Syndrome de Noé. Protection/ Maltraitance Qu'est ce que le syndrome de Noé ?
Comment est-il pris en charge ? Les expertises de Christine Manuel, psychologue, et d'Anne-Claire Chauvancy, présidente de l’association Action Protection Animale, nous aident à répondre à ces deux questions. Qu’est-ce que le syndrome de Noé ? Cages dans tous les coins, crasse du sol au plafond ou encore excréments qui jonchent le sol : voici à quoi ressemble l'habitat d'une personne atteinte du syndrome de Noé. C’est le médecin généraliste qui prend en charge les personnes atteintes car il n’y a pas de place pour elles dans les hôpitaux psychiatriques. Une situation qui peut susciter des interventions Souvent alertée par le voisinage ou la municipalité pour des nuisances olfactives ou sonores, Anne-Claire Chauvancy, présidente de l’association Action Protection Animale, se charge des interventions dans des maisons où la situation est devenue critique tant les animaux accuulés sont en danger.
Mensonge, ennemi de l'estime de soi. Il y a de nombreuses manières de mentir et de justifier nos mensonges.
Il y en a autant que de personnes dans le monde. Parfois, le mensonge peut nous permettre de solutionner des problèmes, de détourner l’attention et de libérer notre esprit. C’est une autre façon de gérer une situation de laquelle nous devons à tout prix sortir. Cependant, c’est une ressource qui dénote d’une vision à court-terme. En effet, le fait de nous libérer de quelque chose dans un moment de panique ou de ne pas vouloir donner des explications pertinentes va endommager notre estime personnelle. Le mensonge a des conséquences sur nos relations avec les autres, mais également sur notre relation avec nous-mêmes. Pourquoi mentir ? Le mensonge est quelque chose qui peut être excitant. Dissociation traumatique.
Maintenant que vous savez ce qu’est la dissociation traumatique, passons au niveau supérieur.
Vous vous en doutez, le calvaire de la victime ne s’arrête pas là. Il ne s’agit pas d’un simple moment à passer et basta ! Car un enfant, par exemple, contraint d’être quotidiennement confronté aux personnes violentes avec lui et comme la plupart du temps ces violences sont exercées par des proches (comme dans le cadre d’inceste ou maltraitances intra-familiales), va se retrouver tous les jours dans cet état de dissociation traumatique qui devient chronique.
Trouble dissociatif de l’identité. Le cerveau, parfois, nous joue quelques mauvais tours… Parmi eux, les troubles dissociatifs.
On évoquera, par exemple, l’amnésie dissociative, qui s’attaque à la mémoire et se traduit par une incapacité à évoquer des souvenirs personnels importants ou encore la fugue dissociative, qui se caractérise, elle, par un départ totalement inattendu et soudain d’un individu qui fait face à des souvenirs très confus, voire parfois inaccessibles, de son passé, de son habitat naturel et même de son identité. On parlera aussi du trouble de dépersonnalisation qui se traduit par un sentiment de détachement de son propre fonctionnement mental, une « anesthésie du cerveau », en quelque sorte comme si la personne perdait contrôle de ses actes et paroles.
Autant de maux qui se regroupent sous l’appellation : TDI, comprenez trouble dissociatif de l’identité, et qui ne sont d’ailleurs jamais diagnostiqués séparément. Un diagnostic difficile science des différents états qu’il traverse. Folie à deux ou psychose partagée. Introduction Dans le cadre de la vie de famille où les individus vivent dans un cadre assez rapproché, il n’est pas rare que des maladies à base virale ou bactérienne voient leurs symptômes se propager d’un individu à l’autre, c’est le principe de la contagion.
Celui-ci n’est pas exclusivement présent chez ce genre de maladies, mais on peut le généraliser métaphoriquement aux affects et éléments non biologiques. On peut alors parler de « folie à deux », ou psychose partagée. La folie à deux est un syndrome psychiatrique dans lequel des symptômes psychotiques se transmettent d’un individu à un autre. Ce trouble a connu de nombreuses appellations, allant de la psychose partagée au trouble psychotique induit, en passant par le trouble psychotique partagé ; ces différentes appellations variant en fonction du domaine de classification. Histoire Après Lasègue et Falret, d’autres tentatives de définitions de folie à deux ont été tenté, notamment par et Grover (1937) et Gralnick (1942).
Signes cliniques de la schizophrénie. Signes cliniques positifs L’hallucination L’hallucination est une perception sans objet à percevoir.
On distingue : les hallucinations psychosensorielles (auditives +++, cénesthésiques ++, olfactives +, gustatives, visuelles). Les plus caractéristiques sont les hallucinations auditives (une voix interpelle le sujet, lui parle, lui donne des ordres…) et cénesthésiques (sensations physiques à type de tensions douloureuses dans la tête ou les organes sexuels, dans le cœur, ondes traversant le corps...). Chez la majorité des patients schizophrènes, on retrouve un syndrome particulier qui se caractérise ainsi : Les phénomènes hallucinatoires, de télépathie et d’automatisme peuvent évidemment être la cause d’actes inattendus. Le délire schizophrénique Il est surtout illogique et incohérent. Dysmorphophobie, image de soi. Le dysmorphophobie est la crainte obsédante d’être laid ou malformé.
Ce trouble atteindrait 2% de la population mondiale. Bien plus qu’un simple complexe physique, la dysmorphophobie peut conduire au repli social, à la dépression, voire au suicide. Qu’est-ce que la dysmorphophobie ? Comment la détecter et comment la soigner ? On vous en dit plus. La plage approche ou est déjà là et nul doute que vos petits complexes refont surface.