Support Powerpoint de la présentation. Le carré magique de Nicholas Kaldor. Le carré magique, inventé par Nicholas KALDOR (1908-1986), permet de définir les 4 grands points de la politique économique d´un pays.
A la croisée des chemins entre économie réelle et économie financière, le carré magique, inventé par Nicholas KALDOR (1908-1986), économiste britannique du courant post-keynésien, permet de définir les grands points de la politique économique d´un pays. En 1960, l’économiste britannique Nicholas Kaldor a imaginé de représenter par une figure géométrique simple l’objectif de croissance équilibrée.
Cette représentation initialement destinée à facilité la présentation des « performances » des économies de l’OCDE a connu un vif succès et elle est désignée par l’expression de “carré magique” pour souligner combien la réalisation simultanée des 4 objectifs tient de la magie. C’est en rejoignant les quatre points, qu’on obtient un quadrilatère qui représente alors d’autant mieux une situation économique favorable que ce quadrilatère est proche d´un carré. sources.
Générateur de Carrés Magiques de Kaldor. La relance budgétaire, dernière arme à la mode. La politique budgétaire <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.
</p> La politique budgétaire constitue, avec la politique monétaire, l’un des principaux leviers de la politique économique de l’État. Elle consiste à utiliser certains instruments budgétaires (dépenses publiques, endettement public, prélèvements fiscaux) pour influer sur la conjoncture économique. Jusqu’à la crise des années 1930, la gestion des finances publiques a eu pour principal objectif d’assurer le financement des services publics.
Le volume des dépenses de l’État n’était alors pas considéré comme une variable susceptible d’influencer le niveau d’activité de l’économie. Qu'est-ce que le Pacte de stabilité et de croissance ? La politique monétaire de la BCE. L'objectif principal de l'Eurosystème est de maintenir la stabilité des prix.En octobre 1998, le Conseil des gouverneurs de la BCE a défini la stabilité des prix comme le maintien du taux d'inflation moyen dans l’ensemble de la zone euro à des niveaux inférieurs à, mais proches de 2 % à moyen terme.Pour cela, la BCE s’appuie sur deux piliers.
Approche à deux piliers L'analyse par la BCE des risques pesant sur la stabilité des prix repose sur deux perspectives complémentaires, désignées sous le terme de « piliers » : l’analyse économique et l’analyse monétaire. L'analyse économique Elle vise à évaluer les facteurs déterminant l’évolution des prix à court et moyen terme, en mettant l’accent sur l'activité réelle et les conditions financières dans l’économie. Excel : exemple de Multiplicateur. Le grand emprunt français. L’idée d’un grand emprunt a été lancée par Nicolas Sarkozy en 2009 lors d’un discours devant les députés et les sénateurs français réunis en Congrès à Versailles.
A l'époque, le président de la République veut trouver de l'argent pour financer des investissements d’avenir, des investissements lourds. Mais sans exploser les règles budgétaires fixées par l'Europe. Il faut se souvenir que 2009 est une année terrible pour le budget de la France, un an après la déflagration de la crise financière. Le déficit budgétaire représente 7,5% du PIB. La France connait sa pire récession depuis la fin de la guerre, avec un PIB en baisse de 2,9% Pour définir les contours du grand emprunt, une commission est créée, présidée par deux anciens Premier ministres, le socialiste Michel Rocard et l'UMP Alain Juppé. Au départ, certains évaluaient l'emprunt entre 80 et 100 milliards d'euros, ce qui est énorme. Définition des opérations d'open market.
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Au sens strict, les « opérations d'open market » ((en) Open Market Operations) consistent en l'achat et la vente « fermes » (c'est-à-dire définitives) de titres, en particulier de titres publics (bons du Trésor) par la banque centrale (et à son initiative) sur le marché interbancaire. En procédant ainsi, la banque centrale exerce un double effet : Les politiques monétaires non conventionnelles. Une banque centrale peut prendre des mesures non conventionnelles lorsque les circonstances les justifient, notamment celles pour lesquelles les décisions traditionnelles de politique monétaire se révèlent inadaptées : apparition d'un risque de déflation, krach boursier ou obligataire, faillite d'un établissement de crédit de taille importante, crise de confiance du secteur financier, ...
Ces mesures non conventionnelles prennent la forme de mesures d'assouplissement de certaines normes de la politique monétaire conventionnelle ou d'injections massives de liquidités dans le système financier. Dans le premier cas, on parle d'assouplissement qualitatif, dans le second, d'assouplissement quantitatif. L'assouplissement qualitatif L’assouplissement qualitatif consiste pour la banque centrale à alléger les règles d’accès à ses opérations de refinancements bancaires, en élargissant la catégorie des actifs éligibles que les banques sont tenues de lui apporter en échange des liquidités fournies.
CH6 Synthèse ECO.