Outils. Il y a quelques temps, j'ai découvert (grâce à Pinterest) le Bullet journal. Une manière intéressante de s'organiser et qui remplace le traditionnel agenda. Les pages que vous pourrez voir des Bullet journal sont vraiment très jolies, et ma première réaction a été: "ouais d'accord, si on passe plus de temps à bichonner son agenda qu'à faire les tâches qui sont dedans franchement quel intérêt? " Pis j'ai essayé. Parce que quand même ça m'intriguait et que j'avais besoin d'y voir plus clair dans mon agenda. Alors, mes pages sont moins soignées que celles que l'on peut croiser sur internet (parce que faut pas charrier) mais j'aime bien quand même.
Pour exemple, je me suis amusée à reprendre une ancienne page de mon agenda en mode BuJo: Beurk! Ce qui donne: Ooooh c'est beau! Et ben promis, ça ne m'a pas pris plus de 5 min! Et le voici une fois les tâches accomplies (ou transférées si on n'a pas eu le temps) Je me suis fait un marque page sur lequel figurent ces clés: Etiquette, carte de visite, intercalaire - Avery. Bullet Journal Instructions – Bullet Journal. Le Bullet Journal : démarrer du bon pied. Revenons sur le concept du « Bullet Journal » (voir article précédent), qui permet d’utiliser un petite dose d’analogique dans notre monde numérique pour nous organiser, gérer nos tâches, garder une trace des différents événements de notre vie… Vous avez commencé le vôtre ?
Très bien. Vous avez buté sur quelques obstacles ? C’est normal. ©Ryder Carrol Voici quelques solutions. Commençons par faire le point sur les types de personnalités susceptibles d’être intéressés par le Bullet journal. Les allergiques à la la technologie : de nombreuses personnes (vous peut-être, qui lisez ces lignes) n’éprouvent pas une attirance particulière pour l’environnement numérique. Comme vous pouvez le voir, l’éventail est large. Il faut cependant comprendre quels sont les petits pièges posés par TOUS les systèmes de gestion de tâches, TOUS les agendas, TOUS les journaux. Piège numéro un : le « soufflé qui retombe » Ce soufflé est bien gonflé ? Piège numéro deux : « le grain de sable qui bloque la machine » Le Bullet Journal, un système d'organisation moderne à l'ancienne.
Vous aimez écrire à la main sur du vrai papier, vous aimez les carnets, les cahiers, les calepins, les stylos ? Vous cherchez le moyen de vous organiser, de garder des traces de vos rencontres, de vos lectures, des petits ou grands événements de votre vie ? Voilà qui va vous intéresser. Dans la série « j’ai testé pour vous »… Outils ultra-branchés : un carnet et un stylo …Je vous présente le « Bullet Journal », déconnecté mais moderne, efficace et « hype ». Le concept est né à New York, dans l’esprit fertile d’un créatif, directeur artistique, et spécialiste du design interactif, Ryder Carroll. Bien que connecté, totalement à l’aise dans les nouvelles technologies et évoluant dans un milieu ultra-branché, Ryder ressentait le besoin de rester en contact avec le concret, le tactile, le papier. Eh bien Ryder, un beau jour, il a dit « stop ». Et, croyez-moi ou non, son « Bullet Journal » (c’est comme ça qu’il l’a baptisé en référence aux petits signes qu’il utilise) connait un grand succès.
La méthode des trois cahiers. Je vous propose aujourd’hui une méthode très simple qui permet de gérer efficacement et sereinement ses tâches, ses projets, et tous les petits événements de la vie qui ne sont ni des tâches à réaliser, ni des rendez-vous à ne pas manquer, mais dont nous voulons garder une trace. C’est une méthode déconnectée, utilisant trois cahiers, un stylo et une règle. Je vous ai parlé dernièrement du Bullet journal, invention née dans l’esprit créatif d’un new-yorkais et qui – ô joie – promettait un petit retour aux sources : pas de logiciel, mais un gros cahier tenant lieu à la fois de gestionnaire de tâches et de projets, de journal personnel, de mémoire visuelle et, en fait, de tout ce qu’on peut vouloir garder comme trace écrite dans notre vie. Ce Bullet Journal est bien sympathique. Mais à l’usage, je lui ai trouvé quelques défauts assez gênants. Un mois plus tard, je constate que cette petite méthode fonctionne parfaitement.
Le premier de ces cahier recueille les projets. Trois exemples : 5_Vide. Suite de notre série consacrée à un petit système d’organisation personnelle. Nous avons défini nos tâches, nos projets, nous les avons répartis au sein de « zones » clairement définies, nous avons commencé programmer nos actions. C’est très bien ! Et ce n’est pas tout-à-fait terminé. Après avoir maîtrisé le concept de « demain », nous devons maintenant découvrir celui qui s’appelle « vide ». Mythologie grecque : « Pour avoir osé défier les dieux, Sisyphe fut condamné […] à faire rouler éternellement jusqu’en haut d’une colline un rocher qui en redescendait chaque fois avant de parvenir au sommet. » Wikipedia Les grecs anciens avaient l’art de toucher les points faibles des humains et de les représenter sous forme divine, métaphorique, et parfaitement compréhensible.
Lorsque nous gérons nos tâches, nous nous transformons en « Sisyphes modernes ». Pour nous en sortir, nous tentons de nous organiser. …Et je vais même vous faire une confidence : on peut y arriver ! Il est très simple. 3_Tâches, projets. S‘agissant de l’organisation personnelle, il existe un vocabulaire communément admis qui permet de mettre un nom sur des notions qui subitement deviennent claires et immédiatement utilisables. Un projet regroupe les tâches nécessaires à sa réalisation.
Chaque tâche est un élément nécessitant une action. Aujourd’hui, clarifions la signification des mots « tâche » et « projet ». Cet article fait partie d’une petite série qui paraît le week-end et qui a pour but de vous fournir une méthode d’organisation claire, concrète et facile à mettre en oeuvre. Première partie : « inbox » Deuxième partie : « demain » L’article que vous avez sous les yeux est donc la troisième partie de la série. Vous êtes bien décidé(e) à vous organiser. Les tâches sont comme des briques de Légo : ce sont des éléments demandant une action de notre part, et réduits à leur plus simple expression. 1 tâche = 1 action Exemple : « payer la facture d’eau ».
Une tâche commence toujours par un verbe d’action. Attention : Ensuite : 4_Zones. Pour y voir clair, il est important de ne pas tout mélanger. De trier, de filtrer, de structurer notre vie. Je vous propose aujourd’hui de déterminer quelles sont les grandes « zones » dans lesquelles vous évoluez, afin de vous aider à maîtriser le flux continu d’informations reçues et d’actions à réaliser. Objectif : la sérénité. Le plan d’action à mettre en oeuvre est simple.
Un petit diagramme va vous aider à visualiser tout ça. Je pense qu’il est important de récapituler en quelques phrases les éléments importants vus dans les articles précédents. Inbox Nous avons compris la notion de « boîte de collecte » ou « Inbox ». N’oubliez pas que cette boîte a pour objectifs : De ne pas avoir constamment sous les yeux le spectacle déprimant de tout ce que vous avez à faire : c’est dans la boîte, la boîte est hors de votre vue.De collecter en un lieu unique vos tâches, de manière à ne pas les éparpiller partout. N’oubliez pas, également, deux choses très importantes : Projets, tâches Demain. 2_Demain. Toutes ces choses à faire, ces papiers à ranger, ces courriers qui attendent une réponse. Quand allons-nous nous y mettre ? Aujourd’hui, en traitant les urgences ? Un jour, lorsque nous aurons le temps ? Ou… demain ? La bonne réponse va vous étonner : c’est « demain » Cet article est la suite logique de celui consacré à la notion d’ « inbox », ou boîte de collecte.
Lisez-le attentivement et testez la simple règle qu’il contient. Souvenez-vous : la boîte de collecte, ou « inbox », va recueillir tout ce qui demande une action future de votre part et qui vous encombre la vue : liste de choses à faire, papiers qui s’accumulent, fichiers informatiques sur l’écran de votre ordinateur. L’erreur que nous commettons habituellement consiste à essayer de travailler au milieu de ce fatras. Par exemple, si nous faisons des listes d’actions à réaliser, et que nous les ouvrons chaque matins, que se passe-t-il ? Ensuite, bien entendu, il faut traiter ce qu’il y a dans ces boîtes. 1_Inbox. Inbox, mot anglais signifiant boîte de collecte, boîte d’entrée, boîte de réception. Cette boîte peut être physique ou virtuelle. Si vous voulez rester zen, maîtriser votre environnement, garder le contrôle de votre vie au milieu de l’univers qui s’agite frénétiquement autour de vous et qui vous demande d’être sans cesse plus efficace, mettez en place votre « inbox ».
C’est une notion simple à comprendre et qui apporte un changement agréable immédiat. Imaginez : le facteur vient de passer dans votre rue, vous prenez les quelques enveloppes qui ont été déposées ce matin, vous en ouvrez une, vous lisez ce qu’elle contient… et vous remettez tout dans la boîte aux lettres, en forçant quand même un peu, puisque des dizaines, des centaines d’autres lettres s’y trouvent, ouvertes ou non, depuis des mois ! Imaginez le boulot pour retrouver au milieu de cet entassement la facture que vous avez à payer pour aujourd’hui dernier délai. Mais bien sûr, vous n’êtes pas comme ça. Ah bon… Les dossiers de Tilékol.