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Philosophie

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Léviathan (Thomas Hobbes) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Léviathan (Thomas Hobbes)

Le frontispice du « Leviathan » est l'œuvre du graveur Abraham Bosse. Hobbes discute la thèse d'un contrat social (au profit de celui de « pacte social ») et de règles venant d'un souverain. Profondément marqué par la première révolution anglaise (1641-1649) et la violence de la guerre civile, Hobbes développe, dans la première partie (« De l'homme »), l'idée selon laquelle, les hommes à l'« état de nature » cherchent uniquement à survivre, à assurer leur propre préservation, par tous les moyens nécessaires (théorie du « conatus », reprise notamment par Spinoza). Ils n'obéissent qu'à ce qu'il appelle leur droit naturel : le fait que chacun ait la liberté totale d'utiliser sa puissance par n'importe quel moyen afin de se préserver lui-même et de préserver sa propre vie.

Outre cet argument, la première partie développe, de façon plus large, une anthropologie ainsi qu'une théorie du langage, conçu sous une forme expressive [1]. Léviathan. Somme théologique. Pour les articles homonymes, voir Somme.

Somme théologique

Thomas d'Aquin, docteur de l'Église catholique (1225-1274) La Somme théologique (Summa theologica), ou Somme de théologie (Summa theologiae) est un traité théologique et philosophique en trois parties du docteur de l'Église saint Thomas d'Aquin (1224 ou 1225-1274), écrit entre 1266 et 1273, qui reste inachevé. C'est l'œuvre majeure de Thomas d'Aquin à laquelle il a consacré les dernières années de sa vie. La République. La République (en grec Περὶ πολιτείας / Perì politeías, « à propos de l'État / de la Cité » ou Πολιτεία / politeía, « la constitution ») est un des dialogues de Platon portant principalement sur la justice dans l'individu et dans la Cité.

La République

Platon fait la critique de la démocratie dans sa dégénérescence en démagogie et en tyrannie à cause de l'attrait qu'exerce le prestige du pouvoir. Il s'agit de l'ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Formes que Platon y expose et défend. Histoire des éditions de la République[modifier | modifier le code] C’est l’un des ouvrages les plus étendus de Platon. Généalogie de la morale.

La Généalogie de la morale.

Généalogie de la morale

Un écrit polémique (Zur Genealogie der Moral. Eine Streitschrift) est une œuvre du philosophe Friedrich Nietzsche publiée en 1887. Elle suit, complète et éclaire Par-delà bien et mal. Nietzsche se donne pour objectif de montrer d'où viennent les valeurs morales contemporaines et pourquoi nous devrions en changer pour des valeurs plus saines[1]. La Généalogie de la morale se compose d'une préface et de trois dissertations écrites dans un style jugé brillant et d'une grande force par les commentateurs[2]. Présentation[modifier | modifier le code] Principaux thèmes[modifier | modifier le code] « […] nous avons besoin d’une critique des valeurs morales, et la valeur de ces valeurs doit tout d’abord être mise en question — et, pour cela, il est de toute nécessité de connaître les conditions et les milieux qui leur ont donné naissance, au sein desquels elles se sont développées et déformées […][7] » Méthode généalogique et évaluation[modifier | modifier le code]

Méditations métaphysiques. Les Méditations métaphysiques (ou Méditations sur la philosophie première) sont une œuvre philosophique de René Descartes, parue pour la première fois en latin en 1641.

Méditations métaphysiques

Du point de vue de l'histoire de la philosophie, elles constituent l'une des expressions les plus influentes du rationalisme classique. Le titre original traduit en français de Méditations sur la philosophie première indique que cet ouvrage a été écrit en partie comme une critique de la philosophie première qui était alors enseignée dans les universités, mais aussi pour en proposer une nouvelle à la place. Il faut noter que, comme pour la plupart des ouvrages classiques au fil du temps, les Méditations ont reçu des interprétations très différentes. Dans ses Méditations, Descartes soutient qu'en dépit des arguments sceptiques contre la vérité et la certitude, il y a des connaissances légitimes. Présentation générale[modifier | modifier le code] Contexte[modifier | modifier le code] Le but de Dieu[modifier | modifier le code] Critique de la raison pure. La Critique de la raison pure, en allemand, Kritik der reinen Vernunft, est une œuvre d'Emmanuel Kant, publiée en 1781 et remaniée en 1787.

Critique de la raison pure

Elle est considérée comme son œuvre majeure, la plus lue, peut-être la plus difficile, commentée, étudiée et la plus influente. Incomprise à son origine, elle donna rapidement prise à une littérature de controverse. Après la première parution, Kant continua à tenter de clarifier la problématique qui la portait, celle des limites de la raison. Elle donna lieu notamment, à un autre ouvrage intitulé Les Prolégomènes à toute métaphysique future, ce qui lui permit de mener à bien une refonte de son maître ouvrage dans une seconde édition, enrichie d'une nouvelle préface, en 1787[2].