Les jeunes : leurs vies, leurs rêves... La nouvelle étude d'Inter°View Innovative(1) décrypte les 18-25 ans pour répondre aux objectifs suivants : les 18-25 ans rêvent-ils encore et si oui, à quoi ?
Quels sont leurs moteurs, en fonction de leur profil ? Que rejettent-ils ? Sur quels critères font-ils des choix ? Quelles marques plébiscitent-ils et pourquoi ? Et plus stratégiquement, ces consommateurs de demain, qu’attendent-ils des marques ? Selon leur degré de construction, leur maturité, et leur niveau de contrainte financière, les 18-25 ans ont des caractéristiques différentes : - les lycéens –en pleine construction identitaire, en recherche d’autonomie, aspirant à une vie d’adulte, vivant dans une bulle individuelle dans le cocon familial– se projettent pour la plupart dans un métier ! Les jeunes rêvent-ils encore et à quoi ? Oui, ils rêvent encore, répond Inter°View. A quoi rêve la jeunesse mondiale ? La Fondation pour l'innovation politique a interrogé 32 000 jeunes dans 25 pays.
De cette gigantesque étude ressort le portrait d'une jeunesse à l'aise dans la mondialisation. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Benoît Vitkine Comment se porte la jeunesse du monde ? Quelles sont ses valeurs, ses aspirations, ses peurs, ses identités ? Voit-on les choses de la même façon selon que l'on habite à Pékin ou Rabat ? Une sélection qui se veut représentative mais qui laisse de côté certaines parties du globe : en Afrique ne figurent que le Maroc et l'Afrique du Sud, en Amérique du Sud, le Brésil, et au Moyen-Orient, Israël. Si certaines des conclusions apparaissent comme attendues – le pessimisme légendaire des jeunes Français –, d'autres sont plus surprenantes, comme celles montrant que les jeunes Chinois sont les plus préoccupés par la pollution. A peine un Français sur deux (53 %) juge son avenir personnel prometteur, contre 61 % pour la jeunesse européenne.
La place centrale de la famille. Les jeunes d’aujourd’hui : quelle société pour demain ? Qui sont les jeunes ? Sur le même sujet Pour défendre l’égalité, les jeunes ont du talent 23 mai 2017 Un mois après l’annonce des équipes lauréates du Prix « Jeunesse pour l’égalité » 2017 décerné par l’Observatoire des inégalités, nous vous proposons une sélection de vidéos réalisées dans le cadre de ce concours annuel parce que #LesJeunesOntDuTalent.
Prix « Jeunesse pour l’égalité » : qui sont les lauréats ? 28 mars 2017 La quatrième cérémonie de remise des prix du concours « Jeunesse pour l’égalité » organisé par l’Observatoire des inégalités s’est déroulée mercredi 22 mars dernier, dans la salle du Conseil de l’Hôtel de Ville de Paris. Un lieu hautement symbolique pour les 250 jeunes présents qui ont occupé, quelques heures durant, les sièges des élus parisiens. Le grand miroir de la jeunesse française. Dresser un portrait sans précédent de la jeunesse européenne, c’est l’ambition de « Generation What ?
» : des milliers de jeunes de 18 à 34 ans répondent depuis avril à une enquête diffusée sur Internet et relayée par les grands médias de la plupart des pays européens. La sociologue Anne Muxel, du Cevipof, s’est intéressée au volet français de cette enquête initiée par France Télévisions et les sociétés Yami 2 et Upian. En quoi l’enquête « Generation What ?
» diffère-t-elle d’une étude sociologique classique ? Anne Muxel1 : C’est plus une consultation qu’une enquête, car elle est ouverte à tous les jeunes qui ont voulu y répondre et elle est disponible en ligne sur plusieurs mois. Nous n’aurions jamais obtenu autant de réponses dans le cadre d’une enquête sociologique classique. Comment pouvez-vous être sûre qu’il n’y pas d’usurpation d’identité ou que certaines réponses ne sont pas fantaisistes par exemple ? Le pessimisme et la défiance de la jeunesse atteignent des records. Se sentant « sacrifiée » face à la crise de l’emploi, la jeunesse est traversée par un sentiment de révolte envers la politique, les institutions et les médias.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien de Tricornot Le pessimisme des jeunes vis-à-vis de l’avenir atteint des sommets, de même que leur défiance envers la politique, les institutions et les médias. Ce constat ressort avec force de l’étude publiée, mercredi 14 décembre, par Anne Muxel, directrice de recherches au Cevipof (CNRS/Sciences Po), à partir du volet français de l’enquête « Generation What ? » sur les jeunes Européens (18 à 34 ans). La sociologue a travaillé sur les réponses d’un échantillon représentatif de plus de 20 000 jeunes Français, et les a comparées à celles d’une précédente enquête (« Génération quoi ? « Comment la jeunesse de ce pays peut-elle se construire dans un tel foutoir moral ? » Pour le sociologue Marc Hatzfeld, les jeunes ont une qualité : celle de distinguer ceux qui ne sont pas des bonimenteurs véreux.
TRIBUNE. J’ai rencontré, il y a quelques semaines, des jeunes issus de milieux populaires d’une ville du centre de la France qui avaient passé plusieurs jours à Calais (Pas-de-Calais) pour y faire la connaissance de réfugiés asiatiques. Plus tard, ils sont partis pour Lesbos (Grèce) y voir de leurs yeux l’arrivée et l’accueil d’autres réfugiés. Ils s’apprêtaient à faire le voyage vers le sud de l’Italie dans le même objectif. Lors des fins de semaine, ces jeunes impriment des tracts et les distribuent sur le marché afin de convaincre les citoyens adultes que les réfugiés ne sont pas des terroristes mais méritent notre hospitalité.
Les murs de nos villes sont peints de graphes admirables de drôlerie et d’inventivité artistique qui ont quelque chose de Basquiat. Il existe en France une jeunesse debout, vive, foisonnante d’imagination et de générosité.