Jean Bellorini et sa troupe ont choisi dans la carrière de Boulbon de faire entendre cette fresque qui conduit au parricide, en théâtre et en musique. Jean Bellorini | Wikipédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Bellorini en novembre 2013. Jean Bellorini, né en 1981 à Paris[1], est un dramaturge et metteur en scène de théâtre français. Biographie[modifier | modifier le code] Né en juin 1981[2],[3] d'un couple de médecins, Jean Bellorini se forme au lycée Saint-Michel-de-Picpus[1] puis, après son baccalauréat, à l’école Claude-Mathieu entre 1999 et 2002.
Il y enseigne depuis 2005, ainsi qu’au département supérieur pour jeunes chanteurs du conservatoire à rayonnement régional de Paris[4]. Ses mises en scène ont été récompensées de plusieurs prix. Mises en scène[modifier | modifier le code] Théâtre Opéra 2009 : Barbe Bleue de Jacques Offenbach, à l’Opéra de Fribourg (Suisse) Récompenses[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Notices d'autorité[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Jean Bellorini | theatre-contemporain.net. Jean Bellorini | THEATRE GERARD PHILIPE - CDN. Le metteur en scène Jean Bellorini a été nommé à la direction du Théâtre Gérard Philipe. Il a pris ses fonctions le 1er janvier 2014. Né en 1981, Jean Bellorini a été formé à l’école Claude-Mathieu. Avec sa compagnie Air de lune, il a été accueilli au Théâtre du Soleil puis associé au centre dramatique national de Toulouse et au centre dramatique national de Saint-Denis. Son travail au plateau se distingue notamment par ses brillantes adaptations de textes littéraires majeurs ou d’œuvres du théâtre contemporain dans lesquelles il instille une grande vitalité issue du travail collectif de la troupe.
Son projet solide et joyeux s’appuie sur sa bonne connaissance du Théâtre Gérard-Philipe et de son territoire. En 2002, il conçoit et met en scène Piaf, l’Ombre de la Rue, spectacle créé à Paris (Théâtre du Renard), repris à Avignon et depuis en tournée dans toute la France (plus de 300 représentations entre 2002 et 2008). En 2003 il créé la Cie Air de Lune et met en scène La Mouette d’A. Jean Bellorini | France Culture. Le metteur en scène Jean Bellorini | France Inter. Jean Bellorini, "le théâtre doit être une fête" |La Dépêche. Le metteur en scène Jean Bellorini, présente au TNT, jusqu'à samedi deux pièces. «Un fils du temps» avec les jeunes comédiens de l'atelier du TNT et «Liliom» avec sa troupe.
Jean Bellorini fut artiste invité du TNT de 2011 à 2013, «un outil formidable», avant d'être nommé à la direction du théâtre Gérard Philippe de St Denis. Il y a créé son superbe «Paroles gelées» d'après Rabelais et donné un peu plus tard «La bonne âme du Se Tchouan» de Brecht. Depuis une semaine et jusqu'à dimanche, Jean Bellorini est de retour au TNT avec sa troupe qui interprète «Liliom» de Ferenc Molnar, tandis qu'au studio, se poursuivent les représentations de «Un fils de notre temps» : morceaux choisis librement adaptés d'un roman d'Odon Von Horvath, dont il signe également la mise en scène. Ce spectacle joué par quatre acteurs qui incarnent tous le même personnage, est le fruit d'un travail de l'atelier de formation des acteurs du TNT sous sa direction. Pour vous, le théâtre doit être une fête. Avignon 2016 : l'enfance au cœur du "Karamazov" de Jean Bellorini. Sur la scène c'est un enfant tout seul qui regarde le public s'installer peu à peu en rangs serrés sur les gradins.
L'enfant semble fragile. Dans le fond de scène, une datcha ouverte qui abrite un petit orchestre et puis devant elle, deux cabines de verre. L'une est la chambre de l'enfant, l'autre un salon. Déjà l'enfermement… © Christophe Raynaud de Lage/Festival d'Avignon Déchirements familiaux Pour démarrer la pièce un personnage que l'on croit sorti des Deschiens, incarné par Camille de La Guillonnière. Le chef du clan, Fiodor Karamazov, est un débauché, deux fois marié et si peu père (Jacques Hadjaje, excellent dans la folie et l'excés). Geoffroy Rondeau (Ivan Karamazov) et François Deblock (Alexeï Karamazov) Bellorini expose leurs conflits intérieurs, leurs remises en question, mettant en valeur le mysticisme de chacun : "aucune civilisation n'aurait pu exister si on n'avait pas inventé dieu".
L'inventivité de Bellorini "Morceaux choisis" Les Frères Karamazov face au ciel de la carrière de Boulbon. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Brigitte Salino C’est un bonheur dont on ne se lasse pas : marcher sur un chemin de pierres dans la garrigue, à 15 kilomètres d’Avignon, et retrouver la carrière de Boulbon, son ovale mystérieux, sa roche haute, son silence sous les étoiles et sa légende.
Elle était abandonnée quand Peter Brook l’a élue pour y créer Le Mahabharata, en 1985. Pour les Parisiens qui n’y seraient jamais allés : cette carrière est, dans la nature, ce que les Bouffes du Nord sont à Paris. La même émotion saisit chaque fois que l’on y pénètre. Cette année, elle se double du plaisir que l’on éprouve à voir le spectacle qu’elle accueille : Karamazov, d’après Les Frères Karamazov, de Fiodor Dostoïevksi, dans la traduction d’André Markowicz et la mise en scène de Jean Bellorini.
"Karamazov" de Jean Bellorini au Festival d'Avignon. Les Frères Karamazov | Wikipédia. Publié sous forme de feuilleton dans Le Messager russe de janvier 1879 à novembre 1880 (la première édition séparée date de 1880), le roman connut un très grand succès public dès sa parution[1]. Le roman explore des thèmes philosophiques et existentiels tels que Dieu, le libre arbitre ou la moralité. Il s'agit d'un drame spirituel où s'affrontent différentes visions morales concernant la foi, le doute, la raison et la Russie moderne. Dostoïevski a composé une grande partie du roman à Staraïa Roussa, qui est aussi le cadre principal du roman (sous le nom de Skotoprigonievsk).
Au début de l'année 1881, Dostoïevski songeait à donner une suite au roman, dont l'action se déroulerait vingt ans plus tard[2],[3]. Depuis sa publication, le livre est considéré comme un chef-d'œuvre de la littérature et a été acclamé par des personnalités comme Sigmund Freud[4], Albert Einstein[5] ou encore le pape Benoît XVI[6]. Thème[modifier | modifier le code] Genèse du roman[modifier | modifier le code] Fiodor Dostoïevski | Wikipédia. Dostoïevski en 1879. Signature Fiodor[N 1] Mikhaïlovitch Dostoïevski (en russe : Фёдор Михайлович Достоевский[N 2], [ˈfʲɵdər mʲɪˈxajləvʲɪtɕ dəstɐˈjɛfskʲɪj][N 3] Écouter) est un écrivain russe, né à Moscou le 11 novembre 1821 et mort à Saint-Pétersbourg le 28 janvier 1881.
Considéré comme l'un des plus grands romanciers russes, il a influencé de nombreux écrivains et philosophes. Après une enfance très difficile, il fréquente une école d'officiers et se lie avec les mouvements progressistes pétersbourgeois. Arrêté en avril 1849, il est condamné à mort. Après un simulacre d'exécution, il est finalement déporté dans un bagne de Sibérie pendant quatre ans. Redevenu sous-lieutenant, il démissionne de l'armée en 1859 et s'engage complètement dans l'écriture. Écrivain admiré après la publication de Crime et Châtiment (1866) et de L'Idiot (1869), l'auteur publie ensuite ses deux œuvres les plus abouties : Les Démons (1871) et Les Frères Karamazov (1880). Biographie[modifier | modifier le code] Théâtre Gérard Philipe | Site officiel. Théâtre Gérard Philippe CDN | Facebook. TGP-CDN Saint-Denis (@TGPCDNStDenis) | Twitter.
TGP CDN de Saint-Denis | Youtube. “Liliom” : on a craqué pour cette histoire d'amour impossible sur fond de fête foraine - Sortir. Liliom, le voyou fantasque, séduit Julie, la domestique taiseuse. Une romance sublimée par la mise en scène féerique de Jean Bellorini. Au début du siècle dernier, en 1909, l'écrivain hongrois Ferenc Molnár (1878-1952) a imaginé deux amoureux, Liliom et Julie, dans une fête foraine à la périphérie de Budapest. Le metteur en scène Jean Bellorini, nouveau directeur du Théâtre Gérard-Philipe, centre dramatique national installé à Saint-Denis, a quant à lui campé leur romance aigre-douce sur une piste... d'autos tamponneuses. Et il en a monté une véritable ! Avec grésillements électriques pendant les chocs, carénages colorés et phares éblouissants. Ce décor qui mange l'espace devient vite la formidable aire de jeu d'une troupe d'acteurs à l'unisson.
Ils sautent allègrement dans les voitures et profitent des bordures (tout un symbole dans cette oeuvre sur la marge des villes) pour vivre des scènes burlesques ou des apartés sensibles.