ÉTUDE INA. En période de coronavirus, la parole d’autorité dans l’info télé reste largement masculine. Qui s’est exprimé à la télévision pendant l’épidémie de Covid-19 ?
Et quelle a été la place des femmes parmi les personnes intervenant pour commenter ou analyser cette crise sanitaire inédite ? A-t-elle été renforcée par l’importance qu’occupent au cours de la pandémie les professions largement féminisées de la santé et de l’éducation ? Début avril, la « Une » 100 % masculine du Parisien avait suscité d’innombrables réactions, conduisant le Premier ministre à confier à la députée Céline Calvez une mission sur « la place des femmes dans les médias en temps de crise » auprès de la secrétaire d'État chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, Marlène Schiappa, et du ministre de la Culture et de la Communication, Franck Riester. Ces propos sur les violences conjugales tenus par des hommes dans les années 70 sont glaçants.
Instagram est mauvais pour votre santé mentale, encore plus que Facebook. Temps de lecture: 5 min Tout le monde sait que Facebook est notre meilleur ennemi à tous, le grand «rabaisseur» aux mille visages.
On le sait parce que la science nous l’a dit. Le Human-Computer Institute de l’université de Carnegie-Mellon a découvert que notre «consommation passive» des actualités de nos amis et nos propres «fils d’informations accessibles à un large public» sur Facebook pourraient en fait être à l’origine de sentiments de solitude, et même de dépression. Un peu plus tôt cette année, deux universités allemandes ont montré que le «suivi passif» sur Facebook déclenche des états d’envie et de ressentiment chez de nombreux utilisateurs, les photos de vacances étant en tête de liste des déclencheurs. Une autre étude, cette fois réalisée sur 425 étudiants en Utah, avait pour titre évocateur «Ils sont plus heureux que moi et leur vie est mieux que la mienne: l’impact de l’utilisation de Facebook sur la perception de nos vies».
Jessica Winter. Une ado harcelée sur Twitter pour une photo intime : analyse d'un lynchage. Blabla 18-25 ans, un forum de Jeuxvideo.com peu à peu noyauté par des trolls. "C'est bon Twitter tu as gagné, je me débranche.
" Le numéro de portable "anti-relous", créé par deux militants féministes et destiné à éduquer les auteurs de harcèlement, a tenu trois jours. Avant d'être submergé par une violente campagne d'envoi de 20 000 SMS d'insultes, organisée depuis le forum Blabla 18-25 du site Jeuxvideo.com. Top 10 des blogs qui dénoncent les inégalités hommes/femmes. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.
Le traitement médiatique des violences faites aux femmes (vidéo d’un jeudi d’Acrimed) Le 15 octobre 2015, nous consacrions un « jeudi d’Acrimed » au traitement médiatique des violences faites aux femmes, avec Audrey Guiller, journaliste indépendante et co-autrice (avec Nolwenn Weiler) de Le viol, un crime presque ordinaire [1] et Lénaïg Bredoux, journaliste à Mediapart et membre du collectif « Prenons la Une ».
À la fin du mois d’août, le quotidien L’Indépendant titrait à la « une » : « L’amoureux est passé aux aveux », avec pour surtitre « Perpignan : égorgée par dépit ». Cette « une » faisait suite au meurtre d’une jeune femme par son ex-compagnon à Perpignan. Ce cas n’est que l’un des derniers exemples du traitement médiatique déplorable des violences faites aux femmes.
En 2015, une femme sur cinq victime de violences physiques en Europe. Pour certains, le 25 novembre, c’est la Sainte-Catherine, désuète fête des filles qui n’ont pas trouvé de mari à 25 ans.
Pour d’autres, c’est la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes, organisée par les Nations unies depuis une résolution de décembre 1999. Objectif : promouvoir le droit des femmes et, surtout, sensibiliser le public, l’informer de la situation des femmes, réaffirmer la nécessité d’un combat indispensable. La preuve en chiffres : la forme la plus courante est la violence physique infligée par le partenaire intime. En moyenne, au moins une femme sur trois dans le monde est battue, victime de violence sexuelle ou autrement maltraitée au cours de sa vie. VIDEOS. Ecole normale sup : une web série pour attirer les étudiantes en sciences.
10 Nov. 2015, 15h14 | MAJ : 12 Nov. 2015, 17h13 Une initiative originale.
Pour faire passer le message, l'école diffusera dès ce jeudi, sur internet et dans les lycées et les classes préparatoires, six vidéos au cours desquelles six femmes - normaliennes, chercheuses, directrices de départements ou doctorantes - et deux hommes, directeur adjoint et doctorant, échangent sur le thème de la mixité, de la place des femmes dans les sciences ou sur l'école elle-même. «Il n'y a pas assez de femmes dans les sciences ! C'est devenu tellement habituel qu'aujourd'hui le manque est criant» interpelle Claire Mathieu, directrice de recherches CNRS et professeur attaché à l'ENS. Le « sexting » ou l’art de la conversation érotique. Performances de genre : images croisées de Michèle Alliot-Marie de Roselyne Bachelot. Notes Cf.
Christine Bard, « Les premières femmes au gouvernement (France, 1936-1981) », Histoire@Politique. Politique, culture, société, n° 1, mai 2007, dossier « Femmes et pouvoir », lien consulté le 30 avril 2012. Cf. Christine Bard, « Cent mesures pour les femmes », dans Serge Berstein, Jean-François Sirinelli (dir.), Les Années Giscard. Une fille avec un tournevis, des garçons derrière une poussette… En Espagne, un magasin de jouets supprime les stéréotypes sexistes de son catalogue de Noël. Actualités > À Chaud > Une fille avec un tournevis , des garçons derrièr ...
À Chaud #Sexisme Une fille avec un tournevis, des garçons derrière une poussette… En Espagne, un magasin de jouets supprime les stéréotypes sexistes de son catalogue de Noël Chez Toy Planet, les filles aussi plantent des clous et les garçons peuvent créer des bracelets en perles. Quand les femmes ne pouvaient pas ouvrir de compte en banque. Le XXe siècle a créé la femme d’aujourd’hui.
Douze Françaises qui brillent dans le digital. A l’université, les femmes tenues à l’écart des responsabilités. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien de Tricornot (Nantes, envoyé spécial) Jeudi 9 avril, devant le congrès de l’UNEF à Nantes, la ministre chargée de l’enseignement supérieur, Najat Vallaud-Belkacem, a souligné à quel point l’université ignore encore la parité : « Nous ne pouvons pas nous résoudre à ce qu’avec seulement 6,5 % de femmes dirigeantes dans le supérieur – soit moitié moins que dans les autres pays de l’Union européenne –, la France soit en fin de classement en matière d’accès des femmes aux responsabilités. » La loi sur l’enseignement supérieur du 22 juillet 2013 a certes permis de « passer un premier cap pour que les femmes et les hommes participent ensemble à la gouvernance des établissements d’enseignement supérieur ».
Mais la ministre a prévenu : « D’autres étapes sont à franchir. Vous pouvez compter sur moi pour nous y conduire. » Des réticences très fortes subsistent en effet. Lire aussi : Le gouvernement veut déminer la colère étudiante Prise en compte tardive. Le complexe de la bonne élève ou pourquoi certaines femmes n'ont pas la carrière qu'elles méritent. Temps de lecture: 7 min. Filles-Garçons : un parcours scolaire différent (Infographie) La représentation des femmes à la télévision et à la radio - Exercice 2017 / Les autres rapports. Pour la troisième année consécutive, les chaînes de télévision et de radio ont remis au CSA, comme l’a demandé le législateur, des indicateurs quantitatifs et qualitatifs sur la représentation des femmes et des hommes dans leurs programmes.
Chiffres clés : Les femmes, toujours en minorité dans les médias. « Tapin », « jolie robe » et « question de fille », des femmes journalistes dénoncent le sexisme des hommes politiques. « Fais pas ton genre ! » : L’exposition étudiante contre le sexisme – NewVo Radio. Les étudiants de l’Université Sorbonne Nouvelle ont détourné des affiches publicitaires sexistes à l’occasion d’une exposition engagée.