Lutte contre la pauvreté, le chômage et la protection de l’environnement La gomme arabique un atout majeur entre les mains du Mali malheureusement négligé par les autorités. La gomme arabique, à l’image du karité, du sésame et de l’anacarde, mais plus stratégique que ces trois substances, est un produit providentiel qui, valorisé, peut se révéler être un fer de lance dans les mains du Mali dans sa lutte contre la pauvreté et le chômage et la protection de l’environnement.
Malheureusement, tout se passe comme si, au-delà des battages médiatiques, des saupoudrages et du maquillage des chiffres, nos autorités compétentes manquent cruellement de vision pour la promotion de cette filière qui peut valoir, selon certains spécialistes, un point de croissance à notre pays. Cela malgré l’énorme potentiel dont regorge le Mali en la matière. La gomme arabique n’est autre chose que la résine de cet épineux du Sahel présent partout au Mali, à la seule exception de la région de Sikasso, et qui ne demande qu’à être valorisée au bénéfice du développement économique et social du pays. Yaya Sidibé 22 septembre. [etude] Les ONG sur les réseaux sociaux en France. Longtemps hors circuit dans l'utilisation des réseaux sociaux, les Organisations Non Gouvernementales (ONG) rattrapent peu à peu leur retard.
Dans le but de mieux cerner la diversité des stratégies social media de 17 organisations, Digimind publie une nouvelle étude gratuite consacrée aux ONG sur les réseaux sociaux en France. Avec notre outil d'écoute des médias sociaux Digimind Social et notre outil de mesure de performance sociale Digimind Social Analytics, nous avons analysé les conversations, la visibilité et la performances des différentes organisations humanitaires (Action contre la Faim, Greenpeace, Fondation Bill Gates etc.) sur les réseaux sociaux majeurs (Facebook, Twitter, Instagram) mais aussi sur les sites de médias et les forums ou blogs : Quelle vision des ONG est véhiculée sur les réseaux sociaux? La communication des ONG est-elle reprise par les internautes?
Areva mis en cause par Wikileaks en Centrafrique. Plusieurs centaines de documents sont mis en ligne vendredi par le site américain.
Ils émanent pour la plupart des autorités centrafricaines et fustigent les conditions de l'exploration minière du français ainsi que sa sortie du pays en 2012. Le boulet s’alourdit d’un poids supplémentaire. Près de quatre ans après s’être retiré de son exploration minière en Centrafrique – acquise dans le cadre d’un rachat controversé du groupe canadien Uramin en 2006 qui a depuis donné lieu à l’ouverture de deux informations judiciaires en France -, des centaines de pages de documents sont rendus publics par Wikileaks le 5 février concernant « la vilaine petite guerre pour l’uranium africain », selon la formule (en anglais) du site fondé par Julian Assange. « Aucun moyen de protection » Réaménagement de sites « bâclé » Ce n’est pas la première fois que des salariés d’Areva ou de ses filiales africaines contestent leur ancien employeur.
Une curieuse ONG sportive Benjamin Polle. Des femmes de plus en plus autonomes. Afin de lutter contre la pauvreté et pour donner le maximum de chances aux populations rurales, le gouvernement finance depuis 2010 l’installation de plates-formes multifonctionnelles dans tout le pays.
Il s’agit de structures autonomes d’énergie constituées d’un générateur entrainant divers modules de transformation de produits agricoles notamment des moulins, des décortiqueuses, des malaxeuses, des concasseuses et autres. Ces unités sont gérées par des groupements de femmes. Grâce à l’installation de 200 plateformes,,plus de 2.000 emplois ont pu être créés. Cette initiative est menée en partenariat avec le PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement), la BOAD (Banque ouest-africaine de développement) et la Coopération suisse. De son côté, Victoire Dogbé-Tomegah, le ministre du Développement à la base, met en avant la création d’emplois ruraux, l’autonomie financière pour les bénéficiaires et un travail moins pénible. L’Inde, laboratoire du système D écologique. "Il arrive que David gagne contre Goliath", sourit Bénédicte Manier.
En une phrase, cette journaliste de l’AFP (Agence France Presse) résume le message qu’elle veut faire passer dans son dernier livre "Made in India" (1). De ce pays où elle "traîne ses guêtres" depuis plus de vingt ans, Bénédicte Manier a rapporté "des solutions simples et reproductibles", dont "le monde entier peut s’inspirer, que ce soit en Afrique ou dans les pays développés", explique-t-elle. Alexander De Croo réunit des entreprises belges autour des Objectifs de développement durable. Elles s’intéressent au rôle qu’elles peuvent jouer en vue d’accélérer la dynamique de développement dans les quatorze pays partenaires de la Coopération belge au développement.
Parmi ces entreprises, figurent notamment Belfius, Brussels Airlines, Deme, GSK ou encore Solvay. Fin septembre 2015, 193 pays ont défini, sous l’égide des Nations unies, dix-sept Objectifs de développement durable (ODD) que la communauté internationale s’est fixée pour éradiquer l’extrême pauvreté et protéger la planète d’ici 2030.
AEF, agence d'informations spécialisées. Sans titre. Faire des affaires dans le nord-est de l'Inde, une course d'obstacles.