Relier agriculture alimentation et santé INRA. Les circuits courts, un levier important pour s’approvisionner en produits frais. En respectant les gestes barrières, il est toujours possible d’aller faire ses achats directement chez un agriculteur, dans les magasins de producteurs ou via une structure d'approvisionnement local.
En 2016, on dénombrait 106 018 exploitations en circuits courts. Depuis la mi-mars, de plus en plus de consommateurs se tournent vers ce type de commercialisation, qu’ils jugent plus sûr. La Ruche qui dit oui, Bienvenue à la ferme, ou les AMAP (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne), spécialisées dans la distribution de paniers de producteurs sans intermédiaire, ont vu la demande croître et de nouveaux fournisseurs et acheteurs apparaître. Les producteurs locaux à la carte La multiplication des cartes interactives témoigne de la diversité des offres alimentaires locales sur l’ensemble du territoire et de l’importance de maintenir ces filières de proximité. Bâti Alim : Expérimentations pour une gestion durable du bâti alimentaire - Expérimentation 4 : Atelier collectif d'abattage à la ferme de petits ruminants, dans l'Hérault.
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Accélérer la transition agroécologique au service d’une alimentation saine, sûre, durable, locale et de qualité pour tous. Plusieurs mesures permettant d’accélérer la transition agroécologique tout en améliorant l’accès de nos concitoyens à une alimentation à une alimentation saine, sûre, durable, locale et de qualité seront mises en oeuvre : Promouvoir et accompagner la performance environnementale La forte dynamique de conversion en agriculture biologique est accompagnée par l’aide à la Conversion à l’Agriculture Biologique et le crédit d'impôts Bio.
Ce crédit d’impôt sera reconduit pour le temps de la relance dès 2021. En parallèle, une mesure sera mise en place pour engager les exploitations agricoles dans la Certification à Haute valeur environnementale, correspondant au niveau 3 de la certification environnementale des exploitations agricoles avec la création d’un crédit d’impôt HVE pour le temps de la relance. Les haies bocagères et bosquets sont un formidable réservoir de biodiversité.
Structurer les filières locales grâce aux des projets alimentaires territoriaux (PAT) [Appel à communication] Malbouffe et mauvaises pratiques alimentaires, de l’Antiquité à nos jours, Clermont-Ferrand, 3 et 4 novembre 2020 [Date limite propositions: 31 mars 2020] Présentation Le CHEC (Centre d’Histoire « Espaces et Cultures »), en partenariat avec l’Université Bordeaux-Montaigne ainsi que la fondation Nestlé-France, organise en novembre 2020 un colloque international sur la malbouffe et les mauvaises pratiques alimentaires de l’Antiquité à nos jours.
Il s’agira d’appréhender et comprendre les effets des mauvaises pratiques alimentaires sur les individus, les sociétés ou l’environnement sur le temps long. Ainsi, le concept de malbouffe, relativement récent, sera interrogé à différentes périodes et dans différents espaces afin d’en mesurer l’opérabilité depuis l’Antiquité. Les propositions de communication, en français ou en anglais, sont à envoyer avant le 31 mars 2020.
Organisation scientifique : Stéphanie Lachaud (Bordeaux-Montaigne-CEMMC), Stéphane Le Bras (UCA-CHEC) et Corinne Marache (Bordeaux-Montaigne-CEMMC) Argumentaire Les produits. Propositions de communications Les langues de travail du colloque seront le français et l’anglais. Les dossiers noirs de la malbouffe - Jean-Claude Jaillette. Malbouffe : comment lutter ? Mensuel N° 251 - Août/septembre 2013 Trop grasse, trop sucrée, trop fade, l’alimentation industrielle est sur la sellette depuis une quinzaine d’années.
Mais comment faire évoluer la qualité des produits et les habitudes des consommateurs ? Peu de néologismes peuvent se vanter d’un succès aussi fulgurant. Lorsqu’en 2001, il entre dans Le Petit Robert, le terme « malbouffe » n’a été (re)mis (1) au goût du jour que depuis quelques mois par l’incontournable leader de la Confédération paysanne, José Bové. Nourrir le monde autrement. Mensuel N° 322 - Février 2020 Qu’elle soit « raisonnée », « biodynamique » ou « urbaine », l’agriculture n’a rien d’un bloc monolithe, et abonde de contre-modèles.
Leur point commun : se démarquer du productivisme et répondre aux dégâts causés par l’agriculture intensive. La liste des qualificatifs des agricultures en rupture avec le système agricole dominant ne cesse de s’allonger.