The Smurfette Principle. Chris: I get it! So [points to Danny] you're the cool one, [points to Wallow] you're the funny one, [points to Beth] and you're the... Beth: Girl. The Smurfette Principle is in action when the cast is made up of a group of males and exactly one female. This can occur even in works with Loads and Loads of Characters, so long as each sub-Ensemble (of five or more) contains only one female character. ◊, is roughly equal, with even slightly more females in developed countries Named after Smurfette from The Smurfs, the trope was first coined by an article by Katha Pollitt in the New York Times printed April 7, 1991, called "The Smurfette Principle" .
Column Females 51% of population but minority of imaginary characters and real life power positions Compare The Bechdel Test, Two Girls to a Team, and Two Guys and a Girl for similar critiques of female:male proportions in fiction. Example Subpages: Other Examples: open/close all folders Advertising Comic Strip Bloom County: Discussed twice. Fan Works. L’hédonisme sans les femmes - La méridienne. Félix Vallotton, « La Paresse », gravure sur bois, 1896 Une apologie des oisifs de Robert Louis Stevenson, Éloge de l’oisiveté de Bertrand Russell, Le Droit à la paresse de Paul Lafargue, Du sommeil et autres joies déraisonnables de Jacqueline Kelen, Aspects du paradis de Séverine Auffret, L’An 01 de Gébé, Le Livre des plaisirs de Raoul Vaneigem, Le Livre du thé d’Okakura Kakuzo, Oblomov d’Ivan Gontcharov...
Au fil des années, j’ai lu à peu près tout ce qui me tombait sous la main sur la paresse, l’oisiveté et, plus généralement, toutes les critiques de notre mode de vie aberrant, de notre conception totalement à côté de la plaque de ce que sont la vie, le temps, le travail, etc. Il y a un plaisir à baigner dans ce genre de propos, à s’en imprégner, à voir les mêmes idées reformulées de mille manières différentes qui y ajoutent chacune une nuance, une lueur supplémentaire de lucidité libératrice. « L’action est simplementle refuge des gensqui n’ont rien à faire »(Oscar Wilde)
Pourquoi je suis féministe et j'aime le rap. "Ah bon, tu es féministe et tu aimes le rap? Mais comment c'est possible? " Si vous saviez le nombre de fois que j'ai entendu cette phrase! Depuis toujours, le rap est décrié pour son sexisme. Sur fond de racisme latent, de mépris ou d'ignorance de cette culture, la société nous apprend qu'il s'agit là de la pire des musiques pour les femmes. Pourtant, je suis autant féministe et j'aime le hip hop.
Très tôt, on m'a fait comprendre que les deux étaient incompatibles et qu'il me fallait choisir mon camp. Aujourd'hui, on me serine encore avec l'idée que toute bonne militante qui se respecte ne peut se retrouver dans ces paradoxes. Alors oui, le hip hop est un milieu largement masculin, sexiste et homophobe. En France, Booba se fait régulièrement épingler pour ses rimes "Je fais mal mais je fais jouir si tu vois ce que j'veux dire.
" Pourtant, ces violences verbales ne tombent pas du ciel et proviennent directement de la manière dont les femmes sont traitées dans la société. Dans le rock? La techno est-elle encore la musique du futur ? Photo en Une : Laurent Garnier, en conférence à la RBMA. Crédit : Jacob Khrist. De la foule studieuse, qui comble les trois-quart de l'Auditorium de la Gaité Lyrique, se dégage une timide mais palpable ferveur collective : les gens semblent enchantés d'assister à cette conférence prospective sur la techno. Lire également : La techno et les festivals... en 2025 ? Et pour cause : le tableau vend du rêve. Imaginez Laurent Garnier, Paula Temple, Oliver Lamm (The Drone/Libération), Adrien Betra (l'un des responsables de Surpr! Ze – Concrete, Weather Festival–) et Pierre-Marie Oullion (programmateur des Nuits sonores) dissertant joyeusement sur la musique électronique. Le tout mené de main de maître par David Brun-Lambert (journaliste, co-auteur de la bio de Laurent Garnier, Electrochoc).
Révolution ou évolution ? L’emploi du terme "révolution" implique la destruction du modèle. Pour Laurent Garnier, la techno est déjà une musique du passé. Encore underground ou déjà mainstream ? The Story of Feminist Punk in 33 Songs. By Vivien Goldman It’s punk, not spunk. So loaded towards males is the English language, though, that we may have to reinvent our whole vocabulary. Because some of the best words to describe our female punks are phallocentric: “spunky,” “ballsy.”
Start calling us “cunts” or “pussies,” though, and it won’t go down so well. Why is a comparison to our vaginas not considered a compliment? Punk is now acknowledged as the global music of rebellion, alongside hip-hop and reggae. When I started writing in the rock press in the mid-1970s, girl musicians were so rare that, in what may have been the first Women in Rock article, I described a long-haired female guitarist as if she were a unicorn. Punk’s open door finally let in self-directed girl artists; in reality, many punkettes first learned to play on their boyfriends’ instruments.
Je déteste les personnages féminins forts (traduction) | Isabelle Bauthian. Mot-clef du jour : « differencier toilette fille » Texte original de Sophia McDougall, publié le 13 août 2013 sur le site NewStateman. Sherlock Holmes est brillant, solitaire, corrosif, bohème, fantasque, courageux, triste, manipulateur, névrosé, prétentieux, négligé, tatillon, artiste, chevaleresque, malpoli, génial.Les personnages féminins sont « forts ». Pepper Potts dans Iron Man 3 (capture d’écran).
Je déteste les personnages féminins forts ». Cette affirmation peut surprendre dans la bouche de quelqu’un qui passe un certain temps, sur Internet, à déplorer le manque flagrant d’héroïnes dans la fiction. Oui, bien sûr, j’adore un tas de personnages féminins pleins de courage et de détermination. Dans Buffy, il y a cet épisode où Angelus lui demande : « Tu es seule, plus d’armes, plus d’amis, qu’est ce qu’il te reste ? Je me souviens de quand j’ai regardé Shrek avec ma mère.
Personne ne se demande jamais si un personnage masculin est “fort”. Mais la vérité va au-delà de ça. Aamer Rahman on Iggy Azalea (The Bell House 3/22/15) Femifesto - Journal. Pourquoi je suis féministe et j'aime le rap | Éloïse Bouton. "Ah bon, tu es féministe et tu aimes le rap? Mais comment c'est possible? " Si vous saviez le nombre de fois que j'ai entendu cette phrase!
Depuis toujours, le rap est décrié pour son sexisme. Sur fond de racisme latent, de mépris ou d'ignorance de cette culture, la société nous apprend qu'il s'agit là de la pire des musiques pour les femmes. Très tôt, on m'a fait comprendre que les deux étaient incompatibles et qu'il me fallait choisir mon camp. Aujourd'hui, on me serine encore avec l'idée que toute bonne militante qui se respecte ne peut se retrouver dans ces paradoxes.
Alors oui, le hip hop est un milieu largement masculin, sexiste et homophobe. En France, Booba se fait régulièrement épingler pour ses rimes "Je fais mal mais je fais jouir si tu vois ce que j'veux dire. " Pourtant, ces violences verbales ne tombent pas du ciel et proviennent directement de la manière dont les femmes sont traitées dans la société. Dans le rock? Également sur Le HuffPost: L’assimilation par l’école, le manque de représentation dans les programmes : un échec français ? – Abdelkarter. « – J’ai compris que j’ai faim. – Faim ? Mais nous vous donnons de la bonne nourriture. – Je veux les nourritures terrestres. Elles ne ressemblent pas à votre pain, à vos fruits. Je les porte en moi et je ne les connais pas. » Ce morceau de dialogue est extrait de La grotte éclatée de Yamine Mechakra. Une algérienne indigène, orpheline, s’adressant à la mère supérieure de l’hospice qui l’avait recueillie. Je pense que, comme beaucoup de français-dit-d’origine…, je ne me suis jamais vraiment retrouvé dans le savoir que l’on me proposait d’acquérir.
Dans le secondaire, je me suis retrouvé dans les programmes à deux occasions seulement : un commentaire littéraire sur un extrait du Discours sur le colonialisme de Césaire, un chapitre sur les décolonisations en Terminale ; quelques heures de cours à peine sur des milliers et des milliers. Et puis j’ai lu de mon côté. Je me suis senti étranger de ce savoir qu’on nous disait commun. Après le procès des Sorcières, Tituba s’interroge : J'aime : Cœurs-forêts » Le Grand Prix est mort (tribune et dernière pensée) En plus de mensonges affichés dans la presse, Franck Bondoux (directeur délégué etc du FIBD d’Angoulême) persiste à faire des raccourcis douteux qui laissent sous-entendre que Marjane Satrapi et moi devons au FIBD le succès de nos best-sellers respectifs et de leurs adaptations cinématographiques. Non seulement je trouve cela d’une arrogance à couper le souffle (dois-je rappeler tout le parcours de mon livre, des autres prix reçus, des 11 mois de promotion francophone et du job des libraires et autres professionnels ?)
Mais vu le contexte je suggère au FIBD de faire profil bas et de réfléchir à tous les dysfonctionnements de sa tuyauterie, ne serait-ce que pour les trois raisons suivantes : - Les auteur.e.s ne doivent rien au FIBD. Le FIBD, lui, leur doit tout. . - Si des journalistes avaient l’envie et la patience de mener une enquête sur tout le manque de transparence gestionnaire et les rumeurs du FIBD, nous on sortirait le pop-corn. Il est temps que le FIBD change. Polémique sexiste au Festival d'Angoulême : 5 questions à Diglee, dessinatrice.
Quel sentiment t'a laissé cette sélection 100% masculine ? Forcément, je suis très déçue. Les milieux artistiques sont de plus en plus investis par les femmes (48,7% d'artistes auteures femmes parmi les affiliés de la Maison des Artistes en 2013, source MDA-SS) et l'avancée la plus notoire est celle des femmes dans la BD. On a violemment ou sournoisement reproché à certaines d'entre nous, il y a trois ou quatre ans, "d'envahir le milieu avec nos BD girly", s'alarmant de cette soudaine recrudescence de femmes sur les étals des libraires et pourtant aujourd'hui nous sommes les grandes absentes de cette sélection. Des centaines d'articles (souvent synchros avec la journée de la femme, d'ailleurs) nous ont regroupées, en photos ou par interviews croisées, nous les "femmes de la BD", mettant en avant notre récente percée et saluant notre relatif courage.
Nous sommes un "à côté", un divertissement, une branche pour gonzesses en parallèle de "la vraie BD". Voilà ce que me renvoie cette sélection. Ces pauvres hommes injustement accusés, ou la résurgence d’une vieille rengaine masculiniste. La sortie de Taken 3 au début de l’année a confirmé une tendance masculiniste à l’œuvre au moins depuis le début de la décennie, à savoir la multiplication des figures d’hommes injustement accusés d’avoir commis des crimes sur des femmes et/ou des enfants.
On trouve notamment un certain nombre de maris accusés d’avoir tué leur femme dans des films tels que Inception (2010), Gone Girl (2014), Hercule (2014), ou dans la série Flash (2014-…). On peut aussi penser à Dark Places (2015), film adapté d’un roman de Gillian Flynn (l’auteure de Gone Girl, qui a visiblement de la suite dans les idées…) dans lequel Charlize Theron joue une femme ayant, lorsqu’elle était enfant, accusé son frère d’avoir tué sa mère et sa sœur alors que le malheureux n’y était pour rien ; ou encore à l’ignoble Effets Secondaires (2013) de Steven Soderberg qui, en plus de sa misogynie et de son masculinisme, est un très bon candidat pour la palme du film le plus lesbophobe de la décennie.
L’homme souffre Paul Rigouste. Max Weber. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Weber. Max Weber, né le et mort le , est un économiste et sociologue allemand[1], Considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, ses interrogations portent sur les changements opérés sur la société avec l'entrée dans la modernité. On lui doit notamment des analyses complexes de la bureaucratie, de l'avènement du capitalisme et du processus de rationalisation en Occident. Contrairement à Émile Durkheim, considéré lui aussi comme un père de la sociologie, Max Weber a peu enseigné et n'a pas fait école de son vivant. Outre son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique.
Introduction[modifier | modifier le code] Max Weber est considéré comme le fondateur de la sociologie compréhensive. . « Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […]. Réception de son œuvre[modifier | modifier le code] Quelle est la vraie place du féminisme dans la pop. Depuis que Beyoncé s'est emparée du mot avec un grand F en 2013, le féminisme est redevenu un sujet tendance, entraînant une nouvelle génération de femmes à se demander ce que cet étrange terme pouvait bien signifier.
Alors que la plupart des autres artistes féminines ont suivi Queen B sans hésiter, apportant chacune leur pierre à l'édifice, il serait peut-être temps que les ténors de l'industrie s'y mettent aussi ? Difficile d'y trouver des femmes de pouvoir. Pourquoi n'y-a-t-il pas plus de femme à la tête des festivals ? Pourquoi est-ce que les femmes artistes doivent toujours être "plus sexy" pour réussir ? On accuse toujours le hip hop d'être misogyne, peut-être devrait-on tous un peu plus se remettre en question ?
Tout est devenu plus complexe lorsque le féminisme s'est immiscé dans mes goûts musicaux. L'intrusion du féminisme dans le royaume du hip hop ne date pas d'hier. La pop musique est-elle exempte de tout reproche ? Et nous, Femmes, devons nous entraider un peu plus. COMMUNIQUÉ DE PRESSE Journées du Patrimoine 2015 : le patrimoine du XXIème siècle, une histoire d’avenir - H/F Île-de-France. À l’occasion du lancement de la deuxième Saison Égalité, l’équipe d’HF Île-de-France a élaboré un quizz sur le matrimoine. Question 1 Linguiste et philologue, j’ai été élu membre de l’Académie Française. Je me suis farouchement opposée à l’emploi des termes « autrice » et « écrivaine ». J’ai loué l’invention du féminin « conne ». Je suis… >> Georges Dumézil >> Jean-Louis Guez de Balzac >> Alain Finkielkraut Question 2 Enfant prodige, j’ai chanté et joué du clavecin dès l’âge de 5 ans devant Louis XIV.
Je suis… >> Antonia Bembo >> Louise Farrenc >> Elisabeth Jacquet de La Guerre Question 3 Je suis né-e en 1862. Je suis… >> Marie Curie >> Alice Guy >> Loïe Fuller Question 4 L’histoire raconte que j’ai failli perdre ma tête et que mes improvisations sur la Marseillaise m’ont sauvée ! Je suis… >> Elisabeth Vigée Lebrun >> Hélène de Montgeroult >> Julie Candeille Question 5 Je suis née en 1887. Je suis… >> Nadia Boulanger >> Hélène Fleury-Roy >> Marguerite Canal Question 6 Je suis né-e en 1891.
Sexisme et images : une étude d’observation. En matière de discrimination entre les hommes et les femmes, on s’accorde souvent à penser qu’au-delà des lois, le problème s’ancre dans l’imaginaire collectif, sur le terrain du symbolique. Le sexisme se manifeste par des images, des signes, à la fois sources et reflets de l’imaginaire collectif.
Travaillant moi-même sur le terrain du symbolique dans une optique d’ artiste chercheur, j’ai souhaité enrichir mon point de vue sur l’état actuel des représentations hommes-femmes à l’aide d’observations pour une fois « générales », sans m’arrêter sur les cas particuliers. Les images aussi dessinent des statistiques… Mais quelles images observer ? Quels signes ? Il y en a partout. La publicité et le cinéma comptent parmi les hauts lieux de production ou de reproduction des imaginaires collectifs. J’ai finalement opté pour les bandes annonces de cinéma qui sont à l’intersection des deux et ont l’avantage de pouvoir être regroupées facilement en un corpus à la fois large et exploitable.
Société Générale - Page indisponible - Erreur 403. Sous-culture pour semi-humains. Intermittents: la domestication culturelle. Compagnie Mémoires Vives | SOUTIEN À LA METTEURE EN SCÈNE EVA DOUMBIA.