohringer contre l’impuissance politique. A l’applaudimètre, l’acteur Richard Bohringer est gagnant.
Sa tirade, samedi soir face à Henri Guaino à l’émission On n’est pas couchés, sur les politiques qui ne sont plus que des « prestataires de service », a fait mouche. Henri Guaino était le bon client dans le rôle du chiffon rouge, après ses excès verbaux à répétition, d’abord sur le « mariage pour tous », puis dernièrement après la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Politique de fraîche date puisqu’il a longtemps été un homme de l’ombre, notamment « speech writer », conseiller et auteur des discours de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, le moins qu’on puisse dire est qu’il ne s’est pas fait remarquer par une approche novatrice de la vie politique ces dernières semaines. Henri Guaino (premier plan) et Richard Bohringer (photo d’écran) Zapping : Le coup de gueule de Richard Bohringer dans "On n'est pas couché"
Coup de gueule de Richard Bohringer dans "ONPC" face à Guaino. La vérité sur le patrimoine de François Hollande. Carla Bruni plus chère que Valérie Trierweiler. Stéphane Guillon au sommet de son art - Panique à l'Elysée ou la grande tragédie. Le coup de gueule de Michel Fugain. Interrogé par Le Parisien, le chanteur n'a pas mâché contre le président de la République et sa politique de «fonctionnaire», ni contre les gouvernants, «des pleutres et des incompétents».
Entre le chanteur et le président de la République ce n'est pas «une belle histoire». Au contraire, Michel Fugain est tellement désabusé par la politique actuelle qu'il vient de rejoindre Nouvelle Donne, le mouvement fondé par l'économiste Pierre Larrouturou, en 2013, et auquel l'humoriste Bruno Gaccio a déjà adhéré. Il s'en est expliqué au Parisien: «Je me sens obligé d'adhérer. En ce moment, je cherche l'intelligence en politique, le sens critique mais aussi la compétence.»
Pour le créateur du Big Bazar, «nos gouvernants sont des pleutres et des incompétents». Mon pays fabrique des armes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Synopsis[modifier | modifier le code] Le documentaire s'intéresse à l'absence de débat public en France sur les ventes de l'industrie de l'armement, avec l'assentiment voire l'aide de l'État, à des pays étrangers accusés de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité ou de violations des droits de l'homme[1],[2],[3]. Il souligne également l'opacité qui règne autour de cette industrie et la réticence des milieux concernés — tant les industriels que les élus et anciens ministres — à parler des ventes d'armes à l'étranger, encore davantage de l'utilisation qui peut en être faite — notamment par l'Égypte d'al-Sissi contre ses opposants et par l'Arabie saoudite dans la guerre du Yémen[4],[5].
Fiche technique[modifier | modifier le code] Titre original : Mon pays fabrique des armesRéalisation : Anne PoiretSociétés de production : Talweg, France TélévisionsLangue originale : françaisDurée : 72 minutesDate de sortie : octobre 2018. Mon pays fabrique des armes. 1/2. Mon pays fabrique des armes. 2/2. ALMA a film by Patrick Rouxel.