Les relations contractuelles avec la personne publique - Qu’est-ce qu’un marché public ?
Un marché public est une forme de contrat administratif à titre onéreux conclu par des « pouvoirs adjudicateurs » (l’État, certains établissements publics, les collectivités territoriales) avec des opérateurs publics ou privés pour répondre à leurs besoins en matière de travaux, de fournitures ou de services. La qualité particulière d’un des contractants (personne publique) appelle l’application de règles impératives se rattachant au droit public tant au niveau de la formation que de l’exécution du contrat. Quels sont les principes fondateurs du droit des contrats avec la personne publique ? Les relations contractuelles entre partenaires privés -
Qu’est-ce qu’un contrat conclu entre partenaires privés ?
Un contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres, à donner, faire ou à ne pas faire quelque chose. Le contrat constitue le principal support des relations économiques entre les entreprises. C’est un outil essentiel aux échanges et à la circulation des richesses. Exemples de contrats entre professionnels : Contrat de distribution : conclu entre producteurs et distributeurs pour distribuer un produit ou un service auprès d’utilisateurs.
1,35 million d'euros pour solder le contrat de la maintenance informatique des collèges d'Eure-et-Loir. Une indemnité transactionnelle de 1,35 million d’euros.
C’est la somme que le Conseil départemental, en charge de la gestion des collèges, consent à débourser pour solder définitivement le contrat d’entretien et de maintenance du parc informatique des 39 collèges d’Eure-et-Loir, confié, en 2007, à l’entreprise ADN, pour une durée de douze ans. "Néandertalien" Le changement de président à la tête de la collectivité, en 2017, semble avoir braqué un regard nouveau sur le niveau de prestation, jugé insuffisant, de cette entreprise, placée en redressement judiciaire en 2015.
L’expertise, commandée début 2018 par le Conseil départemental à Ibs’on, une société privée spécialisée dans la sécurité informatique, dresse un accablant diagnostic. Selon cet expert, le parc est vieillissant, le matériel obsolète, le câblage défectueux, le débit Internet insuffisant et la maintenance défaillante. En mai 2018, le contrat avec ADN est dénoncé. Voilà pour le volet administratif de l’affaire. Refonte. LES CLAUSES SENSIBLES DANS UN CONTRAT INFORMATIQUE. Dans la plupart des contrats informatiques sont incérés des clauses limitatives ou exclusives de responsabilité, tout comme des clauses de prescription.
Or il apparait que ces deux clauses ont vu leur avenir évoluer, en effet, la jurisprudence par un arrêt Oracle Faurécia en 2010 a énoncé une solution claire, mettant fin aux doutes qui régnait en en matière de clause limitative ou exclusive de responsabilité, la clause relative à la prescription quant à elle, a subit une libéralisation grâce à la nouvelle loi sur la prescription. Concernant tout d’abord la clause limitative ou exclusive de responsabilité , celle-ci a pour objet d’exclure ou de limiter tout ou partie des responsabilités d’une partie à un contrat.
De plus, ces clauses sont valables si le débiteur commet une faute peu sévère ou ordinaire, mais si le créancier démontre que le débiteur a commis une faute lourde ou dolosive alors la clause ne pourra plus s’appliquer. La fin des actions en contrefaçon en cas de violation de licence de logiciel ? Contrats informatiques : les principaux contrats.
Publications | Fiches point de vue Depuis l’invention du microprocesseur en 1971, l’informatique s’est généralisée pour devenir une véritable industrie.
A commencé alors une véritable course à l’accroissement des capacités informatiques, tant matérielles que logicielles. Le droit contractuel n’est pas resté en marge de ces évolutions, et la grande variété des contrats informatiques qui existent actuellement en témoigne. Ces quelques lignes ont pour objet de rappeler les bases des principaux contrats informatiques du marché. Cour de cassation Chambre civile 1 Arrêt du 14 novembre 2013. Mardi 24 décembre 2013 Cour de cassation Chambre civile 1 Arrêt du 14 novembre 2013 MM.
X et Y… / Microsoft composante - condition - droit d'auteur - droits patrimoniaux d'un auteur - logiciel - originalité - protection Attendu, selon l’arrêt attaqué, que MM. Sur le premier moyen, pris en ses sept branches, tel qu’annexé au présent arrêt Attend que MM. Les logiciels sont-il protégés par le droit d’auteur ? Depuis 1985, les logiciels et les matériaux de conception préparatoire sont considérés comme des œuvres de l’esprit et protégés par le droit d’auteur (voir article L 112-2 CPI).
Le code de la propriété intellectuelle ne définit pas la notion de logiciel. Néanmoins, le terme logiciel a été intégré dans la langue française suite aux travaux de la commission de terminologie publiés au Journal officiel du 17 janvier 1982. Contrat informatique. Principaux contrats informatiques. Le contrat de licence est un contrat informatique, définissant les conditions d’utilisation d’un logiciel ou d’une base de données.
Il définit notamment les conditions de reproduction permanente ou provisoire du logiciel, les conditions auxquelles sont soumises les modifications de ce dernier ainsi, que les modalités de sa mise sur le marché (en cas de sous-licence autorisées par exemple). Lorsque la licence porte sur une base de données, le contrat définit les conditions d’extraction et de réutilisation du contenu de cette dernière. Ce type de contrat est pour l’essentiel soumis au régime du droit d’auteur et du droit des producteurs de base de données. Il doit donc répondre aux conditions exigées par le code de la propriété intellectuelle pour que ces licences soient valides. Droit des contrats informatiques.
I.
Obligations du prestataire informatique 1. Obligation du prestataire informatique – Adaptation du progiciel aux besoins du client – Passage à l’an 2000 – Sévérité accrue CA Bordeaux, 2 mai 2006, Tradival et Lacheteau c/ Sigma Informatique, AGF et Promacef. Négociation des contrats (informatiques) : bonne foi, rupture abusive, dédommagement… En pratique, les contrats d’affaires, et notamment les contrats informatiques, sont souvent précédés d’une phase de négociation et l’expérience nous apprend que cette phase de pourparlers est souvent difficile, et qu’elle mène parfois à la rupture.Deux arrêts récents de la Cour de Cassation rappellent deux principes essentiels : - la bonne foi est exigée de la part de ceux qui négocient (arrêt du 11 septembre 2012), - ceux qui négociant ont la liberté de signer ou pas le contrat, cette liberté ne connaît qu’une seule limite, l’abus dans la rupture des pourparlers (arrêt du 18 septembre 2012).
Ces deux affaires ont été rendues dans des circonstances qui n’ont rien à voir avec l’informatique mais la solution rappelait dans les deux cas par la Cour de Cassation trouve à s’appliquer dans les négociations sur les projets informatiques et les projets Internet. En savoir plus. A propos de LAMON & ASSOCIES. Contrats informatiques : les principaux contrats. Les contrats informatiques face à la jurisprudence récente (Cass. com. 13 février...