Charge ou immobilisation :rappels sur des points délicats. La comptabilisation des stocks et des dépréciations de stock. Les entreprises qui réalisent un inventaire physique pour la clôture de leur exercice comptable doivent ensuite le valoriser et l’enregistrer en comptabilité.
C’est une écriture très importante pour l’établissement des comptes annuels. La comptabilisation des stocks est caractérisée par deux types d’écritures importantes : la comptabilisation du stock et des en-cours en comptabilité puis, éventuellement, la comptabilisation de la dépréciation des stocks et en-cours. Vous pouvez également lire ces articles qui sont complémentaires : les comptes de stocks en comptabilité et l’inventaire des stocks. 1. La comptabilisation des stocks La comptabilisation des stocks et/ou des en-cours est effectuée de la manière suivante : on débite le compte de classe 3 concerné (matière premières, marchandises, produits finis…),et on crédite le compte 603 concerné, ou le compte 7134 s’il s’agit de travaux en cours. Ainsi, dans les comptes annuels, les stocks apparaissent de la manière suivante : Immobilisation et amortissement.
Une immobilisation est un élément non circulant de l’actif d’une entreprise, d’une valeur supérieure à 500 euros et destiné à rester dans l’entreprise dans la mesure où il participe à son processus de production.
Cet élément peut être matériel, immatériel ou financier. Immobilisations incorporelles : fonds de commerce, logiciels, licence, brevet...Immobilisations corporelles : bâtiment, matériel industriel (machine, outil...), installations techniques (frais de cablage de bureaux, éclairage...), matériel de bureau et informatique (ordinateur, imprimante, photocopieuse, bureau, chaise...)Immobilisations financières : investissment de long terme et donc stratégique dans une autre entreprise, une filiale. Pour simplifier le calcul de cette dépréciation, des règles comptables ont été définies. La comptabilisation d'une augmentation de capital. Les augmentations de capital sont des opérations fréquemment réalisées dans les sociétés.
Elles peuvent avoir de nombreuses motivations telles que le renforcement de la crédibilité de la société sur son marché, la reconstitution de ses capitaux propres pour apurer des pertes antérieures ou encore l’arrivée d’associés nouveaux. Les méthodes de consolidation. Après avoir déterminé le périmètre de consolidation et, une fois que les comptes annuels des différentes sociétés du groupe ont été arrêtés, il convient d’effectuer la consolidation. Il existe trois méthodes de consolidation qui dépendent de la nature du contrôle exercé par la société consolidante sur ses sociétés consolidées : l’intégration globale, l’intégration proportionnelle ou la mise en équivalence.
Voici en quoi elles consistent. 1. Méthode de consolidation à appliquer en cas de contrôle exclusif Les comptes de l’entreprise placée sous le contrôle exclusif d’une société consolidante doivent être consolidés selon la méthode de l’intégration globale. A. L’intégration globale consiste à remonter tous les comptes des sociétés consolidées à 100%, peu importe le taux de participation de la société consolidante (on parle de pourcentage d’intérêts) dans ces dernières. Le capital social des sociétés. Le capital social est un élément essentiel pour toute société et il est constitué d’apports en numéraire et/ou d’apports en nature (les apports en industrie n’entrant pas dans son montant). Il est donc égal aux apports effectués par les fondateurs de l’entreprise et pourra ensuite être modifié par voie d’augmentation ou de réduction de capital. Apports en numéraire, en nature ou en industrie: quelles différences.
Que ce soit pour la SAS/SASU ou SARL/EURL, on entend souvent parler des apports.
Mais pour beaucoup d’entrepreneur, c’est un sujet bien flou. À quoi cela sert-il ? Quels sont les différents types d’apports. Nous revenons sur cette thématique abordée à la création d’une société. Qu’est-ce qu’un apport ? Les apports sont des biens, cela peut être par exemple une somme d’argent, un véhicule, ou un brevet que les associés mettent à la disposition d’une société en vue de créer son capital social. A noter Même s’il est légal de créer une SARL ou une SAS avec 1€, il n’est pas conseillé de le faire car cela n’est pas rassurant pour vos partenaires et peut par conséquent vous porter préjudice. La comptabilisation des apports en capital. Dépréciation des créances clients. Perte sur créances clients réversibles Si le comptable pense qu'il existe une forte probabilité de perte sur une créance client, il doit : - transférer cette créance douteuse par le débit du compte 416.
Clients douteux ou litigieux et le crédit du compte 411. Clients, - comptabiliser une dépréciation par le débit du compte 68174. Si le client règle finalement une créance douteuse ou litigieuse, il faut annuler la dépréciation en : - débitant le compte 491. . - créditant le compte 78174. Puis constater le règlement de cette créance en : - débitant le compte 512. . - créditant le compte 416. Perte sur créances clients irréversibles Lorsqu'une créance client devient irrécouvrable, il faut annuler celle-ci : Les amortissements comptables : calcul, durée et méthodes. La valeur des immobilisations est répartie, en comptabilité, sur leur durée d’utilisation probable au moyen d‘amortissements.
Voici les principales caractéristiques des amortissements comptables d’immobilisations : qu’est-ce qu’un amortissement ? Quels sont les biens amortissables ? Quelles durées choisir pour amortir une immobilisation ?