Mieux maîtriser les données personnelles. Dans le cadre de ses missions, la Commission nationale de l’informatique et des libertés est « chargée de veiller à ce que l’informatique soit au service du citoyen et qu’elle ne porte atteinte ni à l’identité humaine, ni aux droits de l’homme, ni à la vie privée, ni aux libertés individuelles ou publiques ».
Les actualités de nature nationale et internationale confirment la place de choix réservée aux données personnelles qui se positionnent au cœur du débat public : droit au déréférencement, projet de loi sur le numérique, projet de loi relatif au renseignement, rapport du Conseil d’État, négociations sur le projet de règlement européen sur la protection des données... 10 conseils pour rester anonyme et protéger ses communications sur le web. Février 18. 2014. "Google est devenue une entreprise de lutte contre la mort": Laurent Alexandre, dans GMB. Dégooglisons Internet. Pasquale's 'Black Box' Challenges a Digital Sphere Run by Algorithms. If you are a person in America, then there are equations trying to learn more about you.
Some of these equations work for private companies and some of them work for the government, but they all generate correlations based on your behavior. Google “Ways to keep New Years resolution” and buy a sweatband on Amazon, and your Facebook ads all turn to gym memberships. Search Wikihow for “Join al-Nusra Front” and buy a hunting knife at Target, alarms go off at the NSA. Interacting with the world now involves an implicit agreement to be watched, and not just by surveillance cameras, global positioning satellites, and browser cookies, but increasingly by algorithms designed to predict and manage our future conduct. University of Maryland law professor Frank Pasquale’s new book The Black Box Society is a tour of how computational intelligence has come to dominate three important parts of American life: reputation, search, and finance.
Quelle protection de la vie privée face aux attaques contre nos libertés numériques ? Texte de mon intervention lors du colloque La France dans la transformation numérique : quelle protection des droits fondamentaux ?
, Conseil d’État, Paris, 6 février. Monsieur le président, Monsieur le vice-président du Conseil d’Etat, Madame la présidente de la section du rapport et des études, Mesdames, Messieurs, Je vous remercie pour l’invitation que vous m’avez adressée de participer à cette journée de mise en débat des propositions contenues dans l’étude annuelle 2014 du Conseil d’Etat « Le numérique et les droits fondamentaux »— étude que j’ai accompagné dans ma qualité de membre du groupe de contacts et à laquelle j’ai contribué avec un texte[1]. Ce que Google, les réseaux sociaux et les services en ligne savent de vous et comment s’en protéger.
Le blog anglophone Clound Fender s’intéresse aux renseignements et données que Google récupère via la navigation des internautes et mobinautes.
A chacun de suivre les différents points mentionnés ci-dessous (et d’autres ajoutés par mes soins), aussi de paramétrer avec soin les différents accès pour éviter cette « surveillance » en ligne effectuée par Google, les réseaux sociaux et services en ligne avant tout pour optimiser la connaissance d’un profil internaute et fournir des publicités et promotions davantage personnalisées. Découvrez comment Google vous imagine Google capitalise des renseignements « basiques » sur votre profil (âge, genre, langues utilisées, centres d’intérêts), ceci afin de vous proposer via les différents outils Google que vous utilisez (moteur de recherche, Gmail, Google+, YouTube…) des publicités ciblées. Faire mémoire des traces numériques / E-dossier de l'audiovisuel : sciences humaines et sociales et patrimoine numérique.
Louise Merzeau est maître de conférences HDR en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Ouest Nanterre et membre du laboratoire Tactic (Traitement et appropriation des connaissances par les TIC).
Ancienne rédactrice en chef des Cahiers de médiologie, elle est aujourd’hui membre du comité de rédaction de la revue Médium, dirigée par Régis Debray. Ses travaux portent sur la médiologie, la traçabilité numérique et les rapports entre mémoire et information, examinés sous l’angle des interactions entre technique et culture. Sur ces questions, elle a coorganisé les États généraux de l'identité numérique au Sénat en 2009 et le colloque Retour au virtuel qui s’est tenu au Cnam en 2012. Elle copilote par ailleurs depuis 2 ans les ateliers de méthodologie sur le dépôt légal du Web à l’Ina. Fred Turner : Google, Uber et l’idéologie de la Silicon Valley en treize mots.
Minitel, Dieu, Google : nous avons soumis une liste de treize mots à Fred Turner, prof à l’université de Stanford.
Pour lui, la Silicon Valley est héritière des rêves hippies de l’Amérique des années 60. Comment le service Uber peut-il être à la fois aussi cool et aussi terrifiant ? D’où vient l’esprit de Google ? L’économie dite « du partage » est-elle une résurgence hippie ou l’avant-garde du capitalisme ? Pour répondre à ces questions, il est nécessaire de revenir en arrière. « De la contreculture à la cyberculture : aux sources de l’utopie numérique » de Fred Turner.