Le champ tachionique. Le champ tachyonune énergie cosmique à notre portée La découverte d’une énergie cosmique utilisable par l’Homme Par le terme "tachion", la physique entend une particule théorique, capable de voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière (environ 860 000 km/s).
A la fin du XIXème siècle, Nikola TESLA, physicien serbo-américain, fut un des pionniers à l’origine de cette incroyable découverte. Né en Croatie, en 1856, il fréquenta l'école polytechnique de Graz (Autriche), et la très réputée Université de Prague. Il observa durant une éclipse de soleil des phénomènes d'antigravitation : En approfondissant cette découverte, il découvrit un champ énergétique qu'il breveta sous le nom de "énergie cosmique", étant donné que l'univers tout entier en est rempli. Surdoué, il parlait 6 langues, calculait mentalement des opérations mathématiques compliquées et avait une mémoire visuelle stupéfiante.
Lors d’une éclipse du soleil, TESLA remarqua un phénomène antigravitationnel. Comprendre la Ligne de Kármán. L'énergie noire. La cosmologie n'en finit pas de se remettre en question !
Quelques semaines à peine après un article questionnant l'existence même de la matière noire - cette masse invisible et jusque-là indétectable, devenue indispensable pour expliquer le cosmos dans sa globalité -, c'est un autre pilier de la discipline qui est attaqué : l'énergie noire (ou sombre). La critique de ce concept qui a valu le prix Nobel de physique en 2011 à ses inventeurs (les Américains Saul Perlmutter, Brian Schmidt et Adam Riess) est signée par l'équipe de Subir Sarkar, de l'université d'Oxford (Royaume-Uni) et publiée par la revue Nature.
Et si cette remise en question se confirmait, cela obligerait rien de moins qu'à revoir totalement le modèle cosmologique actuel. Revenons aux fondements de cette fameuse énergie noire. À partir de l'étude des supernovae cosmologiques, des étoiles en cours d'explosion qui constituent des repères de position. Dix fois plus de mesures qu’en 1998. Le retour de l'éther et de l'harmonie. L’Apocalypse est la révélation de la “tyrannie” qui a réduit les humains en esclavage.
Telle “tyrannie” est notre crédo aux limites des ressources, promu par un “savoir” qui est fonctionnel au pouvoir et démenti par les événements en cours. Une énergie noire immense est en train de jaillir du “vide” quantique… Bien que l’énergie noire constitue environ 70 pour cent de l’univers et que nos cellules l’utilisent régulièrement, les scientifiques ne savent pas ce que c’est. Ils savent qu’elle jaillit du “vide”, provocant des effets observables. Certains ont observé ces derniers aussi lors des éclipses. Un exemple est donné par Maurice Allais, prix Nobel de l’Economie, lequel, en 1954, a observé les mouvements du pendule de Foucault toutes les 14 minutes – pendants 30 jours et nuits consécutifs – dans son laboratoire à Paris.
Était une inversion de la rotation terrestre (Foucault avait démontré que le pendule enregistre la rotation de la Terre). Giuliana Conforto. Rayons gamma : la chose la plus puissante de l’univers pourrait expliquer pourquoi nous sommes seuls dans l’univers. Atlantico : Que sait-on concrètement sur les rayons gamma ?
Quels phénomènes en sont à l'origine ? Aurélien Barrau : La lumière est une onde. Cette onde peut avoir différentes énergies. Nos yeux ne sont sensibles qu’à une fraction infime des énergies possibles. L’immense majorité des ondes son invisibles pour nous, bien qu’elles soient tout à fait réelles. On connait aujourd’hui de nombreux objets astrophysiques capables de générer de tels rayons gammas. Par exemple, les pulsars et les quasars. Mais les sources de rayons gammas les plus étranges et les plus fascinantes demeurent sans doute ce qu’on nomme les "sursauts gammas".
Des scientifiques ont récemment estimé la probabilité que la Terre ait pu être la cible d'un de ces rayons gamma par le passé. En fait, la Terre est en permanence bombardée par des rayons gammas. Même dans ce cas, l’atmosphère aurait encore joué son rôle et serait parvenue à arrêter les gammas. La question des extinctions de masse est intéressante et importante. Etienne Klein: l'univers ne commence pas avec le Big Bang. Dans votre ouvrage, vous exprimez que l'univers n'a jamais été ponctuel, c'est-à-dire que sa taille n'a jamais été nulle ni sa densité infinie : ce qu'on appelle le Big Bang n'est donc pas le commencement, il n'y a pas de point zéro de l'univers, en fin de compte ?
Etienne Klein : Notre façon de parler du Big Bang aujourd'hui prolonge notre façon d'en parler des années 50. A l'époque on a inventé ce mot pour décrire l'histoire de l'univers à partir d'une théorie physique, celle d'Einstein, qui s'appelle la théorie de la relativité générale. Cette théorie décrit une force qui s'appelle la gravitation. Quand vous extrapolez à partir de cette théorie pour aller dans le passé, vous observez qu'en effet, l'univers dans le passé était plus dense, plus chaud et plus petit.
Et quand vous extrapolez vraiment très très loin dans le passé, vous aboutissez à ce que l'on appelle une singularité initiale. Etienne Klein : Mais il y en a peut être une. Etienne Klein : Le vide quantique existe.