Enseigner Documentation lycée - Le document de collecte : retour d'expérience. Document de collecte : savoir copier pour construire, structurer et partager son environnement informationnel. Construire l’histoire de son parcours info-documentaire en lycée professionnel - Doc pour docs. Cet article est le fruit d’une expérimentation restée au milieu du gué… Il s’inscrit dans une réflexion menée par quelques collègues sur le storytelling et le document de collecte.
Ces réflexions autour de l’éditorialisation d’un parcours de recherche cadraient bien, pour mes collègues de lycée professionnel et moi-même, avec notre objectif d’accompagner nos élèves dans leurs recherches d’information. J’ai donc proposé à une collègue de Lettres-Histoire-Géographie de poursuivre l’expérimentation commencée en 2012-13 avec ma collègue-stagiaire, en utilisant Storify, comme premier document de collecte numérique, et non comme document final. Storify [1] est un outil de curation qui permet d’assembler sous forme de liste à déroulement vertical, des contenus divers (textes, images, vidéos…) recherchés à partir d’une interface permettant d’utiliser différents outils de recherche (web, Youtube, Twitter …). de collecter des documents de nature différente et repérables visuellement, Les étapes 1. 2.
Le document de collecte (LNmulot) Noël Uguen : lecture numérique et document de collecte. Info-Doc : le document de collecte. Le document de collecte : développer l’autonomie des élèves face à l’information. Partenariat AEDAC-ESPE : le document de collecte. Lors de notre réunion du 22 juin 2016, à l’Espé de Caen, nous avons pu faire un point sur des séquences mises en place.
Catherine Pinthier et Stéphane Letourneur ont présenté leurs séquences autour du document de collecte. Les échanges ont été vraiment riches et nous nous proposons de poursuivre de la manière suivante : 30 novembre 2016, 13h30-17h : « Faire chercher de l’information aux élèves : quelles pratiques pédagogiques » avec Anne Cordier qui interviendra tout d’abord sur les évolutions des pratiques de recherche et l’impact sur l’enseignement . Document de collecte : vers des « automatismes irrépressibles (Article rédigé par Mme Almayrac (professeur documentaliste).
Merci à André Tricot pour la relecture de cet article parce qu’il arrive que les mots « parfois » et « peut – être » revêtent une importance insoupçonnée.) Les élèves du collège Saint – Théodard vous le diront : « Mme Almayrac, elle est pénible avec son document de collecte !!! ». Dés le premier cours d’EMI (ou plutôt le deuxième) en 6°, j’ai annoncé : « Au CDI, nous allons travailler toute l’année sur la méthodologie de la recherche d’informations. Voilà, comme ça les choses sont dites et posées dés le début. Document de collecte. [APDEN] L’idée du document de collecte m’est venue à la lecture d’un article de Nicole Boubée.
Dans ces travaux universitaires, elle étudie les pratiques informationnelles de collégiens et de lycéens [1] et met en exergue leur pratique du copié-collé. Elle montre que cette pratique informelle contribue à la délimitation et la problématisation par les élèves de leur sujet de recherche. Elle préconise qu’elle soit prise en compte par les enseignants. De mon coté, depuis quelques temps déjà je me sentais très mal à l’aise avec la méthodologie de recherche par étapes qui distinguait chronologiquement les phases : Pourquoi (et comment) utiliser le document de collecte m'a permis d'abandonner la méthode de recherche par étapes. Je parle du document de collecte dans mes différents billets mais je réalise que depuis le jour où j'ai décidé (grâce à l'enthousiasme d'une collègue d'Histoire-Géographie) de l'introduire dans mes séquences, je n'en ai pas vraiment fait de bilan.
Pourtant, depuis ce jour, je ne l'ai plus lâché. Le document de collecte est devenu mon compagnon fidèle, celui de certains de mes collègues (même partis enseigner ailleurs, au lycée, où semble-t-il il séduit beaucoup) et celui de mes élèves. Je ne l'utilise qu'associé à la carte mentale de réorganisation des idées. Il pourrait être construit autrement, sous forme de tableau par exemple pour comparer des informations issues de différents sites comme le font certains collègues de Bretagne. Le document de collecte : pour donner de la cohérence à l'EMI. Un document de collecte et après ? : l'élève-auteur. Le site académique Doc'Toulouse des professeurs documentalistes a mis en ligne un site PublionsDoc pour valoriser les publications des travaux des élèves dans l'académie.
Je l'ai trouvé intéressant en ce qu'il propose une entrée par média et pas par outil. Ces entrées et la carte EMI et élèves créateurs réalisée avec l’académie de Nancy-Metz dans le cadre des Travaux académiques en documentation (TraAM), me semblaient tout à fait pertinente pour proposer un document simple à mes collègues. (Merci !) J'ai donc simplifié ces deux propositions sur une nouvelle carte intitulée "publier en ligne. Je veux Anne Cordier nous disait qu'il fallait «revoir les restitutions académiques attendues » pour dépasser le copier-coller. Le document de collecte : un "savoir copier". Le document de collecte : une alternative au copier-coller. Nous sommes quelques professeurs-documentalistes à utiliser le document de collecte qui s'appuie sur la pratique du copier-coller des élèves lors de la recherche documentaire.
Je ne vais pas ici redéfinir le concept, ni ses usages pédagogiques, d'autres l'ont déjà très bien fait. Je vous renvoie donc vers les blogs : TicTacdoc, Didacdoc et Mesdocsdedoc et également vers la présentation de Docs de Doc. J'ai créé un scoop.it qui reflète ma veille à ce sujet. J''insisterai ici sur la nécessité d'utiliser la méthode du document de collecte dans le cadre d'un TRAVAIL D'EQUIPE. Ainsi après avoir expérimenté ponctuellement la méthode pendant 2 ans, il m'a semblé important cette année d'impliquer l'ensemble de mes collègues dans le processus.
Le document de collecte en bref. Travailler différemment la prise de notes en 4ème : introduction de la notion de "document de collecte". 22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 11:21 Avec une enseignante d'histoire-géographie, nous réfléchissons à la mise en place d'une séquence de recherche en 4ème autour des Lumières.
Je veux m'appuyer sur deux idées qui sont développées par Nicole Boubée. La première est l'idée que lorsque nous cherchons sur internet, notre questionnement se construit au fur et à mesure de nos lectures. Nous arrivons rarement dans la recherche avec une problématique déjà construite. Jusque là j'avais l'habitude de demander aux élèves de s'interroger préalablement sur leur sujet (avec aux lèvres toujours cette remarque "si tu ne sais pas ce que tu cherches, tu ne pourras pas trouver").