Les données de la recherche. Entre moissonnage et référencement, les principaux sites sur lesquels vos dépôts sont visibles. En déposant le texte intégral de vos publications dans HAL, vous permettez la diffusion la plus large possible de vos recherches.
L’utilisation incontournable d’un moteur de recherche comme Google pour toute recherche documentaire n’empêche bien évidemment pas l’utilisation de bases de données ou moteurs de recherche plus spécialisés. Fruits de partenariat, référencement ou moissonnage, ce billet propose une liste des principaux sites utilisés dans les communautés académiques sur lesquels vos dépôts sont signalés. Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive. Pourquoi déposer ? - Déposer un texte dans une Archive Ouverte. L'ANR incite les chercheurs à intégrer leurs publications dans le système d'archives ouvertes Au niveau européen, le projet OpenAIRE (Open Access Infrastructure for Research in Europe) dont le principal objectif consiste à concrétiser la décision de la Commission Européenne de rendre obligatoire la diffusion en libre accès des publications issues des recherches financées par le 7e PCRD.
Baptisé Open Access Pilot, cette décision concerne environ 20 % du budget du 7e PCRD (soit 10 milliards d’euros). Cet effort ambitieux rassemble 38 partenaires représentant 27 pays de l’Union Européenne et implique les chercheurs relevant de sept programmes thématiques (énergie, environnement, infrastructures de recherche, sciences dans la société, sciences socio-économiques, santé, technologies de l’information et de la communication).
Sont également concernées les publications des chercheurs bénéficiant d’un financement de l’European Research Council (ERC). 68589 open access et bibliotheques. Transition vers l’Accès Libre: le piège des accords globaux avec les éditeurs. Les choix de politique pour l’Accès Libre aux articles écrits par les chercheurs sont à l’ordre du jour dans la plupart des pays.
Dans ceux du nord de l’Europe, ceux-ci semblent converger en faveur des intérêts des multinationales de l’édition. L’Accès Libre pour les communautés scientifiques En 2002, un collectif lié au monde de la recherche et de sa diffusion réuni à Budapest appelle à rendre accessible à tous « la littérature [...] que les savants donnent au monde sans en attendre de rétribution ».
Cet appel implique le fait de supprimer les entraves juridiques et commerciales à la diffusion des articles publiés dans les revues scientifiques, ainsi que leurs versions préliminaires avant publication, appelées prépublications. Le mouvement vers l’Accès Libre ou Open Access, apparu la décennie précédente avec le développement d’Internet, prend ainsi une nouvelle tournure. Aujourd’hui, différents projets sont proposés et expérimentés, avec une grande variété de modèles suivant les pays. Ouvrir la Science - Home. Open Access. Qu’est-ce que l’Open Access ? On distingue communément deux stratégies pour le libre accès : la voie gold : la publication se fait nativement en Open Access ; le financement de ce principe peut revêtir plusieurs formes : modèle auteur-payeur, subvention institutionnelle, modèle économique de type freemium (HTML gratuit mais PDF payant, par exemple). Concrètement pour le chercheur, cela se traduit par la possibilité de publier :dans une revue Open Access moyennant le paiement de frais (APC, Article Processing Charges),dans une revue Open Access sans frais (plate-forme OpenEdition, épi-revues),dans une revue hybride, une revue avec abonnement mais qui diffuse certains articles en Open Access moyennant le paiement de frais.
Mais attention à ce principe, il est au final doublement coûteux puisque l’établissement finit par payer 2 fois : une fois l’abonnement et une fois l’article, parfois même plusieurs fois pour plusieurs articles… Onze malentendus sur le libre accès. Dans son livre Open Access, Peter Suber revient dès l’introduction sur ce que le libre accès n’est pas.
Onze malentendus à dissiper et qui reviennent régulièrement lors de conversations portant sur le sujet. Petit passage en revue librement inspiré du chapitre introductif : Le libre accès n’est en aucun cas une façon de contourner l’évaluation par les pairs. Au contraire, il permet globalement un renforcement de cette dernière puisqu’un auteur peut diffuser un premier jet d’article avant soumission à une revue.
Il bénéficie des critiques de ses collègues avant même un futur retour d’évaluation.Le libre accès ne vise pas à abolir le droit d’auteur. Sept bonnes raisons de déposer dans HAL Lyon 3. Université Paris Diderot-Paris 7 - Open Access, Open Data : apports de la Loi pour une République Numérique dans la circulation des connaissances. Résumé : Le numérique et ses technologies favorisent la production et la circulation des connaissances.
Depuis plusieurs décennies, le mouvement de l'open access (accès ouvert) vise à améliorer la circulation des connaissances et le partage des savoirs, en mettant à disposition de tous des contenus scientifiques sans barrière financière (pas d'abonnement), technique (version électronique sur internet) ou juridique (droits des auteurs et des éditeurs), tout en garantissant la conservation à terme des contenus (archivage pérenne).
Des sites-ressources pour les données de la recherche. Voici quelques sites-ressources, avec des exemples d’articles, qui ont comme objectif d’apporter de l’information et des conseils à la communauté scientifique, chercheurs et professionnels de l’IST.
Gestion et partage des données scientifiques / Services, outils et bonnes pratiques recommandés par l’INRA Publier un Data Paper | 2 mars 2017 Qu’est ce qu’un Data Paper ? A la différence d’un article scientifique classique qui exploite - analyse et interprète les données scientifiques, un Data Paper décrit finement un/des jeu(x) de données de façon à en faciliter la compréhension, et l’éventuelle réutilisation. DOI et données dynamiques | 3 janvier 2017. Qu’est-ce que l’accès ouvert ? Peter Suber. Peter Suber, Qu’est-ce que l’accès ouvert ?
Traduction de Marie Lebert, Collection Encyclopédie numérique, OpenEdition Press 2016 Dans ce livre court, Peter Suber explique ce qu'est l'accès ouvert et ce qu'il n'est pas, ses avantages pour les auteurs et leurs lecteurs, la manière de le financer, sa compatibilité avec le droit d'auteur, la façon dont le mouvement pour l'accès ouvert est passé d'un mouvement confidentiel à un mouvement global, et enfin ses perspectives d'avenir.Basé sur les recherches et les écrits de l'auteur pendant une dizaine d'années, ce livre s'avère un outil indispensable pour les chercheurs, les bibliothécaires, les documentalistes, les administrateurs, les agences de financement, les éditeurs et les décideurs.
Préface à l’édition française Marin Dacos : "Le livre de Peter Suber, dont l’édition américaine s’intitule sobrement Open Access, est un manuel qui s’adresse à la communauté scientifique et non aux spécialistes de ce mouvement. Quoi de neuf au pays du libre accès ? Le Plan national pour la science ouverte, cOAlition S et le Plan S.
Les annonces successives du Plan national pour la science ouverte puis du Plan S de cOAlition S ont fait grand bruit ces derniers mois dans le monde de la recherche, mais aussi au-delà : des médias généralistes se sont saisi de la question, se faisant le relais d’une problématique qui touche aussi bien à la notion de “communs de la connaissance” qu’à celle de l’investissement public dans la recherche.
Notre billet d’hier, qui inaugurait l’événement international de l’Open Access Week, revenait brièvement sur les premiers jalons du libre accès, les déclaration de Berlin et de Budapest qui ont ouvert la voie à un développement mondial de l’accès ouvert des publications scientifiques. Pourquoi ces nouveaux plans aujourd’hui ? Veille sur l'Open Access. Le mouvement du libre accès est né de l'initiative de chercheurs dans les années 90, et s'est organisé sur le plan international avec l’Open Access Initiative en 2002 et la déclaration de Berlin en 2003.
Ce mouvement a pour objectif de libérer la communication scientifique, aujourd'hui aux mains de grands éditeurs privés qui ont fait des revues savantes une source de profit financier au détriment de l'optimisation de la diffusion scientifique. En France, la loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 (article 30), et le plan national « Pour une science ouverte » présenté le 4 juillet 2018 par la Ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal, confient les clés aux chercheurs français pour produire une recherche scientifique ouverte à tous, sans entrave, sans délai, sans paiement. [Mise à jour de la page : 17/01/2019] Pour débuter... Open Access, facteur d'impact, voie dorée ou voie verte.
. . . « Privés de savoir » [vidéo 10 mn - 09/2016] :